Tracy Chevalier déplace les éléments de la tragédie de Shakespeare dans la cour de récréation d’une école primaire...
Tracy Chevalier déplace les éléments de la tragédie de Shakespeare dans la cour de récréation d’une école primaire...
Suite à un accident, le père de Griet ne peut plus travailler et Griet est donc engagée comme servante chez le peintre Vermeer. le travail est dur mais elle va pouvoir y échapper quelque peu car elle devient bien vite l'assistante du peintre et lui prépare ses couleurs. Elle est une jeune fille ravissante et se laisse courtiser par un boucher de la ville. Pourtant, on sent bien qu'elle est attirée aussi par son maître. Mais lui, a-t-il les mêmes sentiments ? Et quand il accepte de faire son portrait pour l'un de ses riches clients, jusqu'où est -il capable d'aller ? Va t-il nuire à sa réputation ? Seule la peinture compte ?
On est tenu en haleine et on craint tout le long du roman pour cette jeune femme.
L’innocence – Tracy CHEVALIER
Londres, 1792, la famille Kellawey se déplace pour Londres a l’invitation de M. Philip Asley, directeur de cirque du même nom.
La famille va aménager aux côtés de M. et Mme William Blake, graveur, poète, artiste peintre qui va devenir le guide spirituel des enfants Jem et Maisie Kellawey.
Les deux jeunes villageois vont aussi faire la connaissance de Maggie et Charlie Butterfield de vrais Londoniens et apprendre à vivre dans cette ville chaotique en plein écho à la Révolution française.
Un coup de cœur pour ce livre à l’attrait historique.
Tracy Chevalier place toujours ses romans au cœur de l’histoire avec une infinie de détails qui nous plonge littéralement dans les personnages du livre.
William Blake a réellement existé et son livre Les Chants d’Innocence donne dans ce roman une touche de lumière authentique dans les yeux des enfants.
Magnifique !
Si vous souhaitez lire un bon roman, je connais une valeur sûre : Tracy Chevalier ; c’est une conteuse hors pair.
« La jeune fille à la perle » ou « La dame à la licorne » sont deux de ses livres que j’ai adoré.
Celui-ci est dans la même veine, j’y ai trouvé le même plaisir de lecture.
L’histoire se passe en Angleterre en 1932 et Violet Speedwell, dactylo célibataire de 38 ans, cherche un sens à sa vie… pourquoi ne pas essayer de le trouver dans le cercle des brodeuses de la cathédrale de Winchester…
Nous sommes dans l'entre deux guerres. Violet a perdu beaucoup dans cette première guerre mondiale : son frère, duquel elle était très proche et son amoureux. Elle a aujourd'hui la trentaine est célibataire (il n'y a plus d'hommes) et vit avec sa mère, imbuvable, ne se remettant pas de la mort de son fils. Violet décide de tout quitter et trouve un emploi de dactylo et une chambre à Winchester. Elle se trouve une occupation : elle intègre un groupe de femmes, de brodeuses. Elles brodent des coussins pour la cathédrale. Elle y fait la connaissance de Gilda et Dorothy, qui formeront bientôt un couple, bien qu'obligées de cacher leur amour (deux femmes ensemble étaient encore mal venu). Quant à Violet, elle rencontre Arthur, un homme plus âgé qu'elle et marié. Il a souffert lui aussi de la guerre, y a perdu un fils. Sa femme ne s'en est jamais remise. Une amitié particulière se lie entre eux. Arthur sonne les cloches à Winchester et l'initie même à cette technique. L'amitié se transforme vite en un amour pourtant impossible. Alors qu'adviendra-t-il de Violet ? On va jusqu'au bout de ce roman avec espoir... D'autant plus que Violet est une femme de caractère attachante. Il est clair qu'il n'est pas évident d'être une femme à cette époque.
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