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Les enfants qui mentent n'iront pas au paradis

Couverture du livre « Les enfants qui mentent n'iront pas au paradis » de Nicolas Rey aux éditions Au Diable Vauvert
Résumé:

"Elle s'est rapprochée. Elle a reniflé son cou, sa nuque et ses oreilles. Ses lèvres se sont placées à quelques millimètres des siennes. Elle a chuchoté : «Tu savais que la lubricité est l'invention d'un bourgeois très à droite. Les gens de gauche échangent tellement de théories, qu'ils en... Voir plus

"Elle s'est rapprochée. Elle a reniflé son cou, sa nuque et ses oreilles. Ses lèvres se sont placées à quelques millimètres des siennes. Elle a chuchoté : «Tu savais que la lubricité est l'invention d'un bourgeois très à droite. Les gens de gauche échangent tellement de théories, qu'ils en oublient de baiser.» Gabriel, écrivain quadra précaire épuisé par l'amour et la vie, tombe amoureux de Catherine, institutrice de son fils et membre du Parti National.

Toute la grâce et l'impertinence de Nicolas Rey pour ce portrait d'un romantique désenchanté, plus actuel que jamais."

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Avis (4)

  • J'aime beaucoup Nicolas Rey & son oeuvre en général, j'adore son style d'écriture, ce livre ne fait pas exception, je l'ai dévoré & adooooooré ! Lisez le, vous ne serez pas déçu :)

    J'aime beaucoup Nicolas Rey & son oeuvre en général, j'adore son style d'écriture, ce livre ne fait pas exception, je l'ai dévoré & adooooooré ! Lisez le, vous ne serez pas déçu :)

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  • Une histoire d'amour sur fond de sado-masochisme entre Gabriel, un écrivain (peut-être le double de l'auteur ?) quelque peu paumé, la quarantaine et déjà l'impression que tout fout le camp, et l'institutrice de son fils, Catherine, membre du Parti National, que le premier trouve aussi belle que...
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    Une histoire d'amour sur fond de sado-masochisme entre Gabriel, un écrivain (peut-être le double de l'auteur ?) quelque peu paumé, la quarantaine et déjà l'impression que tout fout le camp, et l'institutrice de son fils, Catherine, membre du Parti National, que le premier trouve aussi belle que Sigourney Weaver... L'histoire est aussi étique que ce mince volume. Sous forme de très courts chapitres et en déguisant à peine les références politiques (on croise Gilbert Collard et Marion Maréchal Le Pen...), Nicolas Rey décrit les turpitudes des relations humaines dans la société actuelle, cette France qui a peur sur laquelle s'implantent et croissent les extrémismes...
    Chroniqueur, homme de radio et de télé, l'auteur est un habitué des médias et cela se ressent dans sa plume parfois acide, souvent caustique, et cette manière d'expédier les chapitres, aux titres assez journalistiques. On a davantage le sentiment d'un "zapping littéraire" que d'un travail véritablement abouti, même si l'écriture est efficace et sans détour, provocante, d'une vulgarité assumée. On lit vite... et il est probable qu'on oubliera tout aussi vite.

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  • La référence au mensonge et à l’enfance du Pinocchio de couverture prend une tournure beaucoup plus adulte dans ce roman !
    Gabriel, 40 ans, est un écrivain déprimé, désabusé dans son statut d’alcoolique abstinent, sous le coup du verdict de la séparation que vient de prononcer Justine.
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    La référence au mensonge et à l’enfance du Pinocchio de couverture prend une tournure beaucoup plus adulte dans ce roman !
    Gabriel, 40 ans, est un écrivain déprimé, désabusé dans son statut d’alcoolique abstinent, sous le coup du verdict de la séparation que vient de prononcer Justine.

    Catherine Arnaud, la cinquantaine, physique à la Sigourney Weaver, est l’institutrice de son fils Hyppolite. La rencontre est donc naturelle et très vite chaleureuse entre les deux personnages. Le discours de l’institutrice devant les parents d’élèves n’est pas sans surprendre, et c’est sans ambiguïté qu’elle informe Gabriel, plus proche des idées gaucho-centristes, de son appartenance au Parti National.

    Ce court roman, composé de chapitres d’une à trois pages, d’une écriture sans fioriture, évoque la place de la passion amoureuse en proie à des différences d’idées et de valeurs, la recherche de la vérité, la recherche d’explications pour mieux justifier un comportement, l' influence dans les comportements. L’amour peut-il s’adapter et dominer les différences ? Cette question a bien entendu déjà fait la chronique médiatique de périodes électorales, et reste d’actualité.

    Au-delà du style de Nicolas Rey sans interdits, non sans rappeler celui de Frédéric Beigbeder,j’ai apprécié que le sujet abordé soit suffisamment concis.

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  • Livre reçu grâce à la « masse critique » de Babélio. Merci à l’équipe pour l'envoi de ce livre.

    Alors par contre comment dire ? Je n'ai pas du tout aimé ce livre (ceux qui aiment Nicolas Rey vont me détester mais tant pis chacun ses goûts comme on dit).

    Je ne connaissais pas cet auteur...
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    Livre reçu grâce à la « masse critique » de Babélio. Merci à l’équipe pour l'envoi de ce livre.

    Alors par contre comment dire ? Je n'ai pas du tout aimé ce livre (ceux qui aiment Nicolas Rey vont me détester mais tant pis chacun ses goûts comme on dit).

    Je ne connaissais pas cet auteur et c'était pour moi l’occasion de lire un livre de cet auteur.
    J'en avais entendu parler autour de moi en bien et j'étais donc ravis à l'annonce de l'envoi de ce livre. Sauf que je n'ai pas du tout accroché. Je n'ai été charmé ni par cet auteur, ni par le sujet du livre (l’histoire n'est pas prenante et j'avais limite hâte de finir le livre) et encore moins par le style d'écriture. De plus, même le livre fini je ne trouve pas le rapport entre le titre du livre et l’histoire. Le langage est vulgaire par endroit. Je ne suis pourtant pas prout-prout mais il y a des limites. Quand on lit du 50 nuances de Grey on sait à quoi s'attendre là rien ne laisse présager le côté cru du livre.

    J'en ai lu des livres qui m'ont plus endormi que conquis mais là je crois que celui-ci et le « pire ».

    Déçu de ce livre je ne pense pas m'aventurer a en lire un autre de lui. Pour moi ce livre n'a pas grand intérêt ni sensibilité. Un autre style d'écriture m'aurait peut-être emporté...

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