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Majésu Monroe est brocanteur. Il propose à sa clientèle des objets ayant appartenu à des célébrités:un portrait du Christ à la mine de plomb dessiné par un officier romain, une chaussette - trouée - de Rimbaud, et mille autres raretés qui sentent l'escroquerie et la poésie. Majésu rencontre un jour Noème, fille d'un couple richissime, bien décidée à faire payer à ses parents les crimes de la bourgeoisie. L'amour naît instantanément, basé sur une même haine des riches, un même penchant pour l'alcool et une même absence de scrupules:le mariage est inévitable. Mais, à la mort accidentelle des parents de Noème, les projets du couple tournent court. Pire qu'une guerre civile, la guerre conjugale commence. On retrouve ici l'imagination retorse de Franz Bartelt, sa verve anarchisante et son style impeccable, pour la plus grande hilarité du lecteur.
Roman à l' ambiance de polar loufoque où des aventures toutes plus abracadabrantes les unes que les autres s'enchaînent aurait pu être passionnant s'il n'y avait eu cette exagération dans le comportement du personnage principal qui n'est autre que le narrateur. Non seulement il se pare de toutes les qualités possibles mais il est en outre exagérément duplice, ce qui gâche de plus en plus la lecture.
Néanmoins on est bien loin d'imaginer où l'auteur va nous emmener.. la chute est quelque peu surprenante.
Deux personnages dans ce roman : Majesu Monroe brocanteur , vendant des objets ayant appartenu à des célébrités. Le titre renvoit d'ailleurs à un éventuel "objet"' ou une éventuelle relique qu'on eût pu trouver au stand de Majesu. Majesu est une sorte de poète car il crée une histoire à l'histoire pour charmer l'acheteur.
Il rencontre Noème , fille d'une famille très riche, milieu qu'elle exècre par dessus tout. c'est sur cette haine des riches que Majesu et Noème vont s'aimer et se marier. Ils vivent avec les pauvres, à la manière des pauvres et se marient comme des pauvres.
Cependant , le comte de fée s'arrêtera net lorsque Noème hérite des ses parents décédés brutalement en voyage.
Ce n'est alors plus pour la lutte des classes mais la lutte pour l'argent que vont se livrer les deux amants. Le roman change d'ambianbce à la mort des parents de Noème. L'argent détesté devient le symbole de leur désunion même si les secrets de famille sont parfois plus dévastateurs que l'argent lui-même. c'est ce que nous livre ce roman et je n'en dirai pas plus......
Majesu , le commissaire sont des personnages semblant sortir des romans de Pennac . Au fil des pages, j'ai retrouvé l'ambiance un peu psychédélique de la famille Malaussène ( AU bonheur des ogres etc...)
Les enchaînements d'évenements parfois très improbables rendent le récit drôle. Il y a un brin de fantaisie et une pointe de sarcasme tout au long de ce roman à commencer par le titre. Car jamais il ne sera question du fémur de Rimbaud......
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