Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Elisabeth de la trinité ; un grand silence amoureux

Couverture du livre « Elisabeth de la trinité ; un grand silence amoureux » de Jocelyne Delafraye aux éditions Mediaspaul
  • Date de parution :
  • Editeur : Mediaspaul
  • EAN : 9782712214494
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Qui est Élisabeth Catez, jeune carmélite née le 18 juillet 1880 et morte le 9 novembre 1906, béatifiée par le pape Jean-Paul II le 25 novembre 1984 et très récemment canonisée par François, le 16 octobre 2016 ?
À l'heure où le pape offre aux catholiques du monde entier, une nouvelle sainte,... Voir plus

Qui est Élisabeth Catez, jeune carmélite née le 18 juillet 1880 et morte le 9 novembre 1906, béatifiée par le pape Jean-Paul II le 25 novembre 1984 et très récemment canonisée par François, le 16 octobre 2016 ?
À l'heure où le pape offre aux catholiques du monde entier, une nouvelle sainte, Jocelyne Delafraye a souhaité revisiter son histoire. Non pas comme une biographe ou une historienne mais comme une femme de foi, personnellement touchée par la vie et le message d'Élisabeth de la Trinité. « En déroulant, au fil des ans, la pelote de son histoire, je me suis attachée à mettre en valeur les moments fondateurs où la grâce divine s'est emparée de la courbe de ses jours au point d'en infléchir le cours. » Élisabeth Catez est née dans une famille chrétienne et développe très vite un attrait pour la prière montrant le désir de devenir religieuse au sein du Carmel. Dans un premier temps, sa mère s'oppose à sa vocation, mais lors d'une visite au Carmel de Tarbes (Hautes Pyrénées), son coeur est touché par la joie d'une jeune religieuse. Progressivement, elle acceptera la vocation d'Élisabeth pour y consentir définitivement en 1899, à condition qu'elle rentre au Carmel lorsqu'elle sera majeure, en 1901. Son nom "Élisabeth", qui signifie en hébreu « Maison de Dieu », devient le centre de sa spiritualité, ce que la doctrine chrétienne appelle l'habitation de Dieu. Élisabeth écrit alors la prière « Ô mon Dieu, Trinité que j'adore », qui résume sa spiritualité. Elle découvre, dans une épître de Paul, sa vocation, c'est-à-dire que sa vie consiste à être une « louange de gloire » à Dieu. Elle tombe malade et dit percevoir dans la souffrance une possibilité de vivre plus proche de Dieu. Elle meurt à l'âge de 26 ans. Peu après sa mort, ses écrits sont publiés par la supérieure du Carmel et rapidement diffusés. En 1931, l'évêque de Dijon ouvre une procédure en vue de sa béatification.

Donner votre avis

Récemment sur lecteurs.com