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La Mort à Venise : suivi de Tristan et de le Chemin du cimetière

Couverture du livre « La Mort à Venise : suivi de Tristan et de le Chemin du cimetière » de Thomas Mann aux éditions Le Livre De Poche
Résumé:

La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d'âge mûr à l'apparition d'un gracieux adolescent d'une extraordinaire beauté. Dans Tristan, le dilemme qui s'offre à l'héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d'artiste ou « mourir de musique ». La... Voir plus

La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d'âge mûr à l'apparition d'un gracieux adolescent d'une extraordinaire beauté. Dans Tristan, le dilemme qui s'offre à l'héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d'artiste ou « mourir de musique ». La fin de Lobgott Piepsam dans Le Chemin du cimetière prouve que la vie est dure aux faibles, mais que la mort vaut mieux que la débâcle d'une constante lâcheté. C'est peut-être dans ses nouvelles que Thomas Mann, l'un des plus célèbres écrivains allemands de ce siècle, a mis le meilleur de sa verve ironique et de sa sensibilité musicale, de son émotion discrète et dominée, qui se drape volontiers de sarcasme.
Introduction et notes d'Armand Nivelle.

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Articles (1)

  • De livres en films, ils ont été à Cannes
    De livres en films, ils ont été à Cannes

    Récits, romans, pièces de théâtre, biographies ou nouvelles; la diversité des genres d’écritures a toujours inspiré le cinéma et ils ont eu droit au tapis rouge sur la Croisette.

Avis (1)

  • La première partie de l'histoire m'a quelque peu ennuyée, quand même, mais quand Aschenbach entreprend son voyage à Venise, quelque chose m'a subitement réveillée: l'approche de la ville, très visuelle, et évocatrice. L'histoire en elle-même n'est pas des plus passionnantes, je souffrais presque...
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    La première partie de l'histoire m'a quelque peu ennuyée, quand même, mais quand Aschenbach entreprend son voyage à Venise, quelque chose m'a subitement réveillée: l'approche de la ville, très visuelle, et évocatrice. L'histoire en elle-même n'est pas des plus passionnantes, je souffrais presque des frustrations que cet homme éprouvait à regarder "l'objet" de ses tourments sans réagir. Les odeurs ensuite m'ont permis de découvrir une Venise moins charmante et des plus douteuses. Etrange que cet homme à la fin de sa vie ait été si attiré par cette ville qui ne lui apportait que désagréments de toutes sortes.

    A noter les explications précieuses qui éclairent le lecteur, notamment concernant les rapprochements à la mythologie grecque. Sans cela la lecture aurait semblé difficile.

    Je n'ai toutefois pas été touchée, émotionnellement parlant, par cette nouvelle, ni par celles qui suivaient. Pourtant l'écriture est remarquable, les images sont belles, mais il manque un tantinet d'émotion qui m'aurait totalement transportée. Trop profond, trop psychologique pour moi.

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