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La confrérie des chasseurs de livres

Couverture du livre « La confrérie des chasseurs de livres » de Raphael Jerusalmy aux éditions Actes Sud
  • Date de parution :
  • Editeur : Actes Sud
  • EAN : 9782330022617
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

François Villon, poète rebelle et brigand condamné à mort, est gracié par le roi Louis xi qui lenvoie en Terre sainte, à la rencontre des chasseurs de livres de la Jérusalem den bas, tenter une alliance contre lomnipotence de Rome. Entre thriller et picaresque, aussi joueur quérudit, lauteur de... Voir plus

François Villon, poète rebelle et brigand condamné à mort, est gracié par le roi Louis xi qui lenvoie en Terre sainte, à la rencontre des chasseurs de livres de la Jérusalem den bas, tenter une alliance contre lomnipotence de Rome. Entre thriller et picaresque, aussi joueur quérudit, lauteur de "Sauver Mozart" met en marche les forces de lesprit contre la toute-puissance du dogme et des armes, pour faire triompher lhumanisme.

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Articles (1)

  • Des livres attendus pour la rentrée littéraire 2014
    Des livres attendus pour la rentrée littéraire 2014

    Comme toute rentrée littéraire de septembre, pointent quelques titres qui d'emblée laissent supposer le succès à venir. Parmi eux, des auteurs incontournables qui semblent une fois de plus très inspirés, des auteurs qui confirment leurs talents. Une rentrée foisonnante où les personnages historiques ont encore breaucoup de choses à révéler, des enchevêtrements familiaux aux sources inattendues, de quoi surprendre et satisfaire la curiosité des lecteurs !  

Avis (14)

  • Villon est enfermé dans les geôles du roi de France. L'auteur intervient alors pour déployer son imagination. Villon en ressort donc libre, mais avec une mission : inciter un imprimeur étranger à s'installer en France pour répandre des écrits tendancieux, visant à instaurer une nouvelle...
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    Villon est enfermé dans les geôles du roi de France. L'auteur intervient alors pour déployer son imagination. Villon en ressort donc libre, mais avec une mission : inciter un imprimeur étranger à s'installer en France pour répandre des écrits tendancieux, visant à instaurer une nouvelle religion. Villon n'a d'autre choix que d'accepter le marché mais l'affaire ne s'arrête pas là. Il multiplie les aventures et de retrouve à Jérusalem, au sein d'une confrérie où Juifs et catholiques se rassemblent. Ils ont un but commun, mettre à mal la papauté, sans utiliser les armes mais plutôt les livres. Ce ne fut pas mon roman préféré de Jerusalmy, même si le sujet est intéressant. Je l'ai trouvé difficile à suivre. Beaucoup de personnages et de non dits. Cela nous oblige finalement à aller plus loin pour comprendre ce qu'on nous cache...

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  • Villon est enfermé dans les geôles du roi de France. L'auteur intervient alors pour déployer son imagination. Villon en ressort donc libre, mais avec une mission : inciter un imprimeur étranger à s'installer en France pour répandre des écrits tendancieux, visant à instaurer une nouvelle...
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    Villon est enfermé dans les geôles du roi de France. L'auteur intervient alors pour déployer son imagination. Villon en ressort donc libre, mais avec une mission : inciter un imprimeur étranger à s'installer en France pour répandre des écrits tendancieux, visant à instaurer une nouvelle religion. Villon n'a d'autre choix que d'accepter le marché mais l'affaire ne s'arrête pas là. Il multiplie les aventures et de retrouve à Jérusalem, au sein d'une confrérie où Juifs et catholiques se rassemblent. Ils ont un but commun, mettre à mal la papauté, sans utiliser les armes mais plutôt les livres. Ce ne fut pas mon roman préféré de Jerusalmy, même si le sujet est intéressant. Je l'ai trouvé difficile à suivre. Beaucoup de personnages et de non dits. Cela nous oblige finalement à aller plus loin pour comprendre ce qu'on nous cache...

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  • « ...En 1462, à l’âge de trente et un ans, il (François Villon) est arrêté, torturé et condamné à être pendu et étranglé ». Le 5 janvier 1463, le Parlement casse le jugement et le bannit de Paris. Nul ne sait ce qu’il advint de lui par la suite... »

    Raphaël Jerusalmy trouve une suite à cette...
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    « ...En 1462, à l’âge de trente et un ans, il (François Villon) est arrêté, torturé et condamné à être pendu et étranglé ». Le 5 janvier 1463, le Parlement casse le jugement et le bannit de Paris. Nul ne sait ce qu’il advint de lui par la suite... »

    Raphaël Jerusalmy trouve une suite à cette disparition. François Villon a une dimension romanesque ; rebelle, amoureux de la littérature, un brin voleur… Tout ce qu’il faut pour un roman d’aventures épique.

