Traducteur prolifique des grands noms de la littérature anglo-saxonne (Bret Easton Ellis, Ernest Hemingway, Jack Kerouac, Francis Scott Fitzgerald…), Pierre Guglielmina nous détaille sa conception du métier.
Ruth Rendell La Demoiselle d'honneur Trois femmes occupent l'imagination de Philip : Rebecca, dont l'assassinat supposé passionne Londres - il éprouve à son sujet une fascination pour la mort qui l'horrifie. Senta, rencontrée au mariage de sa soeur où elle était demoiselle d'honneur. Enfin une statue, représentant la déesse Flore : objet des fantasmes d'adolescent de Philip et propriété d'un personnage peu sympathique, elle ressemble extraordinairement à Senta, avec laquelle il vit une passion vénéneuse.
Dans sa recherche du mystère de ces trois femmes, ce sont ses propres énigmes que Philip va peu à peu percer : la violence refoulée, l'inceste latent, l'obsession érotique et la pulsion meurtrière.
Dans la parenté de Patricia Highsmith, un des chefs-d'oeuvre du roman de psychologie criminelle.
Traducteur prolifique des grands noms de la littérature anglo-saxonne (Bret Easton Ellis, Ernest Hemingway, Jack Kerouac, Francis Scott Fitzgerald…), Pierre Guglielmina nous détaille sa conception du métier.
Ruth Rendell, c'est ma Madeleine de Proust.
Découverte à l'adolescence, c'est l'autrice dont j'ai lu les quelques 80 romans et recueils de nouvelles. Je pense bien avoir vu aussi tous les films adaptés de ses œuvres (ou presque).
Lors du mariage de sa sœur, Philip, un jeune homme allergique à toute forme de violence, rencontre Senta une jeune femme fantasque et imprévisible. Celle-ci ressemble de façon frappante à la statue en marbre que son défunt père avait offert à sa mère.
Je n'ai pu m'empêcher de penser à Jules et Jim, chose qui ne m'avait pas frappée lors de mes premières lectures, puisque je n'avais pas encore lu le roman d'Henri-Pierre Roché. J'imagine que la référence n'est pas fortuite.
Sans surprise, j'ai à nouveau adoré la peinture fine et perspicace d'une tranche de la population anglaise.
Nous sommes d'ailleurs tombées d'accord avec Manon pour dire que le roman n'avait pas vieilli, il a beau être paru en 1989, hormis l'absence de téléphones portables, il reste encore très actuel.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dernière réaction par fadila chaabane il y a 2 jours
Dernière réaction par passionlectrice il y a 5 jours
Alexandre rend hommage à ce frère, qui l’a terrifié durant toute son enfance. « (…) Je trouvais ça incroyable qu’une chose aussi belle, sauvage et incontrôlable puisse sortir de sa tête"
Les conseils de lecture fleurissent !
Mathieu Persan fait d’un journal de deuil une véritable épopée du bonheur
Du suspense, des enquêtes et des mystères pour les enfants et les ados !