Que lire en ce moment ? Voici ce que des lecteurs et lectrices passionnés vous conseillent !
«Je vais essayer de tenter quelque chose, moi qui ai eu pendant longtemps peur de la rupture : ce n'est certainement pas par hasard que mes anciens amants sont tous restés mes meilleurs amis et que j'ai mis plus de vingt ans à quitter ma langue maternelle et commencer à écrire en français. Si j'écris sur la rupture, si j'ai perdu mon texte initial, si je dois recommencer, autant y aller franchement et faire une vraie rupture : un texte qui tranche, qui invente, qui fait exploser une forme rigide, qui s'ouvre aux autres.»
Dans cet essai de la collection 'Petit éloge de', l'auteur slovène Brina SVIT évoque les différents cas de rupture : la rupture amoureuse, bien sûr, en relatant tout au long de l'ouvrage, comme un fil rouge, les différentes étapes de sa séparation en cours avec son dernier amant
Elle évoque également la rupture amicale, au travers de son expérience avec une amie écrivain français ; quand les liens se relâchent après une déception, une jalousie ... jusqu'à se distendre et se rompre mais qui un jour peuvent se ranimer et l'amitié repartir de plus belle ...
Elle parle de la rupture avec la langue maternelle, après l'émigration dans un nouveau pays, la rupture d'avec les parents / la mère surtout : cette rupture qui permet d'être et de grandir par cette nécessaire séparation ...
Un essai inégal avec une première moitié que je n'ai pas lâché mais une fin qui s'étire comme si le nombre de pages imposé obligeait au remplissage ...
Une auteur que je découvre, en attendant de me plonger dans un de ces romans (Une nuit à Reyjkavik) dont elle évoque l'écriture dans cet essai !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Que lire en ce moment ? Voici ce que des lecteurs et lectrices passionnés vous conseillent !
Revenu sur les terres de son enfance, l'auteur entame un dialogue avec ce petit garçon plein d'ambitions qu'il a été...
Nous suivons Mathilde Levesque, agrégée de lettres, dans un lycée du 93, pendant une année scolaire...
Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction