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Les couleurs de l'infamie

Couverture du livre « Les couleurs de l'infamie » de Albert Cossery aux éditions Joelle Losfeld
Résumé:

Nouvelle édition en 2000

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Avis (3)

  • " L' école ne m' a appris qu' à lire et à écrire. Cette mince instruction fut pour moi le chemin le plus sûr pour mourir de faim dans l' honnêteté et l' ignorance. C' est toi qui le premier m' as ouvert les yeux sur la pourriture universelle. Avoir compris que le seul moteur de l' humanité était...
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    " L' école ne m' a appris qu' à lire et à écrire. Cette mince instruction fut pour moi le chemin le plus sûr pour mourir de faim dans l' honnêteté et l' ignorance. C' est toi qui le premier m' as ouvert les yeux sur la pourriture universelle. Avoir compris que le seul moteur de l' humanité était le vol et l' escroquerie, c' est ça la vraie intelligence. Pourtant tu n' es pas allé à l' école. Depuis que je t' ai rencontré, je vole la conscience tranquille et le coeur réjoui. Je dirais même plus. J' ai le sentiment que par mon activité je contribue à la prospérité du pays, puisque je dépense l' argent subtilisé aux riches dans divers commerces qui sans moi et mes pareils iraient vers le déclin. "
    Albert Cossery

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  • Une langue superbe, un texte qui parle, des idées qui font réfléchir. A ne pas manquer.

    Une langue superbe, un texte qui parle, des idées qui font réfléchir. A ne pas manquer.

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  • Hâtez vous de lire Cossery. Dans une langue magnifique, l'auteur fait la fable douce amère d'un moins que rien devenu prince des voleurs. À lire après "l'immeuble Yacoubian" et avant "rue des voleurs" du fraîchement Goncourisé Mathias Énard. Les propos de Cossery sont modernes et son credo, le...
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    Hâtez vous de lire Cossery. Dans une langue magnifique, l'auteur fait la fable douce amère d'un moins que rien devenu prince des voleurs. À lire après "l'immeuble Yacoubian" et avant "rue des voleurs" du fraîchement Goncourisé Mathias Énard. Les propos de Cossery sont modernes et son credo, le plus respectable qui soit : ceux qui adulent l'argent ne méritent que le mépris.

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