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Valerie Tong Cuong

Valerie Tong Cuong

Valérie Tong Cuong est née en banlieue parisienne. Après une adolescence chaotique, elle étudie la littérature et les sciences politiques. Elle travaille huit ans en entreprise puis lâche tout pour se consacrer à l’écriture (romans, nouvelles, scénarios) et à la musique. Elle est traduite en 18 l...

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Valérie Tong Cuong est née en banlieue parisienne. Après une adolescence chaotique, elle étudie la littérature et les sciences politiques. Elle travaille huit ans en entreprise puis lâche tout pour se consacrer à l’écriture (romans, nouvelles, scénarios) et à la musique. Elle est traduite en 18 langues.

 

Ses nouvelles sont parues dans les revues « Bordel », « Double », « NRV ».
En tant que scénariste, elle travaille pour la télévision (« La smala s’en mêle » France 2) et le cinéma.



De 1997 à 2009, elle a chanté et écrit pour Quark, un groupe pop-rock indépendant dont le premier album a été sélectionné par El Païs comme l’un des meilleurs albums de l’année. Le quatrième album du groupe, ECHO, est sorti en novembre 2010.

 

Source : http://www.valerietongcuong.com/

 

Crédit photo : F. Mantovani/JC Lattès

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Articles en lien avec Valerie Tong Cuong (7)

Avis sur cet auteur (169)

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    Couverture du livre « Par amour » de Valerie Tong Cuong aux éditions Lattes

    tatibibibi sur Par amour de Valerie Tong Cuong

    "Par amour"...entre le 10 juin 1940, où devant l'avancée des troupes allemandes, ordre est donné à la population du Havre d'évacuer la ville, et septembre 1944, libération de la ville, complètement anéantie.
    C'est cette douloureuse période que vont traverser 2 familles : Emelie, Joffre, et...
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    "Par amour"...entre le 10 juin 1940, où devant l'avancée des troupes allemandes, ordre est donné à la population du Havre d'évacuer la ville, et septembre 1944, libération de la ville, complètement anéantie.
    C'est cette douloureuse période que vont traverser 2 familles : Emelie, Joffre, et leurs 2 enfants, Jean et Lucie; et Muguette, soeur d'Emelie, et ses 2 enfants, Joseph et Marline.
    Dès le 22 juin, la France signe l'Armistice avec l'Allemagne du IIIe Reich et donc, retour des familles au Havre. Espoir pour certains, orgueil et confiance bafoués pour d'autres.
    Honte que cette nouvelle vie de servitude sous la botte allemande. Là aussi, certains s'en accommodent, d'autres se taisent, d'autres encore oeuvrent en secret, mais tous en souffrent.
    Roman choral qui laissent la parole à chacun des membres de ces 2 familles, leur permettant d'exprimer leurs ressentis, leurs doutes, leurs souffrances, leurs incompréhensions et leur confiance mise à mal. Le ressenti des enfants en particulier, très émouvant; eux qui se trouvent jetés du jour au lendemain dans le monde des adultes et de la guerre, double peine mettant fin à leur insouciance. Découverte des restrictions, des persécutions, de la haine et de la mort...ça fait beaucoup !!
    Et au sein de la tourmente, du romanesque, de l'amour ...et ça fonctionne !
    L'amour qui doute, qui patiente, qui ne se résigne pas mais s'oblige à espérer, l'amour qui soutient, qui soulage et parfois même guérit, celui aussi qui se sacrifie...mais dans tous les cas, l'amour force de vie, car il s'agit avant tout de survivre pour espérer vivre ensuite.
    Et au coeur du coeur de cet amour, une ode à l'amour maternel en particulier, cet amour entier et inconditionnel qui fait des femmes des combattantes sans armes, mais fortes d'une détermination qui les transcende.
    Outre la dimension historique de ce roman, fort précisément documenté, c'est aussi un éclairage sur les comportements d'hommes et de femmes au cours d'événements qui les dépassent et qu'ils traversent, chacun à sa manière, selon ses convictions, son courage, ses peurs ou sa foi.
    Peut-on dire également qu'il y a une dimension sociologique, dans la mesure où ce roman met aussi en lumière les bouleversements occasionnés au sein de la structure familiale : situation monoparentale (ex. Muguette) où ce sont les femmes qui doivent assumer toutes les responsabilités, rôle qu'on ne leur avait pas permis d'approcher jusqu'alors !
    Et puis tous les traumatismes inhérents à la situation de guerre: séparations brutales, haine, délation, et puis la mort !
    Et donc, de l'importance de l'amour-résistance, l'amour-réconfort, l'amour-force de vie...pour que ne s'éteigne pas l'espoir d'un monde (peut-être!) meilleur....

