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Vélodrome, boulodrome, hippodrome

Couverture du livre « Vélodrome, boulodrome, hippodrome » de Jean Ferrara aux éditions Edilivre
  • Date de parution :
  • Editeur : Edilivre
  • EAN : 9782356077509
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

En 32 ans de carrière, passés sur tous les terrains du sport, Jean FERRARA, ancien grand reporter à Marseille du "Provençal", devenu aujourd'hui "La Provence", a été le témoin des grands événements du football, de la boxe, du jeu de boules, ses disciplines de prédilection. Seule la catastrophe... Voir plus

En 32 ans de carrière, passés sur tous les terrains du sport, Jean FERRARA, ancien grand reporter à Marseille du "Provençal", devenu aujourd'hui "La Provence", a été le témoin des grands événements du football, de la boxe, du jeu de boules, ses disciplines de prédilection. Seule la catastrophe de Furiani, survenue le 5 mai 1992, dans l'exercice de ses fonctions, devait mettre un terme à cette série palpitante de reportages. Envoyé spécial en Corse pour couvrir, en presse écrite et radio, la demi-finale de Coupe de France entre le Sporting Club de Bastia et l'Olympique de Marseille, il eut la malchance, avec une trentaine de confrères et des milliers de spectateurs, d'être installé sur cette maudite Tribune Nord qui devait s'effondrer à quelques minutes du coup d'envoi. Plongeant ainsi dans le drame une soirée prévue pour être une fête du football.
Pour accompagner sa longue rééducation, depuis l'accident jusqu'à nos jours, le journaliste blessé a su toutefois faire appel à ses souvenirs pour évoquer toute une foule d'expressions, joyeuses celles-là, généralement émises par des supporters enthousiastes. Lui-même amusé par ce qu'il avait pu entendre lors de ses sportives pérégrinations, ou par ce qu'on avait pu lui rapporter, l'auteur s'est appliqué ici à faire revivre des scènes dignes quelquefois des grands classiques du théâtre de boulevard. C'est alors une sorte de condensé de ces folkloriques réparties que Jean FERRARA nous rapporte dans cet ouvrage. Les personnages, généralement anonymes, pourraient sortir d'une pièce de Georges Feydeau, d'Eugène Labiche et, bien sûr, de Marcel Pagnol. A lire, mais surtout à raconter avec l'accent du Midi. Le meilleur moyen, évidemment, pour être en harmonie avec le Recueil de ces Bons Mots Marseillais..."

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