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L'amie de nos amis

Couverture du livre « L'amie de nos amis » de Attilio Veraldi aux éditions Rouergue
  • Date de parution :
  • Editeur : Rouergue
  • EAN : 9788126006090
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

L'Amie de nos amis fait suite à Nez de chien (paru au Rouergue en 2008). On y retrouve, à New York au début des années 1970, Corrado Apicella, commissaire napolitain et Achile Ammirato, « patron » de la Camorra. Ammirato veut développer ses « affaires » aux États-Unis. Ce départ lui permet... Voir plus

L'Amie de nos amis fait suite à Nez de chien (paru au Rouergue en 2008). On y retrouve, à New York au début des années 1970, Corrado Apicella, commissaire napolitain et Achile Ammirato, « patron » de la Camorra. Ammirato veut développer ses « affaires » aux États-Unis. Ce départ lui permet également de s'éloigner de Naples et d'Apicella qui commençait à lui compliquer sérieusement la vie. Mais Apicella est aussi du voyage et continue à traquer sans relâche son ennemi juré. Il est entraîné dans les bas fonds new-yorkais et se frotte aux mafieux locaux tous dirigés par un certain Mr Big, associé d'Ammirato. Il fait ainsi la rencontre de Daylight, fiancée d'un certain Dominick Diobene.
Apicella tombe immédiatement sous le charme de cette femme aussi belle que mystérieuse. Il comprend rapidement que les liens qui unissent Daylight et Diobene sont plus complexes qu'il n'y paraît. Le père de Daylight, Moe Schulberg, comme celui de Diobene, travaillait pour Mr Big. Mais il a subitement disparu dans le néant. Diobene meurt, Apicella s'interroge : pourquoi Daylight fréquentait-t-elle l'ennemi de son père ? Dégoûté par la police américaine qui protège Ammirato, Apicella décide de regagner l'Italie. Il passe par Long Island juste avant son départ.
Il aperçoit Daylight en compagnie d'un vieillard en fauteuil roulant.
Il comprend alors qu'il s'agit de son père qu'elle a vengé en tuant Diobene. Il décide de ne pas la dénoncer et l'abandonne à son halo de mystère.
Dans cet ouvrage, Attilio Veraldi nous offre un cocktail américano- napolitain détonnant. Dans la grande tradition du roman noir, il crée un personnage de femme vénéneuse et fatale au coeur d'une intrigue fertile en rebondissements. L'écriture rythmée et très visuelle restitue une atmosphère proche de celle des romans de Raymond Chandler, auteur que Veraldi a traduit et auquel il rend hommage.

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