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    Couverture du livre « Un tesson d'éternité » de Valerie Tong Cuong aux éditions Lattes

    F.Lefever sur Un tesson d'éternité de Valerie Tong Cuong

    Hugues, Anna, Léo, une famille formidable, à la vie rangée, ordonnée, installée dans la bourgeoisie avec une vie sociétale parfaite. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Un couac dans ce monde parfait va pourtant se produire avec la participation de Léo. Léo, 18 ans, va commettre...
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    Hugues, Anna, Léo, une famille formidable, à la vie rangée, ordonnée, installée dans la bourgeoisie avec une vie sociétale parfaite. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Un couac dans ce monde parfait va pourtant se produire avec la participation de Léo. Léo, 18 ans, va commettre un délit lors d’une manifestation, il va frapper violement un policier en voulant défendre son amie du moment. C’est le point de bascule, s’ensuivent arrestation, incarcération, tribunal.

    Pour la cellule familiale c’est l’explosion :
    - Hugues, dans le déni, ne pense qu’à sauver les apparences et réalise difficilement la gravité de l’acte, ne rien détruire pour une « plaisanterie », pour une « bousculade ».
    - Anna qui a lutté pour sortir de sa condition modeste, a épousé un beau parti, acquis durement une pharmacie, voit son monde s’écrouler. Elle se battra pour sortir son fils de ce désordre.
    - Léo, à quelques jours de passer son bac et promu à de belles études comprend que son avenir est bien compromis, veut assumer son acte.
    Et puis il y a l’entourage, les amis qui n’en sont plus, les clients qui se dérobent. La famille devient « non grata ».

    Au travers de ces pages on comprend vite que c’est Anna qui va porter l’épreuve à bout de bras. Au fil des évènements, en soutenant son fils, elle va découvrir le milieu carcéral, ses règles et ses codes, le parloir, le monde de la justice, mais va faire face quel qu’en sera le prix. Et le prix sera élevé.

    Lorsque je j’ai aperçu ce livre en rayon je l’ai pris immédiatement sans même prendre la peine de lire le résumé de couverture tant j’aime cet auteure.

    Lorsque j’ai aperçu ce livre en rayon j’ai failli le reposer immédiatement en raison de la photo de couverture que je n’aime pas du tout, que je ne comprends pas et qui me met mal à l’aise.

    Ce roman de Valérie Tong Cuong n’est pas mon préféré. Les personnages sont un peu stéréotypés et ne m’ont pas vraiment convaincus, reste un très émouvant portrait de femme, courageuse, obstinée, qui au hasard des évènements va devoir gérer ses refoulements, ses cris internes qui ressurgissent et finissent par exploser.

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    Couverture du livre « Pardonnable, impardonnable » de Valerie Tong Cuong aux éditions Lattes

