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Comment la mythologie se sublime dans un roman
Tous les dieux , déesses sont là
Impitoyables avec des sentiments humains
Circe purge une peine sur une ile
On l'aime ,on adore le livre
J'ai toujours été fascinée par la mythologie, depuis toute petite, je me devais donc de lire ce livre. Même s'il m'a beaucoup moins touchée que Le Chant d'Achille, je l'ai tout de même beaucoup apprécié. Ce roman est féministe et se questionne sur la ligne si fine qui sépare le bien du mal. Il traite également des sujets assez lourds comme le vi*l, la bipolarité, mais aussi l'amour, l'acceptation de soi ou le pardon.
Il y a de très belles citations, qui tendent parfois vers la poésie. Même en connaissant l'histoire de Circé sur le bout des doigts, l'auteure a réussi à me surprendre à de nombreuses reprises. Le rythme est très lent, mais s'en est presque relaxant. Bref, une petite merveille.
Un point négatif sur ce livre ?
J'ai eu énormément de difficulté à le refermer une fois terminée. J'en voulais encore… C'est un livre que j'aurais tellement aimé découvrir adolescente !
"Circé" est un roman majestueux (oui oui) qui nous emmène au cœur de la mythologie grecque tout en offrant une perspective nouvelle et puissante sur un personnage moins mis à l'honneur : Circé, la sorcière légendaire. le livre de Madeline Miller est à mes yeux une œuvre d'art littéraire, une exploration profonde de la féminité, de la puissance et de la transformation. Je sais ne pas être la seule qui a aimé ce livre. Son pouvoir féminin sacré ? Ce par quoi elle est passée ? Son histoire ? Ses espoirs, sa ténacité ? Une femme forte de la mythologie !
Dans ce livre, l'auteure redonne vie à Circé d'une manière éblouissante. Elle nous plonge dans l'existence tumultueuse de cette femme au destin singulier, une déesse mineure exilée sur une île déserte, condamnée à la solitude. Mais au lieu de se contenter de rester une figure marginale dans la mythologie, Circé prend le devant de la scène. Sa voix résonne avec une puissance magnétique, captivante dès les premières pages.
L'auteure maîtrise l'art de la narration en utilisant une prose poétique et envoûtante. Ses descriptions sont riches et évocatrices, transportent instantanément dans l'univers mythologique. Et Quel voyage ! C'est comme si j'y étais ! Chaque page est tournée avec avidité, alimentant l'imaginaire, à la découverte d'un monde où les dieux et les mortels se côtoient, où la magie est réelle et où les destins sont tissés avec des fils divins.
Ce qui m'a également plu dans ce livre, c'est la manière dont il explore la psyché de Circé. Nous assistons à sa transformation, de la jeune fille innocente en une puissante sorcière. Sa quête d'identité, sa lutte pour trouver sa voix et sa place dans un monde dominé par les hommes sont des thèmes universels qui résonnent avec force. circé devient un symbole de résilience, de féminité et de pouvoir. Elle n'abandonne pas, malgré les épreuves, elle se renforce, et ne se résigne pas, elle combat de toutes les façons possibles. Elle est pleine de pouvoir. Son propre pouvoir !
Quand j'étais plus jeune, je ne voyais Circé qu'au travers de l'histoire d'Ulysse… Dans ce livre, ses rencontres avec des figures mythiques telles que Hermès, Dédale et Persée ajoutent une couche de complexité sa personnalité. Sa rencontre avec Ulysse, en particulier, est emblématique, marquée par l'amour, la trahison et la compréhension mutuelle. Ulysse et ses compagnons arrivent sur l'île de Circé lors de leur voyage de retour à Ithaque après la guerre de Troie, et leur interaction explore la dualité de la magie de Circé, capable de transformer les hommes en animaux, mais aussi de les libérer de ces sorts. de même, les visites répétées d'Hermès à Circé renforcent leur amitié et soulignent son rôle en tant que confident et conseiller dans un monde de dieux capricieux. Les séjours de Dédale et Persée chez Circé mettent en lumière sa capacité à influencer le destin des héros, tout en montrant comment elle attire souvent des personnages en exil ou en fuite, ajoutant ainsi de la complexité à son propre exil. Ces rencontres enrichissent l'histoire en explorant des thèmes profonds tels que l'identité, la transformation et la manière dont Circé interagit avec le monde des mortels et des dieux.
