Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Quand un Gascon abreuvé aux eaux de la Garonne devient missionnaire en Orient, il apporte à la gravité de son apostolat la faconde de l'humour d'un Méridional bon vivant. Au moment où le père Évariste Huc (1813-1860)
arrive à Macao, la Chine est interdite aux missionnaires ; il doit donc se déguiser en Chinois, jusqu'à la natte.
Après une longue pérégrination dans l'Empire et un séjour de trois ans au nord de Pékin, il traverse la Tartarie jusqu'au lac Bleu, où il se transforme en Mongol.
Il décide alors de se rendre à Lhassa où il espère enfin, devenu « lama de Jéhovah », commencer son oeuvre d'évangélisation. Hélas ! il en est expulsé au bout d'un mois après avoir à demi converti un Tibétain. Après deux ans dans la région de Shanghai, le père Huc rentre en France, publie ses récits de voyages, fréquente le beau monde et les salons de l'empereur, se voit décerner la Légion d'honneur et meurt usé, à quarante -six ans, oublié et misérable.
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