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Ça mange pas de pain

Couverture du livre « Ça mange pas de pain » de San-Antonio aux éditions Fleuve Noir
Résumé:

Moi, vous me connaissez ? Jouer les privés, ce n'est pas mon fort. Même si le Vieux me flanque sa bénédiction... Même si le client allonge douze briques sur la table de notre salle à manger... En matière de police, comme en amour, je suis professionnel jusqu'au bout des extrémités. On ne se... Voir plus

Moi, vous me connaissez ? Jouer les privés, ce n'est pas mon fort. Même si le Vieux me flanque sa bénédiction... Même si le client allonge douze briques sur la table de notre salle à manger... En matière de police, comme en amour, je suis professionnel jusqu'au bout des extrémités. On ne se refait pas. Tout ça pour vous dire que ces douze millions d'A.F. me laissent de glace, comme disent les Lapons. Et pourtant, douze briques, hein... ça mange pas de pain !

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Avis (1)

  • Alors qu'il est en congé et s'apprête à partir quelques jours avec maman Félicie, San-Antonio reçoit la visite d'une personne envoyée par Achille, son big boss. Le commissaire accepte de retrouver pour lui une enveloppe ayant été volée dans son coffre à la banque.
    Le voleur ayant été repéré in...
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    Alors qu'il est en congé et s'apprête à partir quelques jours avec maman Félicie, San-Antonio reçoit la visite d'une personne envoyée par Achille, son big boss. Le commissaire accepte de retrouver pour lui une enveloppe ayant été volée dans son coffre à la banque.
    Le voleur ayant été repéré in London, Sana décide d'y emmener sa chère mère en lieu et place du séjour initialement prévu et avorté.

    Comme souvent, il fait appel à son fidèle adjoint pour faire quelques recherches.
    Béru, puisqu'il s'agit évidemment de lui, est également en vacances – décidément personne ne bosse dans la police française – et se trouve sur le départ avec Berthe, Alfred et Marie-Marie. Après une vive algarade entre les époux Bérurier – un moment toujours fort apprécié de leurs voisins –, la gamine qui préfère la compagnie de son Santonio, suggère à son oncle de laisser Berthe se faire l'Espagne avec son pommadin et de rejoindre l'Angleterre.

    Une fois n'est pas coutume, Félicie suit son fils adoré dans sa traque du sieur Huret, le casseur de banque, n'hésitant pas à apporter son aide, ce qui lui permet de découvrir l'hospitalité des prisons londoniennes, avec un flegme qu'envierait le plus flegmatique des Angliches.
    L'entrée en scène de Béru est bien sûr on ne peut plus tonitruante, le Gros se trouvant coincé dans un water closed d'aéroport londonien dont il a malencontreusement bloqué la serrure à pièces avec une de vingt centimes, la porte ne résistant pas à sa charge héroïque.

    L' intrigue est assez minimaliste – on a l'habitude - et bizarrement peu de noms évocateurs émaillent le récit, à part un flic de Scotland Yard répondant au nom de Mac Heckett, et un protagoniste secondaire ne répondant malheureusement plus pour lui à celui de Otto Buspériféric.
    La présence de la nièce d'Alexandre-Benoît est une fois de plus un pur régal. Miss tresses apportant une aide efficace dans les moments où son tonton est en danger, expliquant ensuite : « Je tolère pas qu'on abîme m'n' onc' devant moi ».

    Un cru de 1970 qui n'atteint pas des sommets mais reste très honorable au niveau poilade.

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