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Le jour où Kennedy n'est pas mort

Couverture du livre « Le jour où Kennedy n'est pas mort » de Roger Jon Ellory aux éditions Sonatine
  • Date de parution :
  • Editeur : Sonatine
  • EAN : 9782355847950
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

C'est l'une des histoires les plus connues au monde - et l'une des plus obscures. Le 22 novembre 1963, le cortège présidentiel de John F. Kennedy traverse Dealey Plaza. Lui et son épouse Jackie saluent la foule, quand soudain...
Quand soudain, rien : le président ne mourra pas ce jour-là.
En... Voir plus

C'est l'une des histoires les plus connues au monde - et l'une des plus obscures. Le 22 novembre 1963, le cortège présidentiel de John F. Kennedy traverse Dealey Plaza. Lui et son épouse Jackie saluent la foule, quand soudain...
Quand soudain, rien : le président ne mourra pas ce jour-là.
En revanche, peu après, Mitch Newman, photojournaliste installé à Washington, apprend une très mauvaise nouvelle. La mère de Jean, son ex-fiancée, lui annonce que celle-ci a mis fin à ses jours.
Le souvenir de cet amour chevillé au corps, Mitch tente de comprendre ce qui s'est passé. Il découvre alors que Jean enquêtait sur la famille Kennedy. Peu à peu, le photographe va s'avancer dans un monde aussi dangereux que sophistiqué : le coeur sombre de la politique américaine.

Sexe et manipulations, mensonges et assassinats... Dans cette histoire alternative où l'on retrouve le clan Kennedy au complet ainsi qu'un certain Lee Harvey Oswald, JFK semble avoir échappé à son destin. Pour combien de temps ?

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Avis (18)

  • Je reste un peu sur ma faim avec ce livre. J'en attendais sans doute beaucoup trop. Pour moi, il n'est ni bon ni mauvais mais il est surtout très plat. J'ai eu beaucoup de mal à aller au bout de cette lecture parce que je l'ai trouvé extrêmement lent.
    J'ai besoin de plus d'actions dans un livre...
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    Je reste un peu sur ma faim avec ce livre. J'en attendais sans doute beaucoup trop. Pour moi, il n'est ni bon ni mauvais mais il est surtout très plat. J'ai eu beaucoup de mal à aller au bout de cette lecture parce que je l'ai trouvé extrêmement lent.
    J'ai besoin de plus d'actions dans un livre et celui-ci ne m'a pas vraiment convenu. Dommage.

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  • Ce roman est une uchronie, sans phénomène surnaturel, qui imagine ce qui ce serait passé si JFK n'avait pas été victime de l'attentat qui l'a tué en novembre 63.
    C'est également un polar ; Mitch vient d'apprendre le suicide de son ex-fiancée qu'il n'a pas revu depuis 15 ans. Il n'y croit pas,...
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    Ce roman est une uchronie, sans phénomène surnaturel, qui imagine ce qui ce serait passé si JFK n'avait pas été victime de l'attentat qui l'a tué en novembre 63.
    C'est également un polar ; Mitch vient d'apprendre le suicide de son ex-fiancée qu'il n'a pas revu depuis 15 ans. Il n'y croit pas, il est effondré et il décide d'enquêter.
    Ce roman mélange allégrement fiction et réalité.
    J'ai appris plein de chose sur John Kennedy ; son addiction au sexe bien sûr mais aussi ses problèmes de santé, sa dépendance aux médicaments, ses décisions politiques aléatoires, ses sautes d'humeur, les rumeurs de son élection entachée de fraude.
    On croise également Lee Harvey Oswald, son séjour en URSS, son communisme revendiqué...
    Un roman inclassable : uchronie, polar, analyse politique, un peu de biographie...
    J'ai été captivée de la première à la dernière page.

