Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
«Art brut. Art ancien. Libelles de circonstance sans importance. PAN est le bruit du pétard que j'ai allumé sur la terrasse du restaurant de chantier pour l'inauguration de la revue, puis nous avons dit de concert PAN chacun de sa place disait PAN. Pour les nuages j'en ai pris la décision au Mans dans un café couvert de lierre de la grand place du Mans un jour de lecture au théâtre du Mans, des mois plus tard j'ai dû me dépêcher de faire un texte pour lire au théâtre de la Bastille, des mois plus tard je changeais de version que je lisais pour un enregistrement dans expressif, le petit bidon que je remodelais des mois plus tard, je l'appelais alors Malmo et je devais le lire au théâtre de Malmo mais comme j'oubliais mes feuilles j'improvisais ce jour-là puis je prenais le train en différentes saisons pour Reims et d'autres villes et je notais ce que je voyais par la fenêtre puis je préparais une version pour ce qui allait devenir la cage puis des mois plus tard je reprenais entièrement le texte et rajoutais la première phrase alors que Toto s'est écrit dans une nuit sur la terrasse d'une villa au-dessus de la mer sur la côte d'azur pendant que dormaient kati et sa mère.»
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