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Blake et Mortimer Tome 22 : l'onde Septimus

Couverture du livre « Blake et Mortimer Tome 22 : l'onde Septimus » de Jean Dufaux et Antoine Aubin et Etienne Schreder aux éditions Blake Et Mortimer
Résumé:

Mortimer ne parvient pas à percer le mystère de l'onde Mega et le fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus lui échappe. Qu'est-ce qui peut bien provoquer toutes ces interférences ? Cela pourrait-il avoir un lien avec cet inconnu en chapeau melon qui arpente les rues de Londres en demandant... Voir plus

Mortimer ne parvient pas à percer le mystère de l'onde Mega et le fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus lui échappe. Qu'est-ce qui peut bien provoquer toutes ces interférences ? Cela pourrait-il avoir un lien avec cet inconnu en chapeau melon qui arpente les rues de Londres en demandant après Guinea Pig ?

Jean Dufaux et Antoine Aubin, aidés d'Étienne Schréder, revisitent La Marque Jaune. Ils prolongent le mythe et signent le grand retour d'Olrik sur les quais de la Tamise.

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Avis (4)

  • « — Good heavens ! Mais, c’est... !!?
    — Le disque que portait le professeur Septimus au front et qui lui permettait de dominer la volonté de ses interlocuteurs.

    East end. La nuit tombe sur Limehouse. Près des eaux sombres de la Tamise, chez Miss Lily Sing, le silence est d’or. »

    Le...
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    « — Good heavens ! Mais, c’est... !!?
    — Le disque que portait le professeur Septimus au front et qui lui permettait de dominer la volonté de ses interlocuteurs.

    East end. La nuit tombe sur Limehouse. Près des eaux sombres de la Tamise, chez Miss Lily Sing, le silence est d’or. »

    Le colonel Olrik choisi par Septimus comme Guinea Pig idéal… Qu’est-il devenu ?

    Dans les rues de Londres, surgit la réplique en masse de dizaines de professeur Septimus en costume, chapeau melon et parapluie ouvert noirs marmonnant en chœur sous une pluie battante « Es-tu là Guinea Pig ? Réponds… »

    « Mais celui qui fut la Marque Jaune, cette fois résistera. »

    Vraiment ?

    Sous les lignes désaffectées de King’s Cross se dresse « un engin qui échappe à toute classification terrestre. On dirait un vaisseau spatial couché sur le flanc… ». Un scaphandre dans une colonne de verre… On l’entend dire « Asile !! Asile !! »

    Damned ! Mais qu’est-ce ?

    La folie se déverse sur Londres comme un virus propagateur… La planète est en danger.

    Onde Méga et télécéphaloscope donneront du fil à retordre à Mortimer dans ses recherches quand Blake prendra une décision radicale concernant Orpheus.

    Cette BD nous plonge dans une poursuite fantastique prenante dans la pure veine imaginative de Jacobs.

    Les illustrations accaparent l’œil tant les détails sont fignolés avec une mise en mouvement qui donnent un réalisme adapté à la fiction. Le rendu et l’ambiance sont à la hauteur des dessins de Jacobs à tel point que le dédoublement virtuel dans le texte fait écho côté graphistes…

    De nombreux rappels nous immergent dans l’œuvre de Jacobs comme des petits cailloux placés dans l’espace (Le mystère de la grande pyramide, La Marque Jaune, L’affaire du collier, Le secret de l’Espadon, etc.) avec nombre de personnages qui nous reviennent en écho ainsi le méchant Colonnel Olrik, le diabolique professeur Jonathan Septimus, Lilly Sing, le banquier Oscar Balley, le professeur Evangely, le lieutenant Mc Farlane, Lady Rowana, le détective Clover, Mister Kim, le major Blanks, le fidèle Nasir, etc.)

    Une belle réussite !

    Félicitations au travail remarquable des dessinateurs Antoine Aubin et Etienne Schréder, à la coloriste Laurence Croix et au scénariste Jean Dufaux qui ont su avec talent restituer l’univers d’Edgard P. Jacobs au plus près et ainsi le saluer par un bel hommage.

    « —Orpheus était programmé pour nous envahir, n’est-ce-pas ?
    — Je le crois et je n’ai pu m’empêcher de songer à notre cher Herbert George Wells et à sa « Guerre des mondes. »

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  • La ligne claire est bien là, l'esprit aussi mais le scénario sent quelques fois le "déjà vu" et la sur abondance de texte fatigue.
    Pas le meilleur de la série.

    La ligne claire est bien là, l'esprit aussi mais le scénario sent quelques fois le "déjà vu" et la sur abondance de texte fatigue.
    Pas le meilleur de la série.

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  • Le retour de Septimus, personnage maléfique de La Marque Jaune, qui est lui-même certainement l'album le plus connu de Blake et Mortimer.
    Sincèrement j'ai eu le sentiment que ça sentait le réchauffé. Reprendre et poursuivre l'intrigue de la Marque Jaune m'a fait penser que les auteurs...
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    Le retour de Septimus, personnage maléfique de La Marque Jaune, qui est lui-même certainement l'album le plus connu de Blake et Mortimer.
    Sincèrement j'ai eu le sentiment que ça sentait le réchauffé. Reprendre et poursuivre l'intrigue de la Marque Jaune m'a fait penser que les auteurs n'avaient pas trop d'idées et que l'éditeur voulait absolument sortir un album. Donc bof... C'est loin d'être le meilleur de la série.

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  • Évidemment, retrouver Blake et Mortimer, c’est retrouver tout un univers, véritable mélange de Fifties et de science-fiction. Donc, dans cet épisode, nous retrouvons les deux amis, leur éternel ennemi Olrik, ainsi que le professeur Septimus, ressuscité d’entre les morts. Une fois de plus, le...
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    Évidemment, retrouver Blake et Mortimer, c’est retrouver tout un univers, véritable mélange de Fifties et de science-fiction. Donc, dans cet épisode, nous retrouvons les deux amis, leur éternel ennemi Olrik, ainsi que le professeur Septimus, ressuscité d’entre les morts. Une fois de plus, le rôle de la science est mis dans la balance entre le Bien et le Mal. Une fois de plus, le graphisme original d’ Edgar P. Jacobs est totalement restitué. Une fois de plus, l’aventure se révèle à bien des moments très verbeuse, jusqu’à être redondante. Ainsi quel intérêt à commenter une image en la décrivant ? Une fois de plus, il n’y a plus de surprise, tant ce petit opéra de papier est connu des amateurs de bande dessinée. Le succès de la série est dorénavant assuré par la nostalgie des collectionneurs de ma génération, des aficionados de la ligne claire, des fanatiques des Studios Hergé.
    Et la fin n’est même plus étonnante ! Je conseillerai donc cet épisode à ceux qui sont familiers de Blake et de Mortimer. Sinon, commencez par « le Secret de l’Espadon ».

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