    Or donc, Louis XI, désireux d’asseoir son pouvoir par rapport à Rome, veut que les livres circulent en son pays. Bien entendu, la papauté s’y refuse, elle qui a la main sur tout ce qui se lit par le biais de ses copistes. « Le roi de France cherche à affaiblir le pouvoir du Vatican, afin de consolider le sien propre. Or, une industrie naissante mine soudain la suprématie papale. A la différence des moins copistes, l’imprimerie n’est pas assujettie à l’Église. Habilement utilisée, elle pourrait conférer bien de la puissance à ceux qui en assurent le contrôle. Il est donc regrettable qu’il n’y ait encore aucune presse en France". Louis XI veut unifier la France et la langue est un vecteur important. Et puis, il y a le motif bassement matérialiste « Il s’agit d’une simple question de finances. A cette heure, tout ce qui vient de Byzance, d’Alexandrie ou du Levant passe par la vallée du Rhône. La suzeraineté papale sur Avignon et le Comtat venaissin lèse donc le roi de gains énormes provenant des droits de passage et de taxation des denrées. C’est le légat pontifical qui les perçoit, renflouant ainsi les caisses de Rome plutôt que celles de Louis XI. »

    Il fait libérer un François Villon en mauvais état suite aux tortures qu’il a subies et l’envoie retrouver son comparse coquillard, maître Colin de Cayeux, démarcher un certain Johann Fust pour qu’il ouvre une imprimerie à Paris, en échange de quelques livres très précieux. « François reste assis. Il range les précieux volumes dans sa besace, sans rien dire. Il n’a pas le sentiment d’une victoire. Il s’en veut d’être le courtier de Guillaume Chartier, d’obéir docilement aux consignes de ce faux jeton ecclésiastique. Et, surtout, de trahir les livres. »

    Ce n‘est pas tout, ensuite, il l’envoie sur les traces de la Confrérie des chasseurs de livres en Galilée.

    C’est parti pour des aventures, des mensonges, des chausses-trappes, des manipulations, des complots, de l’espionnage, pour un roman épique, polar, récit historique (vrai ou faux), roman d’aventures… desservi par une belle écriture où Villon découvre deux Jérusalem, celle du haut et celle du bas où des livres uniques sont cachés. Jérusalem, à l’époque, est une cité cosmopolite où se côtoient juifs, musulmans, chrétiens. Les érudits sont là, en terre sainte. Des hommes d’un grand savoir temporel et ou spirituel. Il s’y trame des alliances inattendues, voire contre-nature, cachées mais à grande portée politique

    Un dur parcours initiatique vers une vie plus spirituelle pour François Villon via les Médicis, la Confrérie des chasseurs de livres, le désert… Peut-être n’est-ce pas toujours très crédible, mais après tout, c’est un roman écrit avec beaucoup de talent et une certaine érudition. Raphaël Jerusalmy m’a conquise une nouvelle fois. J’ai pris plus que du plaisir à cette lecture qui va de retournements en chausse-trappe et de rebondissements en découvertes.

    Les descriptions sont très visuelles, voire en odorama :

    « La place du marché s’éveille, emmitouflée dans l’épaisse brume du matin. Des sont tout d’abord timides, épars, picorent quelques grains de silence. »

    « Les tréteaux de bois croulent sous le poids des caisses et des amphores. L’air est chargé de senteurs d’épices, d’essences de parfum, de vapeurs de vin, d’extraits de teinture. »

    « Les ruelles étroites déroulent leurs méandres. Des silhouettes furtives trottinent le long des murs. Les rares enfants qui traînent dehors sont éclopés ou rachitiques. Ils jouent dans la crasse, criant en arabe, en hébreu, en arménien, en grec. »

    Avec cette lecture, je diminue ma PAL et participe au challenge de Moka En sortir 21 en 21

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  • L'une de mes trouvailles lors de ma dernière virée à la bibliothèque à côté de mon bureau. Le plus souvent j'ai maximum 20 minutes devant moi pour recharger la besace. Je privilégie donc les livres mis en avant. Celui-ci en faisait partie.

    François Villon croupit dans les prisons de Louis XI...
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    L'une de mes trouvailles lors de ma dernière virée à la bibliothèque à côté de mon bureau. Le plus souvent j'ai maximum 20 minutes devant moi pour recharger la besace. Je privilégie donc les livres mis en avant. Celui-ci en faisait partie.

