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Le murmure des oliviers

Couverture du livre « Le murmure des oliviers » de Giuseppe Bonaviri aux éditions Verdier
  • Date de parution :
  • Editeur : Verdier
  • EAN : 9782378560003
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Comme dans Le Tailleur de la Grand-Rue, son premier livre, Bonaviri met en scène, dans ce récit écrit en 1955, un petit monde paysan de Sicile orientale où plantes, nuages et ruisseaux partagent les joies et les souffrances des person- nages. Faite de bonheurs simples autant que de disette, de... Voir plus

Comme dans Le Tailleur de la Grand-Rue, son premier livre, Bonaviri met en scène, dans ce récit écrit en 1955, un petit monde paysan de Sicile orientale où plantes, nuages et ruisseaux partagent les joies et les souffrances des person- nages. Faite de bonheurs simples autant que de disette, de maladie ou de guerre, l'humble épopée de Massaro Angelo, le métayer, et de sa famille, dialogue avec les espaces cosmiques dont Bonaviri, dans ses oeuvres ultérieures, se fera l'explorateur mélancolique et fantasque.
Cet équilibre entre le style primitif et la grâce, l'imagerie populaire et le rêve, qu'admirait tant cet autre grand Sicilien, Elio Vittorini, on le retrouvera dans les trois chapitres piémontais d'un roman inachevé que ce volume propose en complément.
« Comme tous les personnages de Bonaviri, comme l'auteur lui-même, Angelo est un poète. Qu'est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire qu'il conçoit les événements de sa vie comme l'expression de forces qui dépassent l'humanité. Les nuages, les grenouilles, les hiboux parlent le même langage que les soldats qui reviennent de la guerre, tous conduits par une fatalité dont les hommes sont les témoins éblouis et accablés.
La mort qui hante ces pages n'est jamais tout à fait un élément négatif ou extérieur. C'est une divinité noire, bien sûr, mais compagne de la vie quoti- dienne des paysans. » René de Ceccatty, Le Monde

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