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Okavango

Couverture du livre « Okavango » de Caryl Ferey aux éditions Gallimard
  • Date de parution :
  • Editeur : Gallimard
  • EAN : 9782072942525
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Engagée avec ferveur dans la lutte antibraconnage, la ranger Solanah Betwase a la triste habitude de côtoyer des cadavres et des corps d'animaux mutilés. Aussi, lorsqu'un jeune homme est retrouvé mort en plein coeur de Wild Bunch, une réserve animalière à la frontière namibienne, elle sait que... Voir plus

Engagée avec ferveur dans la lutte antibraconnage, la ranger Solanah Betwase a la triste habitude de côtoyer des cadavres et des corps d'animaux mutilés. Aussi, lorsqu'un jeune homme est retrouvé mort en plein coeur de Wild Bunch, une réserve animalière à la frontière namibienne, elle sait que son enquête va lui donner du fil à retordre. D'autant que John Latham, le propriétaire de la réserve, se révèle vite être un personnage complexe. Ami ou ennemi ? Solanah va devoir frayer avec ses doutes et une très mauvaise nouvelle : le Scorpion, le pire braconnier du continent, est de retour sur son territoire... Premier polar au coeur des réserves africaines, Okavango est aussi un hymne à la beauté du monde sauvage et à l'urgence de le laisser vivre.

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Avis (16)

  • Afrique Australe, Namibie. Lors d’un safari dans sa réserve animalière de Wild Bunch, John Latham découvre le corps d’un jeune homme. C’est la ranger Solanah Betwase, profondément engagée dans la lutte anti braconnage, qui est chargée de l’enquête. Tout pourrait accuser Latham d’avoir tué un...
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    Afrique Australe, Namibie. Lors d’un safari dans sa réserve animalière de Wild Bunch, John Latham découvre le corps d’un jeune homme. C’est la ranger Solanah Betwase, profondément engagée dans la lutte anti braconnage, qui est chargée de l’enquête. Tout pourrait accuser Latham d’avoir tué un braconnier sur ses terres. Lors de leur confrontation, Solanah détecte beaucoup de complexité en Latham et ne sait où le situer, ami ou ennemi, innocent ou manipulateur ? Protecteur des animaux certes, au point d’assassiner un braconnier ? Et pourquoi son système de surveillance vidéo et photographique à détection de mouvements high tech qui couvre toute la réserve n’a-t-il rien enregistré de l’intrusion du braconnier et de son meurtre ? Autant de questions qui restent sans réponse.
    Tout s’emballe quand John découvre l’un de ses points d’eau empoisonné et les nombreux animaux qui s’y désaltéraient morts et horriblement amputés de leurs crocs, pattes et cornes. Comment un tel carnage est-il possible sans que le système de surveillance n’aie rien enregistré ?
    C’est quand le nom du « Scorpion » , le pire braconnier du pays , chef d’une véritable mafia aux multiples ramifications refait surface que les rangers, tout comme John, se mettent en chasse avant qu’il ne soit trop tard.
    Rangers, braconniers, riche propriétaire, mafia locale régie par un personnage violent et sans pitié, voilà ce qui nous attend dans ce thriller addictif. Cette fois-ci, Caryl Férey nous transporte au cœur des réserves animalières namibiennes et offre par là même un véritable hymne à la beauté sauvage de la nature et aux animaux qu’il est urgent de protéger et de laisser vivre en toute liberté.
    Comme toujours avec cet auteur, voici un livre qui nous amène à ne pas détourner le regard de ce qui se passe loin de chez nous et à réfléchir sur le monde que nous voulons pour demain.

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  • Magnifique roman où les animaux de la savane jouent le rôle principal.
    J’ai rarement été aussi envoûtée par cette ambiance africaine.
    Les personnages sont les acteurs de la lutte contre le braconnage . Au cours de leur traque des trafiquants d’ivoire et autres trophées, John et Solanah se...
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    Magnifique roman où les animaux de la savane jouent le rôle principal.
    J’ai rarement été aussi envoûtée par cette ambiance africaine.
    Les personnages sont les acteurs de la lutte contre le braconnage . Au cours de leur traque des trafiquants d’ivoire et autres trophées, John et Solanah se découvrent. Leur histoire d’amour finira tragiquement, avant d’avoir commencé.