    François Villon croupit dans les prisons de Louis XI lorsque l'évêque de Paris vient le convaincre de participer à une mission qui le mènera au pays des premiers chrétiens. Le but : ramener des livres subversifs qui, imprimés et diffusés subrepticement, affaibliront la papauté et permettront au roi de France de renforcer son pouvoir.
    Accompagné par le fidèle coquillard Colin, François trouvera sur son chemin complots, contre-complots et plus encore.
    Roman formidablement bien écrit, passionnant où l'aventure croise la grande Histoire et les racines de la Chrétienté.

    "Son regard longe les veinures du bois, remontant les rivières qu'elles tracent sur la carte d'un pays inconnu."

    "... pour eux, le destin de Jerusalem n'est point gravé dans les guerres mais dans les textes, les Ecritures. C'est une ville non tant bâtie de pierres et de briques que maçonnée de palabres et de rêves."

    "François observe intensément les paysages qu'il traverse. Il voudrait tant briser le mutisme de cette terre. Il l'entend parfois murmurer dans le bruissement des feuillages, l'appeler d'un claquement d'ailes, l'encourager d'un souffle de vent chaud."

    "La nuit ne tombe pas ici comme à Paris ou en Champagne. Elle s'élève."

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  • François Villon attend son exécution lorsque l’évêque de Paris lui confie une mission qui le mènera jusqu’à Jérusalem.
    Partant du vécu de François Villon, l’auteur extrapole sur la suite de sa vie qui n’est en réalité pas connue.
    J’ai été intéressée par la première partie, bien écrite, bien...
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    François Villon attend son exécution lorsque l’évêque de Paris lui confie une mission qui le mènera jusqu’à Jérusalem.
    Partant du vécu de François Villon, l’auteur extrapole sur la suite de sa vie qui n’est en réalité pas connue.
    J’ai été intéressée par la première partie, bien écrite, bien documentée.
    Par contre, son voyage en Palestine prend des tours tellement tortueux que je m’y suis perdue et m’en suis lassée.
    Du coup je l’ai abandonné dans ses tribulations en refermant le livre

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  • Livre étonnant que La confrérie des chasseurs de livres ? Pas tant que cela si l’on sait que Raphaël Jerusalmy, son auteur, né à Paris en 1954, s’est engagé dans les services de renseignements militaires de l’armée israélienne et surtout, qu’à la retraite, il s’est spécialisé dans les livres...
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    Livre étonnant que La confrérie des chasseurs de livres ? Pas tant que cela si l’on sait que Raphaël Jerusalmy, son auteur, né à Paris en 1954, s’est engagé dans les services de renseignements militaires de l’armée israélienne et surtout, qu’à la retraite, il s’est spécialisé dans les livres anciens.

    En effet, La confrérie des chasseurs de livres est un hommage au livre et à sa diffusion souvent très difficile et très dangereuse, ainsi qu’à la Palestine historique que se disputent juifs, chrétiens, musulmans et à notre grand poète maudit : François Villon.
    C’est lui que l’auteur fait revivre dans cette histoire une peu folle des idées contre les dogmes. Il rend la parole aux poètes, aux créateurs contre les profiteurs de tout poil, ceux qui détournent les plus belles idées à leur seul profit et exploitent leur prochain.
    Quelle imagination ! Faire de François Villon un ambassadeur, un chercheur, un enquêteur, l’amant d’une jeune berbère et toujours un malicieux qui, accompagné de son complice Colin, un coquillard (1) comme lui, va jusqu’en Palestine. Là-bas, ils se retrouvent au cœur de toutes les hostilités possibles qui opposent juifs, mamelouks, prélats mais ils défendent les livres, les idées, la création contre l’Inquisition, la censure, les persécutions de toutes sortes.
    C’est une belle fresque parfois un peu compliquée qui démarre dans un cachot parisien, sous le règne de Louis XI puis nous emmène donc au Moyen-Orient en passant par l’Italie où les Médicis et la papauté s’affrontent, faisant beaucoup de victimes collatérales.
    Dans ce livre, j’ai particulièrement aimé faire plus ample connaissance avec François de Montcorbier, dit Villon. S’il est né en 1431, on sait seulement qu’il est mort après 1463 et j’ai tenté de suivre cette histoire un peu folle qui permet de comprendre tous les obstacles auxquels se sont heurtés les auteurs, les imprimeurs et les libraires. Les puissants que ces écrits dérangeaient, puisqu’ils instruisaient le peuple, n’hésitaient pas à censurer, incarcérer, torturer, exécuter sans oublier de brûler les livres, trésors inestimables perdus à tout jamais. Nous savons tous que de tels faits se sont produits et se produisent encore sous certaines dictatures.
    Je ne sais pas si cette confrérie de chasseurs de livres a existé mais je pense qu’un peu partout en Europe, des passionnés ont pris d’énormes risques pour diffuser la pensée et j’ai apprécié que Raphaël Jerusalmy leur ait rendu hommage dans ce roman plein d’anecdotes et de rebondissements.

