Aucun résumé n'est disponible pour cet ouvrage actuellement...
Un coup de coeur pour ce roman sur la vie d'une femme qui a connu milles vies et qui tente de laisser un trace au crépuscule de son existence. Tout dans l'histoire de Doris est plaisant, même les côtés assez clichés.
Un roman qui fait passer par de nombreux sentiments mais dont on en ressort positif. Une belle retrospection sur cette héroïne et les personnes qui ont compté pour elle. A lire !
Une dame âgée, Doris, en perte d'autonomie, nous est présentée. Elle vit seule et a seulement des contacts avec une petite nièce au moyen de skype. Consciente de sa mort prochaine, elle décide de raconter ses souvenirs à partir d'un petit carnet sur lequel elle écrivait le nom des gens qu'elle rencontrait et qui ont compté pour elle mais qui sont aujourd'hui décédés. On a donc un aperçu (un chapitre sur deux) de ce qu'a été sa vie : famille, amitié, voyages, rencontre amoureuse, mannequinat... et de la vie au début du 20ème siècle. On se met aussi à la place de cette dame âgée qui refuse de partir en maison de retraite.
Excellent roman, une destinée hors du commun, qui se lit rapidement, se dévore et plein d'humanité.
Une dame âgée, Doris, en perte d'autonomie, nous est présentée. Elle vit seule et a seulement des contacts avec une petite nièce au moyen de skype. Consciente de sa mort prochaine, elle décide de raconter ses souvenirs à partir d'un petit carnet sur lequel elle écrivait le nom des gens qu'elle rencontrait et qui ont compté pour elle mais qui sont aujourd'hui décédés. On a donc un aperçu (un chapitre sur deux) de ce qu'a été sa vie : famille, amitié, voyages, rencontre amoureuse, mannequinat... et de la vie au début du 20ème siècle. On se met aussi à la place de cette dame âgée qui refuse de partir en maison de retraite.
Excellent roman, une destinée hors du commun, qui se lit rapidement, se dévore et plein d'humanité.
Doris a 96 ans.
Le carnet d’adresses offert par son père alors qu’elle était encore enfant sert de fil conducteur au récit de sa vie qu’elle écrit pour sa petite-nièce, la seule famille qui lui reste.
Lumineux et d’une grande humanité, ce livre nous touche au plus profond de nous-mêmes en nous offrant une belle leçon de vie.
La fin est bouleversante.
Comment est-il possible que ce livre merveilleux ait dû passer par l’autoédition avant de trouver enfin un éditeur qui l’a diffusé dans plus de 30 pays !!!
« Un petit carnet rouge » est un joli écrin où se trouve un portrait de femme des plus beaux. Ce roman est un bijou qui brille de mille feux, un diamant pur où une vie entière, une vie incroyable s’y reflète. Doris a vécu une vie extraordinaire, a rencontré des gens fabuleux et beaucoup moins fabuleux, a traversé l’Atlantique en bateau, a connu la pauvreté et l’abondance, a connu le grand amour. Doris a vécu mille vies en une seule et ce qui la relie à toutes ses vies, c’est un petit carnet rouge dans lequel sont inscrits le nom des personnes et les rencontres qu’elle a faites. Certains noms sont barrés car ces personnes sont mortes. Ne pouvant plus se déplacer, Doris souhaite que sa nièce, sa seule famille, puisse avoir ses souvenirs. Doris va raconter 96 ans de sa vie, de ses combats, de ses croyances, de ses aventures, de ses déconvenues.
C’est passionnant. C’est incroyable. C’est beau. C’est un portrait d’une femme qui s’est battue, qui a cru en un meilleur. C’est un voyage en Suède, à Paris, dans le sud, à New-York, en Angleterre. C’est entrer dans le monde de la bourgeoisie, de la mode, des artistes. C’est vivre par procuration la vie de Doris. Doris est plus qu’attachante. Elle m’a littéralement époustouflée par sa force, sa détermination, sa volonté, ses combats. Il y a tellement à découvrir, à apprendre de la vie de Doris. Et toutes les personnes qu’elles a rencontrées sont également incroyables ou détestables.
« Un petit carnet rouge » est un très beau portrait d’une femme incroyable au cours des années et des pays. Sofia Lundberg a écrit une très belle histoire qui se lit comme un journal de vie. C’est un destin de femme qu’il faut découvrir grâce à la jolie plume de l’auteure, à sa très belle façon de raconter des histoires extraordinaires.