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  • Voyageur impénitent, Caryl Férey est bien connu pour ses romans noirs sur fond de critique sociale, dans des pays encore endoloris par leur passé récent, qu’il s’agisse de colonisation, d’apartheid ou de dictature. Il revient cette fois de la Namibie et de ses immenses réserves d’animaux...
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    Voyageur impénitent, Caryl Férey est bien connu pour ses romans noirs sur fond de critique sociale, dans des pays encore endoloris par leur passé récent, qu’il s’agisse de colonisation, d’apartheid ou de dictature. Il revient cette fois de la Namibie et de ses immenses réserves d’animaux sauvages, avec un ethno-polar qui s’attaque au trafic d’espèces animales protégées, quatrième commerce illégal le plus lucratif au monde.

    L’Okavango est un fleuve endoréique : ses eaux se perdent dans le désert du Kalahari après avoir serpenté entre Angola, Namibie et Botswana. Dans cette région d’Afrique australe, de vastes réserves s’efforcent de protéger une faune menacée par la bêtise et la cupidité humaines, alors que devenues rares à force d’extermination, certaines espèces recherchées pour l’ivoire, la kératine soi-disant aphrodisiaque de leurs cornes, ou la simple possession de trophées, voient leur cote croître toujours plus haut sur les marchés noirs du braconnage et des trafics internationaux. Pour cet « or à sang chaud » se battent de vastes organisations criminelles dotées de puissants moyens de persuasion, entre armes lourdes et corruption. C’est donc à une véritable guerre, opposant d’un côté les rangers et la police, de l’autre un groupuscule commandité par un ancien chef militaire, dit le Scorpion, qu’un premier meurtre commis sur les terres de Wild Bunch, la réserve du riche écolo misanthrope John Latham, va insensiblement mener.

    Au beau milieu du conflit, une femme ranger, Solanah Betwase, va devoir faire le tri entre vrais et faux appuis. Non seulement l’argent peut retourner n’importe qui parmi les misérables populations locales, mais les alliés les plus évidents réservent aussi leurs lots de surprises. Ainsi le propriétaire de la réserve, au passé bien trouble, et même le propre époux et supérieur de notre justicière, égaré dans sa jalousie. Entre polar et roman d’aventures distillant nombre d’informations édifiantes sur cette région d’Afrique, sur le triste sort de sa population martyrisée et sur les enjeux qui continuent à décimer une faune pourtant protégée, la tension s’installe dans une ambiance d’emblée sanglante, les plus grands fauves ne s’avérant pas forcément ceux que l’on croit.

    Indéniablement addictif, le récit qui, à mesure que l’action s’emballe jusqu’à son dénouement guerrier, abandonne peu à peu les nuances au profit du grand spectacle, de la romance assez convenue et d’une justice pour le moins radicale, se commet sans doute à vouloir trop plaire et divertir pour demeurer totalement convaincant. S’il conjugue suffisamment d’intérêt didactique, d’action cinématographique et de bluette sentimentale pour satisfaire honnêtement un large public, on pourra largement lui préférer le très documenté et bien plus crédible Ivoire de Niels Labuzan, davantage holistique dans son approche de la même thématique.

    Aux bémols près de ses aspects les plus racoleurs, Okavango reste un polar instructif et efficace, sur les beautés d’un monde sauvage condamné par l’idiotie et la rapacité des hommes.

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  • Caryl FEREY prépare ses romans avec minutie, il y passe beaucoup de temps, précis, attaché à chaque détail, soucieux d'une vérité et surtout absolument passionné. Alors, qu'il nous entraîne en Amérique Latine ou en Afrique, c'est un véritable voyage qu'il propose à ses lecteurs, mais également...
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    Caryl FEREY prépare ses romans avec minutie, il y passe beaucoup de temps, précis, attaché à chaque détail, soucieux d'une vérité et surtout absolument passionné. Alors, qu'il nous entraîne en Amérique Latine ou en Afrique, c'est un véritable voyage qu'il propose à ses lecteurs, mais également une réflexion sur l'Homme et sa cupidté, sa violence, son intransigeance souvent absurde. Une fois de plus, je suis entrée dans l'histoire et j'ai été suffisamment séduite pour attendre avec impatience le prochain roman de cet auteur qui fait désormais partie des grands !

