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Le critique : si je savais chanter, je serais sauvé(e) ; le songe de Guenièvre

Couverture du livre « Le critique : si je savais chanter, je serais sauvé(e) ; le songe de Guenièvre » de Juan Mayorga aux éditions Solitaires Intempestifs
Résumé:

Le Critique.
Si nous pouvions bannir de la vie tout ce qui nous semble faux au théâtre‚ si nous pouvions bannir de la vie tout ce que nous n'aimons pas au théâtre‚ que resterait-il ? Nous ne demanderons jamais à la vie ce que nous exigeons du théâtre. Au théâtre‚ nous demandons la vérité‚ toute... Voir plus

Le Critique.
Si nous pouvions bannir de la vie tout ce qui nous semble faux au théâtre‚ si nous pouvions bannir de la vie tout ce que nous n'aimons pas au théâtre‚ que resterait-il ? Nous ne demanderons jamais à la vie ce que nous exigeons du théâtre. Au théâtre‚ nous demandons la vérité‚ toute la vérité.

Au soir d'une première triomphale‚ l'auteur dramatique Scarpa vient demander des comptes à son critique Volodia. Loin des feux de la rampe s'engage un duel féroce‚ qui voit se confronter deux hommes au sommet de leur art‚ deux visions du théâtre‚ de l'écriture et finalement‚ de la vie.

Le Songe de Guenièvre.
Le Président s'apprête à défiler, dans sa décapotable, sa femme à son côté.
Jour de triomphe politique.
Le matin - réception à l'hôtel de ville -, un Homme (richissime armateur dont la flotte mouille dans le port), se fait présenter au Président. Incivilité (on dit cet Homme grossier, capable de tout acheter avec son argent) : il dévore des yeux la Femme du Président. Celle-ci se lance à sa recherche, le rejoint dans son repère (un hangar envahi de cartons : lieu unique de l'acte théâtral). Elle vient lui demander raison de son audace, fascinée déjà. Elle est l'héroïne, l'Homme se tait. Elle seule parlera.

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