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Pauline Delabroy-Allard

Pauline Delabroy-Allard
Pauline Delabroy-Allard est née en 1988. Son premier roman s'intitule Ça raconte Sarah.

Articles en lien avec Pauline Delabroy-Allard (1)

Avis sur cet auteur (38)

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    Couverture du livre « Qui sait » de Pauline Delabroy-Allard aux éditions Gallimard

    Pascale Pay sur Qui sait de Pauline Delabroy-Allard

    Une histoire de deuil, une de plus !

    J'aimerais lire des choses bien plus gaies et agréables que ces divagations d'une femme qui ne sait qui elle est et qui fuit pour essayer de le découvrir.

    Si je ne l'avais lu dans le cadre d'un prix de lecteurs, j'aurais abandonné avant la fin....
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    Une histoire de deuil, une de plus !

    J'aimerais lire des choses bien plus gaies et agréables que ces divagations d'une femme qui ne sait qui elle est et qui fuit pour essayer de le découvrir.

    Si je ne l'avais lu dans le cadre d'un prix de lecteurs, j'aurais abandonné avant la fin. Démoralisant et la fin de moins en moins compréhensible.
    Pas terrible la sélection de cette année pour le prix du deuxième roman!

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    Couverture du livre « Voix francaises contemporaines ; classiques de la littérature française » de Julia Kerninon et Pauline Delabroy-Allard et Victor Pouchet et Mohamed Mbougar aux éditions Novellix

    Lex_Libris_ sur Voix francaises contemporaines ; classiques de la littérature française de Julia Kerninon - Pauline Delabroy-Allard - Victor Pouchet - Mohamed Mbougar

    Les enfants de Coney Island de Julia Kerninon : c'est l'été dans le comté du Queens à New York, dans un centré aéré, le soir, venu, les parents sont de moins en moins nombreux à récupérer les enfants. Au bout de quelques jours, ceux d'entre eux qui n'ont pas été réclamés sont éloignés de la...
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    Les enfants de Coney Island de Julia Kerninon : c'est l'été dans le comté du Queens à New York, dans un centré aéré, le soir, venu, les parents sont de moins en moins nombreux à récupérer les enfants. Au bout de quelques jours, ceux d'entre eux qui n'ont pas été réclamés sont éloignés de la ville en camion, puis livrés à eux-mêmes. Voila, une fable douce-amère sur l'enfance et le passage à l'âge adulte.

    M'en allant promener de Pauline Delabroy-Allard : après une rupture amoureuse, une jeune femme quitte Paris pour se retrouver seule dans la maison que lui prête sa tante dans le sud de la France. Sur place, elle y rencontre Claire, resplendissante de maturité.. L'histoire d'un amour d'été et du réveil de la sensualité.

    Une histoire par soir ou de temps en temps de Victor Pouchet : de courtes fables, à la fois poétique et quotidienne comme l'histoire d'un hibou, d'une piscine, d'un arbre ou d'un t-shirt.. pas que réservé aux enfants !

    Atmosphère de Mohamed Mbougar Sarr : dans les rues de Buenos Aires, une jeune femme et un jeune homme croisent les fantômes d'écrivains du passé.. un voyage au coeur de l'Argentine et de la nuit.

    Quatre nouvelles, quatre textes courts, inédites, envoutants de la nouvelle génération d'auteurs contemporains français. Dans un jolie coffret, quatre petits livre au format poche à emporter partout.. On se laisse vite happer dès les premières lignes de ces minis histoires d'amours, d'hommages, d'aventures, de drôlerie. Une petite nouvelle par jour comme une dose de littérature dans nos quotidiens mouvementés. Ecrits avec simplicité, légèreté, voir poétique. Magnifique édition que Novellix, à découvrir ou à offrir de toute urgence !

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    Couverture du livre « Ça raconte Sarah » de Pauline Delabroy-Allard aux éditions Minuit

    Christine GAZO sur Ça raconte Sarah de Pauline Delabroy-Allard

    Ça raconte Sarah, ça raconte l'histoire d'une passion amoureuse.
    Celle qui unit la narratrice, jeune professeur de français, mère solo d'une petite fille, à Sarah, la tourbillonnante violoniste .
    La rencontre, l'attirance réciproque, et la passion donc avec son lot d'excès, de dépendance, de...
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    Ça raconte Sarah, ça raconte l'histoire d'une passion amoureuse.
    Celle qui unit la narratrice, jeune professeur de français, mère solo d'une petite fille, à Sarah, la tourbillonnante violoniste .
    La rencontre, l'attirance réciproque, et la passion donc avec son lot d'excès, de dépendance, de joies intenses, de désir fulgurant, d'enthousiasme, de violence, de destruction...
    Si j'ai aimé cette première partie du livre, son style,son rythme, j'ai beaucoup moins accroché à la seconde qui évoque la mort de cet amour. Trop répétitif, s'engluant un peu..
    Une lecture en demi teinte donc...

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    Couverture du livre « Ça raconte Sarah » de Pauline Delabroy-Allard aux éditions Minuit

    Lauryp sur Ça raconte Sarah de Pauline Delabroy-Allard

    “L’amour avec une femme : une tempête.”

    “Ça raconte Sarah”, ça raconte ça. Une histoire banale, un peu bateau, entre une musicienne et une écrivaine. La rencontre entre deux étincelles.

    C’est comme un long poème, ou une toile peinte au couteau. Ça ne raconte rien de très précis, c’est...
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    “L’amour avec une femme : une tempête.”

    “Ça raconte Sarah”, ça raconte ça. Une histoire banale, un peu bateau, entre une musicienne et une écrivaine. La rencontre entre deux étincelles.

    C’est comme un long poème, ou une toile peinte au couteau. Ça ne raconte rien de très précis, c’est juste un éclat de couleurs balancé sur le tableau. C’est haché. Ça va très vite, à toute vitesse. Pauline Delabroy-Allard le dit mieux que moi :

    “Quand nous sommes ensemble, la vie va trop vite, à toute berzingue.”

    Au rythme de leur amour, la narratrice s’offre quelques respirations. Elle admire sa muse. Elle la détaille ; Sarah et ces petites habitudes. De la nuisette en soie qu’elle porte pour dormir à ses pieds nus quand elle conduit, tout devient un instant de grâce.

    Depuis qu’elle a embarqué dans les bras de Sarah, il y a tant de mouvements. Des départs, des arrivés. Ça raconte vivre sa vie à fond, parce que Sarah “elle fait beaucoup de choses comme si sa vie en dépendait”. Elle déploie un imaginaire brûlant où la vie ne rime plus qu’avec l’obsession.

    « Elle pourrait être mon modèle si je savais peindre. Elle poserait pour moi, dans toutes sortes de lumières différentes, elle serait toujours plus belle que sur le tableau précédent. »

    Or, la passion connaît aussi son lot de folies. Le jour où l’intensité atteint le trop-plein, la muse exquise devient odieuse. Parce qu’avec Sarah, on passe du tout au rien. Et sans Sarah, on est démuni.

    « Je me souviens de ça, de m’être dit croyez-moi, personne n’en sortira indemne. »

    Une question reste : Le grand amour fait de passion, doit-il tout détruire sur son passage ? Ne peut-on pas s’aimer d’un amour tranquille et confortable au risque de frôler l’ennui ?

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