La revue de presse livres vous dit tout ce qu’il faut savoir — et emporter — avant l’été !
Nathalie Iris, de la librairie Mots en Marge organise chaque année en juin "La Nuit Blanche des Livres" à La Garenne Colombes. Dans ce lieu d'échange, les auteurs viennent à la rencontre de leurs lecteurs pour une grande fête du livre joyeuse et...
Auteur à succès, David Foenkinos marque cette rentrée littéraire 2014 avec son roman "Charlotte" dans lequel il retrace la vie de Charlotte Salomon, artiste peintre morte à vingt-six ans alors qu'elle était enceinte. Il dresse le portrait saisissant...
Dans un registre peut-être plus grave que ses précédents titres, tout en s'autorisant toutefois un humour et un cynisme qui le caractérise, David Foenkinos aborde là des thèmes dans lesquels chacun puisera sa propre réflexion : la vieillesse, le...
La revue de presse livres vous dit tout ce qu’il faut savoir — et emporter — avant l’été !
Une librairie éphémère, plus de 40 auteurs, une nuit inoubliable ! La Nuit blanche des Livres.
La Revue de Presse littéraire d'avril
Auteur prolifique et bénéficiant d'une belle notoriété autant dans le milieu littéraire qu'auprès du public, David Foenkinos est déjà lauréat de nombreux prix et l'année 2014 le plébiscite une fois de plus pour son roman, Charlotte (Gallimard) : Prix Renaudot et Prix Goncourt des lycéens ! Bravo à David, également en tête du palmarès 2014 des libraires.
J'ai rapidement été saisie par le mystère qui se dégage de ce livre que j'ai trouvé intriguant et plaisant. J'ai beaucoup apprécié les passages consacrés à la peinture et à l'Art en général et les personnages principaux d'Antoine et de Camille sont attachants. De plus ce livre est agréable à lire par son écriture et j'ai redécouvert D. Foenkinos alors que j'avais été déçue par La délicatesse ou Charlotte.
Dans son roman « le mystère Henri Pick », David Foenkinos nous conte un vrai « polar littéraire », que j’ai trouvé un peu différent de ses autres romans.
Tout commence en Bretagne : un amoureux des livres crée une bibliothèque des manuscrits refusés à l’édition, à Crozon. Des années plus tard, une éditrice (Daphné) et un écrivain (Fred) y découvrent un livre qui les touche, sur lequel est griffonné le nom d’Henri Pick. Persuadée qu’il s’agit d’un véritable chef d’œuvre, Daphné souhaite le proposer à la publication et se met donc à la recherche de son auteur. Ils font rapidement la rencontre de Madeleine Pick, sa veuve d’une attachante franchise. Celle-ci est extrêmement surprise à l’idée que son défunt mari, un pizzaïolo qui n’a jamais rien lu ou écrit sauf des listes de courses, puisse être l’auteur d’un roman - qui plus est sur la mort de Pouchkine. Elle donne cependant son accord pour la publication, après avoir découvert un livre de Pouchkine dans les affaires de Henri.
Grace à un plan de com’ réussi, les ventes flambent. Intrigué par ce succès, Jean-Michel Rouche, critique littéraire à l’éternel imperméable fripé, doute de l’identité de l’auteur. Il part donc à Crozon au volant de la voiture de sa compagne (qui lui a interdit de la rayer encore une fois), puis à Rennes pour interroger Joséphine Pick, la fille unique de Madeleine et Henri.
D’habitude, je suis subjuguée par l’écriture sublime de Foenkinos, davantage que l’intrigue. Ce fut le contraire dans ce roman, à l’écriture un peu plus légère, mais quelle histoire ! C’est la première fois depuis « d’après une histoire vraie » de Delphine de Vigan, que j’ai été agréablement surprise de la fin.
Comme toujours avec Foenkinos, les personnages sont travaillés et attachants. J’ai adoré suivre les prises de décisions de Magali, qui tient la bibliothèque des livres refusés ; mais plus encore les péripéties de Jean-Michel Rouche, un drôle d’inspecteur Colombo malgré lui.
J’ai apprécié qu’il y intègre de vraies personnalités, comme par exemple Beigbeder et François Busnel (vous découvrirez d’ailleurs une interview inoubliable de Madeleine Pick Par Busnel).
Jubilatoire !
Agréable lecture que ce roman. Une tranche de vie (plus ou moins) trépidante de Bernard, personnage "looser", qui entame une descente aux enfers et se retrouve, à 50 ans, à devoir retourner chez ses grands parents.
L'histoire est simple, tout comme l'écriture, et truffée d'humour. Les situations dans lesquelles se retrouve Bernard sont souvent cocasses, et prêtent à sourire. C'est ce qui fait de cette lecture un agréable moment de détente. Certes, pas de grande réflexion ni de documentation poussée dans cette oeuvre, mais elle est divertissante, et permet de sortir un peu de son quotidien, ce qui, en ces temps moroses, est très précieux !
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