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  • Une approche originale et fortement documentée pour ce roman, car il semble que « R.J. Ellory » y excelle. Nous avons ici, un récit basé sur la réécriture de l’histoire, donc une uchronie. Et pas n’importe lequel des faits historiques : l’assassinat de J.F. Kennedy. D’ailleurs le titre de la...
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    Une approche originale et fortement documentée pour ce roman, car il semble que « R.J. Ellory » y excelle. Nous avons ici, un récit basé sur la réécriture de l’histoire, donc une uchronie. Et pas n’importe lequel des faits historiques : l’assassinat de J.F. Kennedy. D’ailleurs le titre de la première de couverture est assez explicite.

    Le schéma principal de l’intrigue, serait que le président des États-Unis échappe à l’attentat de Dallas en novembre 1963. Pour…mais je ne dirais rien de l’intrigue, qui, il faut le reconnaître tient en haleine jusqu’au point final.

    Le photojournaliste Mitchell James Newman, apprend le suicide de son ex-fiancée, ce qui va l’entraîner dans de multiples investigations afin de comprendre son geste et peut-être d’y trouver, enfin sa propre rédemption. Mais pour cela il devra approcher de près, très près les arcanes du pouvoir américain. Et ce sans ternir l’image présidentielle…ce qui serait fortement préjudiciable pour le peuple mais également le reste du monde !

    Nous avons tous en tête les noms des principaux intervenants sur l’attentat – réel – de 1963 ; ce qui facilite pour l’auteur de nous faire naviguer, avec subtilité dans les méandres de faits véridiques et ceux de sa prodigalité historique.

    En définitive, le fait de travestir, de déformer, d’interpréter des faits passés, ne peut que satisfaire l’immédiat, pour s’évaporer dans les méandres du quotidien. J’ai donc terminé rapidement cette œuvre.

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  • Le 22 novembre 1963, John F. Kennedy n’est pas mort à Dallas, en dépit de ce que prétend les manuels d’histoire. Non … Par contre, le 4 juillet 1964, jour de l’Indépendance (cher aux américains) une certaine Jean Boyd s’est suicidée. Des cachets en abondance … Comme Marilyn …

    Jean Boyd fut...
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    Le 22 novembre 1963, John F. Kennedy n’est pas mort à Dallas, en dépit de ce que prétend les manuels d’histoire. Non … Par contre, le 4 juillet 1964, jour de l’Indépendance (cher aux américains) une certaine Jean Boyd s’est suicidée. Des cachets en abondance … Comme Marilyn …

    Jean Boyd fut l’amie de jeunesse – puis la fiancée – de Mitchell (« Mitch ») Newman. Elle fut sa voisine à West Haven (Virginie) également, rencontrée le 19 avril 1947 très exactement, alors qu’elle fêtait son seizième anniversaire. Devenus rapidement inséparables, ils firent les mêmes études de journalisme à Charlottesville. Mais quand l’ambitieux Mitch partit en Corée, rêvant de devenir un grand photo-journaliste de guerre, Jean ne lui pardonna pas et refusa de répondre à aucune de ses lettres. Refusa tout contact avec lui à son retour en 1951 … Treize années plus tard, Mitch Newman prendra tous les risques afin de découvrir pourquoi et comment Jean a trouvé la mort et sur quelle enquête confidentielle elle travaillait lors de son séjour à Dallas, du 20 au 24 novembre 1963 …

    R. J. Ellory revisite l’histoire du terrible attentat de Dallas avec originalité, en épargnant la vie de John F. Kennedy, le fameux 22 novembre 1963. L’auteur nous présente le personnage tel qu’il était vraiment, sans la moindre concession, égratignant au passage l’image d’un Président idéal, bon, beau, souriant et glamour … Souvenir édulcoré que les américains tenaient avant tout chose à laisser de l’homme adoré par les femmes du monde entier … Une légende – semblerait-il créée de toutes pièces – magnifiant le « clan Kennedy », qui cachait bien des secrets inavouables … Une intrigue politique passionnante et bien construite, qui fait pendant à la touchante histoire d’amour (malheureusement avortée …) entre Jean et Mitch. Deux récits dramatiques de destinées contrariées … Mille mercis au talentueux R. J. Ellory pour ce roman très réussi, qui m’a tenue en haleine jusqu’à la dernière ligne !