    1. Coquillard : nom donné, au XVe siècle, aux mauvais garçons, voleurs, escrocs pouvant aller jusqu’à tuer pour parvenir à leurs fins. François Villon et Colin de Cayeux auraient fait partie d’une bande mais rien n’est vérifié.
    Chronique à retrouver sur : http://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/

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  • Le récit nous entraîne sur les traces de François Villon, lors d'un voyage épique.

    Je ne suis pas du tout rentrée dans ce roman, et regrette d'avoir persévéré jusqu'à la fin.
    Malgré la trame, les rebondissements, l'écriture, rien ne m'a accrochée.

    Le récit nous entraîne sur les traces de François Villon, lors d'un voyage épique.

    Je ne suis pas du tout rentrée dans ce roman, et regrette d'avoir persévéré jusqu'à la fin.
    Malgré la trame, les rebondissements, l'écriture, rien ne m'a accrochée.

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  • François Villon, poète et brigand, est de nouveau incarcéré dans les prisons de Paris sur ordre du Roi Louis XI. Il doit être pendu prochainement. Mais, un soir, il reçoit la visite de Guillaume Chartier, évêque de Paris envoyé par le roi, venu lui proposer d’accomplir une mission pour lui en...
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    François Villon, poète et brigand, est de nouveau incarcéré dans les prisons de Paris sur ordre du Roi Louis XI. Il doit être pendu prochainement. Mais, un soir, il reçoit la visite de Guillaume Chartier, évêque de Paris envoyé par le roi, venu lui proposer d’accomplir une mission pour lui en échange de l’annulation de sa peine. Il doit faire venir à Paris un imprimeur de Mayence qui imprime des livres susceptibles de heurter l’Église Catholique. Louis XI est en effet en « guerre » contre ceux qui sont installés à Avignon. Pour accomplir sa mission, il est accompagné par Colin de Cayeux qui faisait partie comme lui de la Bande des Coquillards.
    Ayant mené à bien leur mission, ils sont ensuite envoyés en Terre Sainte pour rencontrer les commanditaires de l’imprimeur, ceux qui lui fournissent tous ces livres rares à faire imprimer.
    Arrivés dans un monastère perdu dans le désert, ils rencontrent Federico Castaldi, négociant florentin pour le compte de Côme de Médicis qui semble être impliqué dans cette affaire.
    Ils partent avec lui pour Safed afin de rejoindre le rabbin Gamliel Ben Sira qui doit leur donner des informations. Après une mise à l’épreuve assez difficile, ils repartent pour Jérusalem accompagnés d’Aïcha, une esclave qu’ils ont « libérée ». À Jérusalem, ils retrouvent Frère Paul du monastère.
    Et après me demanderez-vous ? Et bien après, je ne sais pas. Je me suis arrêtée là, page 156, car je n’en pouvais plus. Je me suis ennuyée dès le départ. Pourtant le 4e de couverture était alléchant, parlant d’un roman d’aventures palpitant, vif et malicieux, regorgeant de trouvailles et de rebondissements. De plus, le héros est un poète très connu de la fin du Moyen-Âge qui a disparu à l’âge de 31 ans sans laisser de traces après une énième condamnation.
    Enfin, une histoire avec une Confrérie de Chasseurs de Livres ne pouvait être qu’une belle idée à développer et cela me plaisait d’autant que vous savez que j’adore les livres. Mais le roman n’a pas tenu ses promesses (ou alors après la page 156 mais j’en doute fortement).
    Ce livre est une longue liste de descriptions exhaustives de lieux, de personnes, d’actions. Comme si l’auteur avait voulu remplir le maximum de pages pour faire un livre plus gros. Je sais, cela peut paraître dur mais c’est le ressenti que j’en ai eu à la lecture. Ce fut rébarbatif à souhait. Il faut, j’en suis bien consciente, poser les choses et la trame d’un roman, mais là, c’est poussé à l’extrême, cela n’apporte rien à l’histoire et puis de toute façon, de l’action, il n’y en a pas.
    Page 156, la Confrérie apparaît sans plus d’explications, comme un cheveu sur la soupe, même dirais-je et c’est ce détail qui m’a fait lâcher le livre. J’aurais aimé avoir plus d’explications sur cette Confrérie, ses buts, sa création, mais non, le vide intersidéral. Peut être est-ce expliqué plus loin, mais je pense que cela aurait été mieux à cet endroit.
    Raphaël Jerusalmy a écrit d’autres romans et notamment « Sauver Mozart, le journal d’Otto J. Steiner ». Il paraît qu’il est très bien. Malheureusement, vu cette première expérience douloureuse, je n’ai aucune envie de lire un autre de ses romans.
    En tout cas pour l’instant.

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