Le style d'écriture de Madeline Miller dans "Circé" est à la fois une prose poétique et la transmission d'émotion. À travers une narration à la première personne du point de vue de Circé, l'auteure crée une voix convaincante qui m'a plongé au cœur des pensées et des émotions complexes. Les descriptions sensorielles et les détails vivants immergent dans l'univers antique de la Grèce, tandis que le développement minutieux des personnages, y compris Circé elle-même, les rend plus humains et nuancés.
J'ai été transporté dans un tourbillon d'émotions. J'ai ressenti de l'empathie, de la colère, de la tristesse et de la joie aux côtés de Circé. Ce livre est une expérience profondément humaine, un miroir dans lequel chacun peut se reconnaître. Elle est dépeinte dans le roman comme une déesse mineure de la mythologie grecque, fille du dieu du Soleil Hélios et de l'océanide Persé. Elle est belle, puissante et dotée de pouvoirs magiques, notamment la capacité de transformer les mortels en animaux. Pourtant, elle est souvent incomprise et marginalisée par les autres dieux de l'Olympe en raison de son intérêt pour la solitude et la magie. Au fil de l'histoire, elle évolue en une femme puissante et indépendante, apprenant à utiliser sa magie pour forger des relations significatives avec des figures mythiques. On peut la voir comme une femme en quête d'acceptation, d'amour et de compréhension, tout en remettant en question les normes divines et en incarnant des thèmes de transformation personnelle, d'identité, de pouvoir et de résilience.
En bref : Ah Circé !Ce livre est époustouflant
Ce roman nous conte l'histoire de Circé, fille rebelle d'Hélios, nymphe et sorcière. Exilée sur l'île déserte d'Ææa, elle va devoir vaincre ses démons pour devenir la femme qu'elle rêve d'être, maîtresse de sa destinée et de ses rêves...
C'est un roman d'une grande puissance évocatrice, ne serait-ce que par le monde dans lequel se déroule le récit. Les dieux et leurs pouvoirs prennent vie sous la plume enchanteresse de Madeline Miller. Son écriture très visuelle nous donne l'impression de revivre l'Odyssée comme si on y était.
La manière dont l'autrice a composé le personnage de Circé est très inspirante. Ni vraiment déesse, ni vraiment humaine, elle oscille entre deux mondes auxquels elle n'appartient pas vraiment et devra trouver sa place alors que les siècles s'écoulent comme des jours pour cette femme immortelle.
La véritable réussite de Madeline Miller est de nous emmener dans un monde que tout le monde connait par bribes, celui de la mythologie grecque, et de nous en faire découvrir une toute nouvelle facette. L'intrigue m'a véritablement tenue en haleine et j'ai adoré retrouver tous les personnages importants de la mythologie - le Minotaure, Dédale et bien sûr Ulysse - dans un contexte différent. L'autrice réussit à les rendre attachants et finalement un peu plus humains.
Je n'ai pas réussi à lâcher ce roman que j'ai lu en deux soirées, complètement happée par la destinée de Circé. La fin est tout simplement merveilleuse.
Une fable captivante à lire de toute urgence
Hélios, Dieu du Soleil, a une fille : circé. Elle ne possède ni les pouvoirs exceptionnels de son père, ni le charme envoûtant de sa mère, mais elle se découvre pourtant un don : la sorcellerie, les poisons et la capacité a transformé ses ennemis en créatures monstrueuses.
Je suis fan de mythologies autant grecques qu'égyptienne. Donc ce livre était fait pour moi.
L'histoire de CIRCE est tellement passionnante, d'abord rejeter par son père, et grande prêtresse des herbes, elle va faire son bout de chemin jusqu'à sa rencontre avec Ulysse.
L'écriture de l'autrice est fluide et tellement prenante que je n'ai vraiment pas eu de mal à m'immerger dans cette histoire où j'ai pu croiser des noms que je connaissais comme Athéna ou Ulysse, mais j'ai découvert leur destin, et pour moi c'est tellement passionnant d'apprendre des choses sur cette période.