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  • Ce roman se déroule aux Etats-Unis en 1964.
    Mitch Newman, photographe, apprend le suicide de Jean Boyd, la femme qu'il devait épouser lorsqu'il est parti en Corée, 14 ans plus tôt. A son retour, 4 mois plus tard, il a écrit des lettres à Jean pour lui demander de lui pardonner mais elle ne lui...
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    Ce roman se déroule aux Etats-Unis en 1964.
    Mitch Newman, photographe, apprend le suicide de Jean Boyd, la femme qu'il devait épouser lorsqu'il est parti en Corée, 14 ans plus tôt. A son retour, 4 mois plus tard, il a écrit des lettres à Jean pour lui demander de lui pardonner mais elle ne lui a jamais répondu. Pour connaître la vérité sur sa mort, Mitch va enquêter sur les recherches qu'elle menait et se lancer sur sa trace.
    Jean, journaliste, était allée à Dallas pour enquêter sur la vie dissolue du Président Kennedy. Elle fouinait et dérangeait.
    Dans ce roman, John F. Kennedy aurait échappé à l'attentat du 22 novembre 1963 et mettrait tout en oeuvre pour se faire reélire. Nous découvrons les coulisses de la Maison-Blanche, et les hommes de l'ombre derrière le Président, addict au sexe et aux médicaments. Bobby, son frère, nommé Procureur Général est toujours là pour le protéger, aplanir les problèmes,
    R. J. Ellory trace là un portrait peu flatteur de ce Président habituellement connu pour son charisme, éternellement blond, jeune, souriant accompagné de Jackie, sa ravissante épouse. Sa vraie personnalité était beaucoup plus sombre.
    Ce roman foisonne de lieux, de personnages, d'événements historiques.
    Le personnage de Mitch est attachant, avec ses faiblesses, son intégrité et ses remords.

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  • Je n'ai pas manqué une lecture de RJ Ellory depuis sa première parution en France avec le fantastique "Seul le silence". Cet opus est d'une bonne qualité même si la lecture m'a parfois semblé longue avec une narration assez lente. J'ai aimé le contexte historique et le fait de revisiter un...
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    Je n'ai pas manqué une lecture de RJ Ellory depuis sa première parution en France avec le fantastique "Seul le silence". Cet opus est d'une bonne qualité même si la lecture m'a parfois semblé longue avec une narration assez lente. J'ai aimé le contexte historique et le fait de revisiter un événement historique qui est resté dans les mémoires, avec l'assassinat de JFK le 22 novembre 1963. Cet événement garde ses toujours mystères et a fait l'objet de divers thèses et scénarios.

    J'ai aimé cette uchronie avec ce récit parallèle présentant la non-mort de Kennedy ce jour-là en me demandant vers où l'auteur allait nous mener. Le portrait de JFK dans le livre n'est pas des plus élogieux, un homme à femmes, avec beaucoup de problèmes de santé, instable et parfois irascible, très loin des beaux sourires de façade. Je ne connais pas la réalité historique du personnage, même si son côté séducteur a été effectivement reconnu.
    La partie historique m'a paru intéressante avec notamment les soupçons de fraude aux élections de 1960 face à Richard Nixon, autre président sujet à polémique, mais aussi la crise de missiles à Cuba, la division de Berlin et bien sûr la guerre du Vietnam. Les personnes réelles côtoient les personnages fictifs; on retrouve notamment Lee Harve Oswald, l'assassin présumé de JFK, mais aussi Jack Ruby, l'assassin d'Oswald.