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  • ‶Namibie, grand petit pays qui mérite plus que le détour. Une seconde maison où les bêtes vivent parfois libres et sauvages hors des réserves. ″

    Je souscris entièrement à cette réflexion de l’auteur en fin d’ouvrage. Ce pays, restera longtemps comme un de mes plus beau voyages...
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    ‶Namibie, grand petit pays qui mérite plus que le détour. Une seconde maison où les bêtes vivent parfois libres et sauvages hors des réserves. ″

    Je souscris entièrement à cette réflexion de l’auteur en fin d’ouvrage. Ce pays, restera longtemps comme un de mes plus beau voyages lointains.

    Qu’il y situe son dernier thriller, ne m’étonne pas de la part d’un Voyageur, d’un auteur qui n’écrit pas du thriller pour du thriller ; en fond il y a toujours du consistant, du révoltant, mais aussi une petite lueur d’espoir. Ses grandes épopées (Africaines, ou sud -américaines) prennent toujours racine dans l’histoire du territoire, et mettent en scène des personnages marquant, pour le meilleur comme pour le pire. Cela le sera à nouveau ici, dans coin d’Afrique Australe, à cheval sur l’Angola, la Zambie, Le Zimbabwe, le Botswana, et la si belle Namibie, jusqu’aux rives de l’Okavango.

    Alors que les animaux emblématiques de ces contrées voient leurs espaces naturels se réduire comme une peau de chagrin, que le braconnage fait encore rage en dépit des traités internationaux, que le commerce de l’ivoire est interdit, que l’on répète inlassablement que la corne de rhinocéros, qui n’est que de la simple kératine, ne fait pas plus bander les mâles pervers que la poudre de perlimpinpin, il y a encore des gens assez pourris et cupides pour s’acharner dans cette direction.

    Solanah et Seth, sont tous deux rangers dans une vaste zone protégée. Ils sont chargés de traquer sans relâche les braconniers. Ils se voient également confier une délicate enquête autour de la mort d’un jeune autochtone sur les terres d’une réserve privée, dirigée par un énigmatique afrikaner et dont les ambivalences, et les secrets vont donner bien du fil à retordre à nos deux rangers. D’autant, qu’en parallèle, nous faisons connaissance avec Le scorpion, et toute sa clique, bien décidée à s’approprier le longue-Corne, unique exemplaire de cette réserve, et promesse d’un gros paquet de billets !

    Je resterai évasive sur la suite, parce que d’une part il faut laisser le lecteur vivre cette aventure hors norme, découvrir par bribes (comme le sait si bien le faire l’auteur) l’histoire tourmentée de cette région, et aller à la rencontre des populations autochtones auxquelles Caryl Ferey, comme toujours, donne une large place parce qu’il les respecte infiniment. Je laisse le lecteur s’émerveiller de ces paysages divers et contrastée, de ces grands fauves menacés. Je laisse aussi, hélas, le lecteur à ses colères, car la cruauté humaine sans limite fait aussi partie du décor.

    Encore une fois, Caryl Ferey m’aura subjuguée dans ce formidable opus, il m’aura également confirmé mon irrésistible envie de retourner dans coin d’Afrique si attachant et si envoutant.

    Je ne sais où m’emmènera l’auteur dans son prochain opus, mais je ferai le voyage, ça je le sais !

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  • Ce récit est une description - façon tonneau des Danaïdes - contre le braconnage. Deux héros : un homme une femme et des personnages secondaires qui nous brossent un portrait des rangers et des propriétaires de réserves (pas aussi idéalistes ni "barrés" que le héros) qui sont souvent démunis...
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    Ce récit est une description - façon tonneau des Danaïdes - contre le braconnage. Deux héros : un homme une femme et des personnages secondaires qui nous brossent un portrait des rangers et des propriétaires de réserves (pas aussi idéalistes ni "barrés" que le héros) qui sont souvent démunis face à la force de frappe des braconniers. Un bon thriller avec une fin imprévisible.

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  • Rentrée littéraire 2023.

    Être en train de lire le dernier roman de Caryl Férey, Okavango, et me retrouver devant l’auteur intervenant pendant les Correspondances de Manosque, ce fut un moment privilégié, émouvant et très instructif à la fois.
    Après Mapuche, Zulu, Condor, Paz, Lëd et Norilsk,...
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    Rentrée littéraire 2023.

