Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
" Le Mokafé est un théâtre " que nous donne à voir l'auteur avec une écriture sobre et sensible. De l'enfant de 8 mois à la vieille dame de 80 ans, chacun essaie de tenir son rôle, plus ou moins aisément, plus ou moins joyeusement. Parfois " l'instant se la coule douce " avec des " sons familiers, complices, câlins au coeur et à l'oreille ". Dans ce café qui doit son nom à une dynastie de chats, certains clients tiennent à retrouver leur place. Là ils sont connus et reconnus, entrent en relation avec d'autres s'ils le souhaitent, nous offrent un petit fragment de leur vie. Comme au théâtre, nous sommes spectateurs mais aussi partie prenante de ce qui se passe : scènes qui ont " toute la grâce du monde ", scènes qui disent toute la solitude du monde. Comme un miroir de nos joies, nos manques, nos peurs. Histoires familières auxquelles nous ne prêtons pas souvent attention, pris dans nos propres scénarios. Et comme l'écrit Eva Kavian, peut-être que Christiane Levêque écrit aussi " ce que nous ne voyons pas, ce que nous n'entendons pas, quand nous sommes sourds, ce qui nous échappe, .. Ces destins côtoyés et ignorés, ces reflets de nous que sont les autres, dans le miroir de l'humanité. " © Jacqueline Persini-Panorias.
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