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Poèmes

Couverture du livre « Poèmes » de George Gordon Byron aux éditions Allia
  • Date de parution :
  • Editeur : Allia
  • EAN : 9782844856135
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Les présents poèmes sont choisis parmi les pièces isolées rangées par les éditions anglaises sous les titres Domestic pieces et Occasional pieces. Les grands poèmes de 1816 (Ténèbres, Prométhée) sont écrits en Suisse, lors du séjour à la villa Diodati où Byron fréquenta Shelley, et où il s'était... Voir plus

Les présents poèmes sont choisis parmi les pièces isolées rangées par les éditions anglaises sous les titres Domestic pieces et Occasional pieces. Les grands poèmes de 1816 (Ténèbres, Prométhée) sont écrits en Suisse, lors du séjour à la villa Diodati où Byron fréquenta Shelley, et où il s'était exilé après que ses relations avec sa demi-soeur Augusta Leigh (à qui sont dédiés les Stances et l'Épître donnés dans ce recueil) eussent achevé de briser son mariage et justifié son exclusion par la grande société anglaise.

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  • lien vers ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/poemes-lord-byron.html

    Le mot de la fin : Pas besoin de mots de la fin, un petit poème suffira à vous convaincre.

    Extrait : " Seconde Sonnet à Genevra

    Ta joue est pâle de pensée, non de la peine,

    Tant belle ainsi, que si...
    Voir plus

    lien vers ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/poemes-lord-byron.html

    Le mot de la fin : Pas besoin de mots de la fin, un petit poème suffira à vous convaincre.

    Extrait : " Seconde Sonnet à Genevra

    Ta joue est pâle de pensée, non de la peine,

    Tant belle ainsi, que si la Joie allait emplir

    Sa blanche rose du rouge vif, le désir

    De mon cœur voudrait au loin cette ardeur trop pleine :

    N’aveuglent tes yeux au bleu profond – quand ils viennent

    Se poser dessus eux, les yeux les plus durs pleurent ;

    Et dans les miens, c’est la faiblesse qui affleure,

    Douce, l’ultime eau plue de l’arcade aérienne.

    A travers la chute de tes noirs liens ténus,

    L’âme de la mélancolique Gentillesse

    Brille comme un ange qui descende des nues,

    Dessus toute peine, plaignant toute détresse :

    Par telle majesté à la douceur venue,

    Je te vénère plus, mais de t’aimer ne cesse."

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  • C'est une version bilingue de quelques poèmes de Byron sélectionnés par Florence Guilhot et Jean-Louis Paul. C'est un livre qui ne m'a pas laissé de souvenirs impérissables.

    C'est une version bilingue de quelques poèmes de Byron sélectionnés par Florence Guilhot et Jean-Louis Paul. C'est un livre qui ne m'a pas laissé de souvenirs impérissables.

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