Surement, que l'histoire de CIRCE est romancée, mais j'ai été complétement envouté par cet univers de Dieu et de déesse qui se batte pour le pouvoir, mais aussi par leurs traditions et les punitions d'un autre âge.
C'est aussi le don des plantes et des fleurs que va découvrir CIRCE et qui va faire d'elle la magicienne et la sorcière qu'on connaît.
Aujourd'hui encore les bienfaits aromatiques sont connus et règlent des problèmes que le système médical n'arrive pas à résoudre.
C'est un monde fantastique et le réel est lié, et c'est le genre que je préfère, car cela colle avec la mythologie grecque, et comme cela que j'arrive vraiment à imprégner et à aimer ce genre de récit.
Cela change de ce que je lis habituellement, mais j'ai trouvé ce voyage littéraire vraiment agréable, distrayant et dépaysant à souhait et ce que je cherche dans mes lectures, apprendre et découvrir de nouvelles contrées.
Un beau pavé de près de 600 pages, extrêmement RICHE et détaillé. On y suit l'histoire de Circé, depuis sa plus tendre enfance où elle se faisait martyriser par les autres Dieux et Nymphes autour d'elle, et une partie de sa vie ensuite, où il lui arrive moult aventures. Au début méprisée puis crainte, elle est envoyée en exil sur son île, où elle développera tous ses talents de sorcière ... Elle rencontrera beaucoup d'autres figures mythologiques, des hommes avec qui elle va avoir des aventures, ou des monstres à combattre.
C'est peut-être un peu long parfois, mais à lire si on aime la mythologie, les figures de femmes fortes et indépendantes, la sorcellerie et pourquoi la Maternité (dont il est beaucoup question).
Après le chant d'Achille me voici de nouveau conquise par la plume poétique de Madeline Miller qui n'a pas son pareil pour faire revivre les personnages de la mythologie grecque. Si je dois avouer qu'Achille m'a davantage transportée, cette lecture reste une vraie pépite. La puissance du récit repose en grande partie sur le personnage central, Circé, la sorcière exilée sur son île, qui se débat avec sa divinité. Au cours de son immortalité, les échos des grands héros remontent jusqu'à elle. Même si elle n'est pas une déesse de l'olympe, ceux qui la sous-estiment le regrettent amèrement. Je vous recommande d'aller à la rencontre de la sorcière d'Æaea.
La fille du soleil
Fille d’Hélios et de Persé, Circé n’est pas une nymphe comme ses cousines qui par dizaines peuplent les palais du dieu du soleil et d’Océan, celui des fleuves et des rivières. Circé n’a pas le charme de ses semblables, ni leur docilité. Elle grandit méprisée par sa mère, moquée par ses frères et sœurs, et négligée par son père. Sa curiosité alliée à son intelligence la pousse à faire certaines découvertes, comme celles des mortels, et à expérimenter son don de « pharmaka » -comprenez sorcellerie- par exemple en transformant son amant Glaucos en divinité et sa rivale Scylla en monstre terrifiant… Mais c’est lorsqu’elle aide Prométhée condamné par Zeus à un horrible supplice (enchaîné à un pic rocheux pour l’éternité il voit chaque jour son foie dévoré par un aigle…) qu’elle attire la colère de l’Olympe. Hélios l’exile alors sur l’île d’AEaea qu’elle ne pourra jamais quitter. Seule, au milieu de la nature, la vie de Circé va enfin commencer, une vie éternelle, solitaire la plupart du temps certes, mais une vie où Circé va pouvoir se réaliser pleinement.
Quel magnifique roman qui parle avec intelligence de féminisme, mais pas que ! Avec Circé, qui sera une mère sublime et farouche, prête à tous les sacrifices pour sauver son fils, nous croisons Hermès le messager des dieux, Athéna mais aussi Dédale et son fils Icare, le Minotaure enfermé dans le labyrinthe de Cnossos, et Ulysse, Pénélope et Télémaque, sans parler de plusieurs autres personnages incontournables de la mythologie.
Je pense que Circé a du me jeter un sort, car je ne parvenais pas à me détacher de ce livre terriblement envoutant !
J’ai adoré ce roman, il rejoint directement mon île déserte !
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