Voici le troisième livre qui termine cette histoire qui nous prend avec quelle facilité, nous ne pouvons le lâcher mais j'ai été ravie de connaitre sa fin ! on ne cesse d'être surpris .. vraiment une belle série !
L'aventure de Bastet se poursuit. Après avoir fui la France la voici aus États-Unis. Cependant elle y découvrira un.pays envahi par les rats également.
Adaptation, communication, argumentation seront les maitres-mots de cet opus.
Donc après la Trilogie des fourmis, le Cycle des Anges, le Cycle des Dieux, le Cycle Aventuriers de la Science, le Cycle de la troisième humanité, Bernard Werber ferme un nouveau Cycle, celui des chats avec La Planète des Chats, titre qui rappelle étrangement pas son titre la planète des singes de Pierre Boule, lui aussi génialissime auteur.
Une fois n’est pas coutume, j’ai adoré ce nouvel ouvrage de l’auteur. Je dirais que depuis les fourmis, que j’ai découvert en 91, il n’y a aucun livre de l’auteur que je n’ai pas apprécié, certes certains plus que d’autres, mais Bernard Werber est l’un de ces auteurs que j’aime a retrouver chaque année.
Avec la planète des chats, on referme un cycle où les félins sont à l’honneur où la félicité est le futur de l’humanité a moins que la ratité n’ai son mot à dire.
Après deux ans à suivre les aventures de Bastet et Pythagore, donc lorsque Pythagore disparaît dans les soixante premières pages, cela fait un petit quelque chose, il nous manquerait presqu’autant qu’à notre héroïne…. Sans vouloir spoiler, je vous dirais simplement que dans cet opus, c’est une véritable hécatombe, en quelques pages meurt un grand nombre des amis de voyage de notre féline héroïne. On en vient d’ailleurs à se demander comment Bastet et les siens réussiront a sauver l’humanité et la félicité face à l’invasion des rats qui détruissent toute forme de vie, surtout si elle est humaine.
Je vous laisse découvrir ce nouvel opus qui se lit tel un pageturner et vous laisse découvrir par vous-même ce qu’il en deviendra de l’humanité. Vous découvrirez également des combats épiques digne de Tolkien. Et n’oubliez jamais que tout est possible, même le retournement de la fin.
Petite anecdote qui n’a rien à voir, mais quand même. Il y a quelques mois, nous avons décidé d’adopter un chat et l’influence de Bernard Werber à fait que nous avons donné un nom au chat ayant du sens, comme l’ensemble des félins qui apparaissent dans le Cycle des Chats, nous aurions pu tout simplement l’appeler « Chat » mais nous lui avons préféré « Trotski », car il est venu pour révolutionner la maison….
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