    Être en train de lire le dernier roman de Caryl Férey, Okavango, et me retrouver devant l’auteur intervenant pendant les Correspondances de Manosque, ce fut un moment privilégié, émouvant et très instructif à la fois.
    Après Mapuche, Zulu, Condor, Paz, Lëd et Norilsk, me voilà à nouveau captivé par l’écriture de Caryl Férey. Non seulement, il fait preuve d’imagination, sait ménager le suspense, intriguer, émouvoir aussi mais, en plus, il nous rappelle le drame de la disparition des animaux sauvages dans cette Afrique qui fut le berceau de notre humanité.
    Autour de John Latham et Solanah Betwase, il bâtit une histoire passionnante qui se passe principalement en Namibie en y incluant la KaZa (Conservation transfrontalière du Kavango-Zambèze). Cinq pays sont concernés : l’Angola, la Namibie, le Bostwana, le Zimbabwe et la Zambie et cela devrait protéger la faune sauvage tout en favorisant le tourisme…
    Quand débute Okavango, du nom de ce fleuve qui se termine par un delta sans se jeter dans une mer ou un océan mais dans le désert du Kalahari, je suis dans la réserve Wild Bunch appartenant à John Latham dont le passé sera révélé au fil des pages.
    En Afrique australe où, depuis le milieu du XXe siècle, quand ont été créées les premières réserves, le braconnage n’a pas cessé, bien au contraire. Les rhinocéros et les éléphants en sont les premières victimes pour le commerce de l’ivoire mais lions, panthères, guépards et bien d’autres ne sont pas épargnés pour… le plaisir d’afficher un tableau de chasse qui devrait faire honte à leurs auteurs.
    Comme nous l’affirme avec humour Caryl Férey, les Asiatiques, principalement, sont persuadés que la corne de rhinocéros peut raffermir leur virilité alors que ces cornes sont constituées de kératine que l’on trouve tout simplement dans nos ongles, nos cheveux…
    Tout en suivant le travail de Solanah, ranger à Kundu, l’auteur distille quantité d’informations sur la vie des peuples San ou Bochimans, Khoï (hommes du désert) et autres ethnies, des gens vivant dans la misère et prêts à tout pour gagner un peu d’argent. Ils sont une proie facile pour les trafiquants comme ce Rainer Du Plessis et ses sbires qui s’enrichissent honteusement tout en détruisant la vie en Afrique australe.
    Il se trouve que le corps d’un jeune Ovambo vient d’être découvert à Wild Bunch. Cela déclenche aussitôt une enquête de la part des rangers de Rundu et c’est Solanah qui s’en occupe Elle vient au lodge interroger N/Kon, l’intendant de John, pas bavard. Justement, John Latham est là et ne laisse pas Solanah insensible. Ici, Caryl Férey, comme à son habitude, livre des descriptions claires, détaillées, précises.
    Pour préserver sa réserve du braconnage, John a fait installer un système de vidéo surveillance sophistiqué mais, bizarrement, il semble y avoir quelques lacunes. Les rapports compliqués entre les divers protagonistes de l’histoire et les malheurs causés aux animaux par la concupiscence des hommes et leur goût immodéré pour les plaisirs factices causent beaucoup de péripéties.
    Cette lecture addictive d’Okavango me mène de surprise en coup de théâtre, de révélations surprenantes en scènes d’amour relaxantes mais je n’oublie pas les trafiquants, ce fameux Scorpion qui tire les ficelles sans le moindre scrupule, sans aucun respect pour la vie, animale ou humaine.
    Okavango est vraiment un magnifique roman qui va bien au-delà du thriller car il comporte une part importante destinée à ouvrir les consciences grâce aux précisions détaillées données par l’auteur. C’est intense, prenant, palpitant comme cette scène émouvante de l’accouchement du bébé rhinocéros avec l’aide de John !
    Caryl Férey apporte aussi d’intéressantes précisions sur la réalité de la vie agricole en Namibie, les rapports entre les éleveurs et les animaux sauvages – tiens, cela me fait penser à quelques polémiques qui agitent régulièrement l’actualité de nos régions… Il souligne aussi le rôle de l’Afrique du Sud de l’apartheid dans ces pays d’Afrique australe. Il offre même une visite intéressante de Windhoek, la capitale de la Namibie.
    Pour vivre au plus près de la nature, des mœurs des animaux sauvages, partager aussi la vie des gens qui peuplent depuis longtemps ces contrées et surtout, vibrer jusqu’à la dernière ligne d’un final palpitant : lisez Okavango !
    Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2023/10/caryl-ferey-okavango.html