    ziggy sur Pardonnable, impardonnable de Valerie Tong Cuong

    Valérie Tong Cuong nous livre ici l’autopsie d’une famille qui vole en éclats après l’accident du jeune fils Milo, plongé dans le coma suite à une chute de vélo alors qu’il était sous la responsabilité de sa tante Marguerite.
    Ce couple dont le ciment était fait d’énormes concessions se fissure...
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    Valérie Tong Cuong nous livre ici l’autopsie d’une famille qui vole en éclats après l’accident du jeune fils Milo, plongé dans le coma suite à une chute de vélo alors qu’il était sous la responsabilité de sa tante Marguerite.
    Ce couple dont le ciment était fait d’énormes concessions se fissure dangereusement.
    Chaque chapitre donne la voix à un membre de cette famille et à son point de vue sur chacun des autres ainsi que sur la place ou la non-place qu’il y a.
    Le récit est divisé en quatre grandes parties qui montrent l’évolution psychologique des personnages : le temps de la colère, le temps de la haine, le temps de la vengeance, le temps du pardon.
    Il aura fallu que leur fils se brise pour que vole en éclats les apparences .
    Milo, 12 ans est dans le coma suite à une chute de vélo sur une route de campagne, mais que faisait il là alors qu’il aurait dû être en train de réviser sous la surveillance de sa tante Marguerite. Marguerite, 28 ans, une beauté et un corps de mannequin, elle et son neveu Milo sont liés par un amour inconditionnel et fusionnel. Les parents de Milo, Céleste et Lino, tous deux quarantenaires, étaient chez le notaire avec Jeanne qui léguait sa maison à son ainée, Marguerite, la cadette, ne devant rien en savoir. Tous trois étaient censés aller choisir le carrelage de la future piscine.
    Lino est issu d’une modeste famille de savetiers dont le père trimât jusqu’au trépas pour élever ses cinq enfants. Famille qu’il a sacrifiée en la reniant et en se reniant par là même. Il épouse Céleste issue d’un milieu bourgeois mais ne sera que toléré par Jeanne, sa belle mère , qui désapprouve cette « mésalliance ».
    Voilà, tous les personnages sont en place. En regardant cette famille aisée qui vit confortablement, on se dit qu’ils sont heureux. C’est exact, en apparence…
    L’accident de Milo va rompre la digue et va alors se déverser un torrent de haine, où les secrets, mensonges, manipulations, humiliations, compromissions et culpabilités qui ressortent vont faire exploser cette belle harmonie familiale et risquer d’anéantir irrémédiablement chaque membre.
    Avec « Un tesson d’éternité », Valérie Tong Cuong passe encore ici les sentiments humains sous la lentille affutées de son microscope.
    L’âme humaine n’a plus de secrets pour elle. L’auteur plonge dans sa noirceur aussi bien que dans sa grandeur. Sa plume délicate et poétique se met au service de la vie pour nous entrainer dans un univers où l’espoir est encore permis.
    Voici, là encore, un roman lumineux qui nous réconcilie, si besoin, avec l’humain. Ses personnages, aussi tourmentés soient-ils font leur chemin vers la rédemption, le pardon et la réparation. Dans ce magnifique récit se côtoient le chagrin, les erreurs , les blessures et l’espoir.

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    Couverture du livre « Un tesson d'éternité » de Valerie Tong Cuong aux éditions Lattes

    sandrinalillebookine sur Un tesson d'éternité de Valerie Tong Cuong

    Surprise par ce roman et, même très agréablement surprise par la plume de Valerie Tong Cuong. Je l’avais découverte en écoutant son livre « Par amour », une histoire de famille pendant la seconde mondiale. Avec « Un tesson d’éternité », je découvre une autre histoire de famille qui nous est...
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    Surprise par ce roman et, même très agréablement surprise par la plume de Valerie Tong Cuong. Je l’avais découverte en écoutant son livre « Par amour », une histoire de famille pendant la seconde mondiale. Avec « Un tesson d’éternité », je découvre une autre histoire de famille qui nous est contemporaine.
    Un acte de violence dans une manif, et voilà Leo incarcéré. Ses parents, Anna Gauthier (pharmacienne) et Hugues (service culturel de la ville), notables de leur petite ville tombent de haut et tentent de rétablir la vérité afin de libérer leur fils au plus vite.
    « Moins de soixante-douze heures ont suffi à plonger leurs vies parfaites dans l'obscurité. »
    Commence alors pour Anna une mission, celle d'une mère, qui se retrouve seule, qui veut comprendre et sauver son fils. Dans ce temps, le passé d’Anna se réveille, les souvenirs de son enfance, son adolescence la petite vie de ses parents, ce qu’elle a tu, remontent.
    On sent le drame sous-jacent et la violence qui monte en puissance de part et d’autre : en prison, du côté de Léo et, celle qu’Anna a subi quand elle était jeune jusqu’à la délivrance. Mais laquelle et pour qui ? L’incarcération est violente, les traumatismes de l’enfance peuvent être violents.
    Ce n’est donc pas qu’une histoire banale de violence, de justice, c’est une histoire sur les traumatismes de l'enfance, le manque de respect que chacun peut connaitre. Je ne m’attendais pas à cette histoire dans l’histoire, je ne comprenais pas pourquoi, Anna se comportait comme une bourgeoise, les apparences sont souvent trompeuses et à la fin, il y a la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Choc ! (Cela reste une fiction )
    c’est un livre qui me marquera.

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