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Femme libre, toujours tu chériras la mer

Couverture du livre « Femme libre, toujours tu chériras la mer » de Catherine Chabaud aux éditions Glenat
  • Date de parution :
  • Editeur : Glenat
  • EAN : 9782353570249
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Ces femmes-là ne sont pas toutes des navigatrices hauturières comme Maud Fontenoy, Ellen MacArthur et d'autres, toujours plus nombreuses. Mais qu'elles soient marins à la pêche, au commerce ou engagées dans la marine militaire, l'eau salée coule pareillement, et à flot, dans leurs veines.... Voir plus

Ces femmes-là ne sont pas toutes des navigatrices hauturières comme Maud Fontenoy, Ellen MacArthur et d'autres, toujours plus nombreuses. Mais qu'elles soient marins à la pêche, au commerce ou engagées dans la marine militaire, l'eau salée coule pareillement, et à flot, dans leurs veines. Pendant des siècles, la mer a été un espace masculin, même si des femmes ont parfois été les matelots de leurs maris, par exemple en Bretagne. La plupart du temps, dès qu'elles enjambaient le plat-bord, les filles se transformaient en « lest du diable » et autres... « poulies coupées » ! Il a fallu toute la ténacité de femmes de tempérament, au sens marin incontestable, pour que le monde maritime les accepte...puis les admire. Très, très progressivement. Désormais le mouvement s'accélère et, depuis une décennie, tous les métiers maritimes sont investis. Jean-Luc Garnier portraiture une dizaine de ces passionnées de la mer : Anne Bonny, Virginie Hériot, Isabelle Autissier, Florence Arthaud, Helen MacArthur, Anne Liardet, Scarlett Le Corre, Hermine de Saussure, Ella Maillart, Anita Conti, etc. Toutes ont repoussé, chacune à leur manière et au regard de leur époque, les limites de ce qu'il est « convenable » que les femmes fassent. Plusieurs ont fortement marqué leur époque, telle l'ethnologue Anita Conti, qui partagea le dur métier des terreneuvas, décrit et photographié avec finesse.

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