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    • Jean-Paul Degache le 20/04/2024 à 22h38

      Oh Pascal ! Je découvre par hasard ton commentaire super sympa, merci !
      Moi aussi, j'espère faire ta connaissance aux prochaines Correspondances de Manosque. C'est facile de me reconnaître : je n'ai plus beaucoup de cheveux donc je porte une casquette, j'ai toujours mon appareil photo prêt à opérer et je prends des notes lors de chaque rencontre avec un écrivain. De plus, Ghislaine, mon épouse est toujours à mes côtés.
      Alors, j'espère, au mois de septembre prochain !
      Amicalement.
      Jean-Paul

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    • Pascal TOURRES le 09/11/2023 à 12h01

      Partage croisé du plaisir et de l'intérêt

      • d'avoir lu Okavango qui est un vrai bon (gros) roman, très bien documenté, intégrant les relations complexes des protagonistes aux personnalités affirmées et aux parcours singuliers et qui prend aussi partie contre le braconnage et l’importance de préserver la vie sauvage … (et je ne ferais pas plus de commentaires / chronique vues toutes les bonnes critiques _I-) ;

      • et d’avoir pu assister en parallèle aux Correspondances de Manosque et particulièrement à la prestation de Caryl Ferey qui donne littéralement vie à son écriture.

      Au plaisir et hasard possible de se croiser à Manosque … aux prochaines Correspondances par exemple puisque je partage ma vie entre le pays de Pagnol (et d'autres) – Marseille - et celui de Giono.

      Très bonne continuation avec plein de lectures passionnantes.

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  • En exergue une citation de Nelson Mandela

    «Un être humain, c’est une lumière libre qui se fait braise quand elle tombe, et incendie quand elle se relève».

    John, propriétaire de Wild Bunch (la Horde Sauvage), fait découvrir sa réserve privée à une famille américaine.Tout se passe à...
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    En exergue une citation de Nelson Mandela

    «Un être humain, c’est une lumière libre qui se fait braise quand elle tombe, et incendie quand elle se relève».

    John, propriétaire de Wild Bunch (la Horde Sauvage), fait découvrir sa réserve privée à une famille américaine.Tout se passe à merveille, John fait même un état des lieux pédagogique à la curieuse jeune américaine, jusqu’à ce qu’ils découvrent le cadavre d’un jeune pisteur.
    Solanah, une ranger dynamique, est chargée de l’enquête. Elle fait partie de la KaZa, zone de conservation transfrontalière Kavango-Zambèze, basée dans la bande de Caprivi, entourée des quatre pays limitrophes de la Namibie, près des chutes Victoria.
    John adore la savane et lutte pour préserver les animaux sauvages qu’il a appris à connaître au fil des ans. Mais il est aussi un « Caméléon » que Solanah apprendra à mieux connaître.
    La tâche de Solanah deviendra vite incontrôlable, car des massacres d’animaux et d’autres meurtres se succèdent rapidement. Il faut également coincer le « Scorpion », Rainer Du Plessis, à la tête d’une solide organisation de braconnage qui lui rapporte des millions.
    Le précieux ivoire, plus il est rare plus il est cher, alors pourquoi ne pas en profiter ?
    Roman noir, où de violents massacres d’animaux assombrissent ces pages heureusement illuminées par de magnifiques descriptions de la savane, du désert de Kalahari et du parc de Bwabwata.
    Roman noir, où de violents massacres d’animaux assombrissent ces pages heureusement illuminées par de magnifiques descriptions de la savane, du désert de Kalahari et du parc de Bwabwata. Mais où nous apprenons aussi la survie des Bochimans, ces peuples autochtones, peuples du désert, San et Khoi, qui doivent cohabiter avec les animaux protégés. A cela s'ajoute la tâche difficile des propriétaires et des rangers qui luttent contre les braconniers, montrant ainsi leur attachement à leur terres et leur amour des bêtes.

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