"Assez est le mot que je veux te donner pour t'accompagner dans ton voyage : Assez de soleil pour illuminer tes jours, assez de pluie pour apprécier le soleil, assez de joie pour nourrir ton âme, assez de peine pour savoir profiter des petits plaisirs et assez de rencontres pour savoir dire adieu".
Seul bagage que sa mère lui laissera avant qu'elle ne parte sur les chemins de sa vie, cette phrase sera l'étoile qui accompagnera Doris tout au long d'une existence qui la mènera, au gré de ses drames, de ses rencontres, de ses errances et de ses espoirs, de sa Suède natale à New York, en passant par le Paris des années 30 et l'Angleterre, avec pour seul guide, l'Amour et pour compagnon, un petit carnet rouge.
L’Amour ....
... fusionnel qu'elle porte à sa petite nièce et seule famille, l'amour sans faille pour l'ami protecteur de son enfance et surtout son amour inaltérable pour un seul homme, perdu...mais jamais oublié.
Un petit carnet rouge...
... dans lequel elle égrène les noms de tous ceux qui traversent sa vie, s'y ancrent ou en disparaissent.
Son petit carnet rouge : Carte au trésor d'une existence réduite désormais à un voyage au cœur de ses souvenirs, prisonnière d'un corps qui l'invite à la mort. Car Doris a 96 ans....des souvenirs plein la tête...des douleurs plein le corps...et de l'amour plein le cœur.
Alors pour ne pas disparaître totalement, elle prend sa plume pour lui donner vie et laisser ainsi en héritage son bien le plus précieux : Ses souvenirs.
"As-tu aimé assez ?" Ainsi s'achève le livre. Qui peut se targuer de répondre : "Oui"...?
Sachez Doris que je vous trouve touchante, attachante, pétillante mais aussi inquiétante :
Il y a des rencontres inévitables de ma vie que je ne suis pas pressée de faire... A l'inverse, vous m'avez donné l'envie d'en précipiter d'autres...Et surtout, merci de m'avoir rappelé que la chose la plus urgente que j'ai à faire d'ici là est...d'Aimer.
J'ai d'abord pensé cette lecture comme un petit bonbon acidulé, un petit livre feel-good qui me ferait du bien entre deux gros thrillers.
Dans le premier bon tiers de ma lecture, je m'ennuyais. Je trouvais les situations stéréotypées et ne parvenais pas à m'attacher aux personnages. Les époques n'étaient pas suffisamment fouillées, les faits n'étaient qu'évoqués en surface, je trouvais le tout bien pâlichon et terriblement confus. Et je ne parle même pas de l'écriture, simple, sans conviction, sans élan de générosité, sans talent; d'une platitude alarmante et d'un manque d'authenticité flagrante.
Enfin, il a eu les 150 dernières pages. Là, je n'ai plus pu poser le livre, je voulais connaître le fin mot de l'histoire. Enfin, j'entrais en empathie avec Doris, cette vieille dame vivant seule à Stockholm, et sa petite-nièce, Jenny, vivant à San Francisco et qui fera son possible pour adoucir les vieux jours de sa tante.
Alors certes, c'est très téléphoné, un brin tiré par les cheveux, un poil mélodramatique faisant penser à un téléfilm du dimanche après-midi, mais que cette dernière partie fut émouvante.
Un petit roman qui n'a rien d'extraordinaire mais qui a su toucher mon coeur de midinette.
En cette période difficile, la lecture d’« Un petit carnet rouge » donne du baume au cœur.
Plus que jamais, il nous conforte dans l’importance vitale des relations, des liens humains.
Être éloigné de ceux qu’on aime, combattre l’isolement coûte que coûte, apporter de la bienveillance et de la chaleur humaine autour de soi paraissent certes des situations et des sentiments banals. Il n’en reste pas moins nécessaire de vaincre les obstacles et d’apporter autant d’amour que possible.
Doris est attachante et sa vie si riche nous attendrit. Toutes ces rencontres qui jalonnent son existence sont autant de représentants de la nature humaine.
Portrait d’une femme pétillante, pleine d’empathie mais qui a ses faiblesses et des réactions parfois inadaptées, comme tout un chacun. L’être humain est ainsi fait.
Récit d’une fraîcheur bienvenue, qui donne envie de se réconcilier avec l’Humain au sens large et de continuer, malgré tout, à croire aux rencontres, quelles qu’elles soient.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des ouvrages pour les adultes et les plus jeunes, qui aident à découvrir et comprendre la culture sourde
Notre héros, sous le nom de code "César", documente les tortures au péril de sa vie...
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
