Et si ce roman était moins léger qu’il n’y parait ?
Et si ce roman était moins léger qu’il n’y parait ?
"Billie Pretty a disparu" raconte l'histoire de Billie, qui abandonné par sa mère dès le plus jeune âge, va grandir entourée de son grand-père mais aussi de Maxime, son ami.. Mais son monde s'écroule quand elle découvre que la chanteuse Billie Pretty n'existe pas, alors que depuis sa naissance on lui dit qu'elle tient son nom d'une célèbre chanteuse. Billie part alors à la découverte de sa propre personnalité !
Billie va alors essayer de trouver sa place, d'exister dans un monde qu'elle ne connait pas, trouver les codes. Maxime va l'aider, avec lui, elle va découvrir l'amitié, la confiance, la vérité et l'amour.
Chaque chapitre est une année, les chapitres et la vie de Billie défilent sous nos yeux ébahis. Sophie Astrabie chronique en faite la vie de cette jeune femme qui veut à tout prix trouver sa place, avec grandeur, simplicité, émotion et envoûtement.
Sophie Astrabie m'avait déjà conquis avec "La somme de nos vies" et "Le bruit des souvenirs" mais avec "Billie Pretty a disparu" elle surpasse tout. C'est un véritable coup de coeur, de ceux qui est impossible d'oublier, impossible de s'arrêter dans sa lecture, de ceux où les personnages sont tellement attachants qu'on aimerait rentrer dans les pages pour les aider. Sophie est comme une magicienne des mots et des histoires.
Un roman qui décrit la vie, la vraie, tout simplement. La plume est toujours aussi sublime, poétique, simple avec tant d'émotions. Une merveille ! Une histoire qui montre qu'il faut croire en soi, à ses rêves, à ne surtout pas passer à côté de sa vie et de vivre comme on le souhaite.
Bref, ce nouveau roman de Sophie est lumineux, bouleversant, aux mots justes, aux mots touchants, parlant d'amour et d'amitié. C'est beau, c'est beau, c'est beau, merci Sophie !
J'avais lu "La somme de nos vies" dans le cadre du club de lecture "J'ai lu", sans l'avoir choisi; n'étant pas adepte des romans feel-good, je n'avais pas été enthousiasmée tout en reconnaissant que certains des thèmes traités étaient intéressants et que l'écriture était fluide, rendant la lecture agréable.
C'est encore le même ressenti avec ce roman, histoire d'une fuite à la recherche de son histoire et de soi dans le village de l'enfance et des vacances d'été. L'élément déclencheur est la mort de la mère et la découverte d'un carnet et de photos. Repartir à zéro, changer de nom, de tête, de métier. Est-ce la solution lorsque le mal-être phagocyte votre vie?
Les thèmes abordés sont nombreux, un peu trop, donc traités sans réelle profondeur (identité, résilience, maternité, violence conjugale, enfance, amitié, perception des souvenirs, nouveau départ). Ce roman foisonne de personnages, là aussi un peu trop nombreux; certains changent d'identité; j'avoue que j'ai été un peu perdue par moments.
Les chapitres courts donnent du rythme, l'écriture est fluide, la lecture facile mais ce roman sera assez vite oublié.
Lu dans le cadre du Prix du Club des Lecteurs J'ai lu .
Sophie Astrabie, je l'adore. Ses livres bien entendu mais aussi la femme derrière la plume.
Je la suis sur Instagram depuis un bon moment et je me régale de ses posts car elle a le don de mettre des paillettes dans les petites choses du quotidien.
Ce livre c'est ça, il reprend ses principaux posts et écrits sur le thème de la maternité, de l'idée de fonder une famille jusqu'à l'arrivée imminente de la petite 3ème.
C'est beau, c'est doux, c'est drôle, extrêmement drôle et surtout c'est extrêmement déculpabilisant. Car une vie avec des enfants c'est de l'amour en barre, des souvenirs à chérir, des fous rires mais c'est également des chamboulements, des ajustements, des bêtises, des remises en question... Il faut savoir composer avec tout cela et c'est ce qu'elle nous montre en nous livrant une part de son quotidien.
Un journal de bord lumineux, à l'image de son auteure et magnifiquement illustré par Magalie Foutrier.
Un livre à mettre absolument dans les mains des jeunes parents.
Un livre solaire qui remplit le cœur d'émotions
Dans cet ouvrage, Sophie a compilé ces chroniques Instagram de maman. Ces merveilleux posts où elle raconte les galères de parents, ses réflexions sur la vie, le monde de l'enfance, ses journées compliquées ou ses vacances en van.
C'est juste merveilleux ! Un énorme coup de cœur pour ce livre où l'on passe du rire aux frissons et aux larmes dans les yeux. Les mots de Sophie me touchent, me parlent, m'embarquent immédiatement !
Une idée qui revient comme un fil rouge, c'est dur d'être parent de jeunes enfants mais le temps file à toute vitesse et un jour, les enfants auront quitté la maison et on repensera à ces années de joyeux bordel avec mélancolie !
Acheter sa tranquillité avec du sucre, oublier volontairement que c'est le jour du bain, arriver en retard à l'école, faire une croix sur les grasses mat', ne plus jamais fermer la porte des toilettes... Si ces situations vous sont familières, ce livre devrait vous plaire autant qu'à moi...
À vous offrir et/ou à offrir...
Je suis, une fois de plus, totalement sous le charme de l'optimisme et de l'humour de Sophie. Les dessins sont trop beaux et pleins de tendresse !
Merci de partager avec nous ces bouts de vie, et de nous reconnecter à l'essentiel.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
En attendant le verdict du 14 juin, découvrez ces nouveaux talents du 9e art !
Rendez-vous le jeudi 1er juin à 18h en direct sur "Un endroit où aller" et notre page Facebook
Juillet 1893, Aigues-Mortes : un massacre longtemps passé sous silence
Une superbe BD qui questionne les thèmes de l'identité et de la transmission d'une culture