    Le fil conducteur du livre reste tout de même la mort mystérieuse par overdose de médicaments de Jean Boyd, journaliste au Washington Post, et cette quête de la vérité pour comprendre de la part de son ancien amour de jeunesse Mitch Newman. Pendant une grande partie du récit d'ailleurs, on découvre l'histoire d'un amour qui s'est arrêté suite au départ en Corée de Mitch malgré le refus de Jean, et ses tentatives pour se faire pardonner. Ellory nous apporte pourtant un grand rebondissement et enfin une incroyable explication à la fin de cet amour, qui touche le lecteur en plein coeur. C'est une réponse à la question "Pourquoi aimer n'est pas toujours si simple ?".

    Une lecture de bonne qualité, qui manque un peu de rythme, mais qui comporte des aspects fascinants malgré tout.

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  • L’histoire politique américaine est un sujet qui m’intéresse beaucoup. Cette année, j’ai déjà été bien gâtée. La vie et la fin tragique de John Fitzgerald Kennedy est un sujet qui a déjà été abordé de nombreuses fois en livres et même en séries ou films. Pourtant, je ne m’en lasse jamais. Le...
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    L’histoire politique américaine est un sujet qui m’intéresse beaucoup. Cette année, j’ai déjà été bien gâtée. La vie et la fin tragique de John Fitzgerald Kennedy est un sujet qui a déjà été abordé de nombreuses fois en livres et même en séries ou films. Pourtant, je ne m’en lasse jamais. Le dernier livre de R.J. Ellory a l’originalité d’imaginer que Lee Harvey Oswald n’aurait pas assassiné le 35ème président des Etats-Unis lors de sa visite à Dallas, le 22 novembre 1963.

    Cette idée constitue le point de départ d’une enquête qui semble ne pas avoir de lien direct avec la dynastie des Kennedy. On accompagne Mitch Newman, un photo-reporter qui ne peut croire au suicide de son ancienne fiancée, Jean. Ceci étant la plus grande déception de sa vie, ce trentenaire ne peut expliquer que cet amour de jeunesse ait décidé de mettre fin à ses jours. Mais alors qu’il cherche la vérité, il va se retrouver projeter au sein d’un milieu où l’on ne fait pas de cadeau : la politique américaine.

    Dans ce thriller politique, les personnages de fiction côtoient les Grands de ce monde. L’auteur parvient à donner corps à cette ribambelle de protagonistes comme s’ils avaient tous réellement existés. Il est souvent étonnant comme les dialogues, pourtant imaginés, auraient très bien pu s’échanger entre les Kennedy eux-mêmes par exemple, comme si R.J. Ellory y avait lui-même assisté. Tant les descriptions semblent réalistes, j’ai moi-même eu l’impression de me trouver dans le bureau ovale en compagnie des hauts-dignitaires américains ou dans les couloirs de la Maison Blanche en compagnie de John et de son frère Bobby Kennedy.

    Je n’ai pas l’occasion de souvent lire des thrillers politiques mais celui-ci m’a vraiment transportée au cours de la décennie des sixties qui a vu la crise des missiles soviétiques à Cuba, la construction du mur de Berlin, la course à la lune, … Même si je suis loin de l’avoir connue vu que je ne suis née plus de 20 ans après ! On y apprend plein de choses quant à la géopolitique mondiale et cela n’est pas pour me déplaire.

    C’est toute une atmosphère qui entoure cette enquête originale tant par ses sujets que dans le milieu où elle se déroule, intelligemment construit par l’auteur. Il est aisé de faire des parallèles avec certains événements et ce n’est qu’à la toute fin, quand le puzzle est terminé, que le lecteur pourra se forger son propre avis quant aux sous-entendus mis en place, quant à certaines conjonctures qui découlent alors comme des évidences.

