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Surprenant et beau... Que ce soit "Je voudrais parler de Duras" en reprenant l'injonction de cette dernière "écris sur moi" ou "Cet amour-là", Yann Andréa réussi là où Duras échoue : sans métaphore, sans détournement, il parle d'elle et parfois de lui, de cette violence entre eux, de cette interdiction qu'il avait de vivre sans elle, sans son désir qu'elle imposait, la base de cet amour si grand, car il s'agit bien d'amour. Les deux s'aimaient, c'est évident.
Si Duras a écrit dans "C'est tout" à propos de lui : " Je sais bien que tu as d'autres ambitions. Je sais bien que tu es triste. Mais ça m'est égal. Que tu m'aimes, c'est le plus important. Le reste m'est égal. Je m'en fous" et "Vous êtes nul. Rien. Un double zéro." Yann Andréa le dit aussi, le dit sans filtre, sans justification, sans manichéisme, sans explications finalement. Mais avec beaucoup d'amour dans cette violence toujours latente, parfois effective, aussi bien affectivement, verbalement et physiquement aussi.
Et c'est un homme qui écrit cela, c'est rare, peut-être même exceptionnel. Pourtant, quelque soit son genre, ses mots transcendent pour toucher, non pas une intimité car il n'y a rien de voyeuriste bien que tout soit pourtant si personnel, mais un amour intense en huis clos d'une certaine façon.
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