    Un petit conseil est que, dès le début, il est important de bien garder à l’esprit les différents personnages et leur rôle afin de ne pas en perdre le fil. Ensuite, vous ne pourrez que vous immerger dans cette histoire inventée mais qui finalement n’est peut-être pas si éloignée que ça de la réalité….

    Je remercie les éditions Sonatine ainsi que Muriel Poletti-Arlès pour leur confiance.

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  • A l’été 1964, Mitch Newman, un photoreporter au creux de la vague, apprends le suicide de son ex-fiancée, elle aussi journaliste. Bouleversé, il cherche à comprendre pourquoi Jean, qu’il a aimé follement, a pu commettre un geste aussi désespéré et qui lui ressemble si peu. Assez vite, il...
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    A l’été 1964, Mitch Newman, un photoreporter au creux de la vague, apprends le suicide de son ex-fiancée, elle aussi journaliste. Bouleversé, il cherche à comprendre pourquoi Jean, qu’il a aimé follement, a pu commettre un geste aussi désespéré et qui lui ressemble si peu. Assez vite, il comprend que Jean enquêtait sur l’élection présidentielle de 1960 et avait acquis la certitude que Kennedy avait truqué les élections pour l’emporter. Est-ce cette enquête qui l’a amené à Dallas en novembre de l’année précédente ? Pourquoi était-elle à Dallas le 22 novembre 1963, le jour où Kennedy était en visite officielle, et pourquoi a-t-elle cherché à rencontré un certain Jack Ruby ? RJ Ellory tente, avec « Le jour où Kennedy n’est pas mort » un exercice fort périlleux, une sorte d’uchronie qui part du principe que le 22 novembre 1963, rien ne s’est passé sur Dealey Plaza. Stephen King s’est essayé lui aussi à l’exercice, pris sous l’angle du voyage dans le temps d’un homme déterminé à empêcher le pire. Ici, rien de tel, on suit l’enquête de Mitch Newman sur les traces de l’enquête de son ex fiancée. Peu à peu s’imposent à nous des noms et des mots bien connus, mais qui pour lui ne signifient encore rien : Dealey Plaza, Jack Ruby, Elm Street, Winchester Carcano, Dépôt des livres scolaires et à la fin, l’inévitable Lee Harvey Ostwald. Sur la forme c’est sympathique à lire, efficace et relativement clair. Sur le fond, puisque nous sommes dans une fiction, Ellory peut se permettre de dépeindre Ostwald comme un communiste convaincu et illuminé, ce qui est largement sujet à caution quand on connait un peu l’histoire de cette tragédie. Mais qu’importe, au fond, son sujet n’est pas de faire une enquête sur la réalité mais d’inventer une fiction. Parallèlement à l’enquête, certains chapitres mettent en scène John, Jackie mais surtout Bobby Kennedy. Autant Bobby et Jackie sortent assez grandis du portrait qu’en fait R.J. Ellory, autant John Kennedy prends cher : odieux, obsédé sexuel, camé par les médicaments, manipulateur et sans scrupules, le Kennedy du roman est assez éloigné du mythe crée par sa mort tragique. Si Ellory pose des questions intéressantes sur la fraude électorale (supposée) de 1960, il se garde bien de dépeindre le perdant, Richard Nixon comme un parangon de vertu, heureusement ! Dans l’ensemble, le pari audacieux de R.J. Ellory est-il réussi ? Oui et non. Oui parce que le roman fonctionne, il se lit facilement et on comprend tout d’une histoire malgré tout assez complexe. Mais non parce que la conclusion laisse un peu perplexe, le dénouement est un poil expéditif, et on reste malgré tout un peu sur notre faim quant à la mort de Jean. L’un dans l’autre, c’est un roman qui ne manque pas d’intérêt et de qualités, à condition bien sur de ne pas le prendre pour autre chose qu’une pure fiction et non une énième tentative pour réécrire ou réexpliquer l’assassinat politique le plus emblématique de l’après-guerre.

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