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Guy Rechenmann

Guy Rechenmann

Ecrivain et homme de télévision, Guy Rechenmann avoue être un rêveur et un poète. En 2008 il publie un recueil de poésies et de nouvelles "La Vague" éditions Ecri'mages suivi de trois romans "Des fourmis dans les doigts" éd. L'Harmattan et "Le Choix de Victor" éd.Vents Salés où se mêlent suspense...

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Ecrivain et homme de télévision, Guy Rechenmann avoue être un rêveur et un poète. En 2008 il publie un recueil de poésies et de nouvelles "La Vague" éditions Ecri'mages suivi de trois romans "Des fourmis dans les doigts" éd. L'Harmattan et "Le Choix de Victor" éd.Vents Salés où se mêlent suspense, poésie et onirisme...

Avec FLIC DE PAPIER, FAUSSE NOTE et A LA PLACE DE L'AUTRE ses derniers romans aux éditions Vents Salés, il revisite le genre policier d'une façon nouvelle et inattendue
grâce au même personnage Anselme Viloc, un flic atypique et obstiné.
 
Guy Rechenmann écrit ses romans au Cap-Ferret
 
Crédit photo © Guy Rechenmann

Articles en lien avec Guy Rechenmann (1)

Avis sur cet auteur (71)

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    Couverture du livre « Victor » de Guy Rechenmann aux éditions Cairn

    Catherine Rechenmann Arrieutort sur Victor de Guy Rechenmann

    Une 8ème enquête pour le flic de papier qui s’attaque à l’énigme d’un cold case , un cas d’école souvent relaté chez les jeunes enquêteurs … Un récit en trois parties: la première avec le spectacle, la deuxième c’est l’identification du coupable avec le commissaire Lacorde il y a déjà...
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    Une 8ème enquête pour le flic de papier qui s’attaque à l’énigme d’un cold case , un cas d’école souvent relaté chez les jeunes enquêteurs … Un récit en trois parties: la première avec le spectacle, la deuxième c’est l’identification du coupable avec le commissaire Lacorde il y a déjà longtemps, et finalement la troisième, avec Anselme Viloc, la recherche et la découverte des preuves.
    Les faits se sont déroulés à Bordeaux dans les années 70’ la victime s’est vu offrir de choisir sa vie ! Est-ce possible? Qui sait? Comme une allusion au Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde. Un pari fou … un choix cornélien … même le chat Victor s’en émeut …pour finir poussé dans la vide par des mains gantées de couleurs différentes l’une de rose , l’autre de bleu …
    À la manière d’un Hercule Poirot rapidement on connaît les faits , l’ancien commissaire avait patiemment récolté tous les indices de cette folle histoire sans jamais avoir suffisamment de preuves pour confondre et inculper le coupable qu’il avait réussi à identifier.
    Cela s’avère un sacré challenge que le commissaire Plaziat propose à Anselme Viloc tant d’années après … Évidemment il devra faire appel à toutes ses cellules grises, non sans l’aide de Lily la jeune surdouée toujours fine mouche, pour ceux qui connaissent la série du Flic de papier, et faire une incursion dans les différentes techniques de l’hypnose et de la manipulation mentale , objet de cet opus . Techniques réelles , efficaces et avérées comme nous l’apprendrons …. Ensuite, comment dénicher les preuves si longtemps après la tentative de meurtre, car elle existent ! À vous de le découvrir dans cette enquête hors du commun … la référence aux Parques de la mythologie, aux célèbres spectacles d’hypnose de la famille Blackstone , au déterminisme et au libre arbitre…
    En conclusion la chance pour Anselme Viloc s’avère être la constante que ceux qui ourdissent des assassinats en font toujours trop !
    Chacune des enquêtes, 8 au total , abordent à chaque fois un thème bien particulier: la résilience, la geobiologie, la sorcellerie, la manipulation mentale, le bien et le mal, la recherche de ses origines, le goût ultime, l’hypnose…le libre arbitre
    Guy Rechenmann est un auteur qui sort toujours des sentiers battus et c’est un plaisir dans notre époque d’uniformisation
    A lire

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    Couverture du livre « Victor » de Guy Rechenmann aux éditions Cairn

    Michel Giraud sur Victor de Guy Rechenmann

    Ce jour-là, ce n'est pas Anselme Viloc, le "flic de papier", qui débarque dans le bureau du commissaire Plaziat pour le convaincre d'enquêter sur un cas douteux. C'est le boss du commissariat de Castéja à Bordeaux qui franchit la porte de son subalterne et vient lui raconter une vieille histoire...
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    Ce jour-là, ce n'est pas Anselme Viloc, le "flic de papier", qui débarque dans le bureau du commissaire Plaziat pour le convaincre d'enquêter sur un cas douteux. C'est le boss du commissariat de Castéja à Bordeaux qui franchit la porte de son subalterne et vient lui raconter une vieille histoire qu'un de ses lointains prédécesseurs n'avait pas réussi à résoudre. Un cold case qui sert d'exercice dans les écoles de police.
    Tous les témoins affirment que Fred Victor a été défenestré, poussé par deux mains gantées, aux couleurs dépareillées. Mais rien ne tient, et l'accident semble la thèse la plus crédible. Même le commissaire Lacorde, brillant patron du commissariat à l'époque, y perd son latin. Au point d'aller chercher la solution dans l'au-delà en tentant de se suicider.
    Viloc se met évidemment au défi de résoudre l'énigme.

    Dans la chronique de lecture de mon premier "flic de papier", titre du roman et de la série qui suivra, j'avais écrit : "il y a du Simenon dans ce flic de papier" (lire cette chronique ici). Aujourd'hui, je pourrais écrire qu'il y a du Capitaine Hastings, d'Agatha Christie, ou du Docteur Watson, d'Arthur Conan-Doyle, chez Anselme Viloc. Il est un flic qui fait confiance à son intuition, qui ne lâche rien pour trouver la solution et le coupable. Mais, pour résoudre l'énigme, il a besoin du génie d'un Hercule Poirot ou d'un Sherlock Holmes. Et c'est Lily, l'adolescente surdouée, orpheline de père de puis le premier opus, qui tient ce rôle. L'originalité de l'auteur vient de ce qu'il a inversé les rôles dans la mise en scène.
    Pour autant, dois-je renier la référence à Simenon ? Dans la résolution de l'intrigue, certainement ; l'inspecteur Janvier, adjoint de Maigret était surtout un faire-valoir, allant chercher la bière et le sandwich du commissaire. En revanche, dans la construction de la narration, on retrouve bien la rondeur, l'indolence, mais aussi le soucis du détail, des Simenon-Maigret. Dans ses derniers romans, Guy Rechenmann ajoute une touche d'extravagance (un mot que je n'expliquerai pas, pour ne pas déflorer le sujet) qui contribue à marquer son originalité.
    C'est le sixième roman de l'auteur que je chronique (Eh, oui ! Il me manque un "flic de papier" !) Je ne vais donc pas vous infliger une nouvelle fois ce que je pense des personnages ou toutes les qualités que je trouve dans l'écriture. Plongez-vous vous-même dans le bouquin. Vous ne pouvez manquer d'y prendre du plaisir, sauf peut-être si vous n'êtes qu'un inconditionnel du thriller d'action.

    Merci à Guy Rechenmann et aux éditions Cairn de m'avoir permis de lire ce roman.

    Chronique illustrée :http://michelgiraud.fr/2024/04/08/victor-de-guy-rechenmann-aux-editions-cairn-un-cold-case-pour-le-flic-de-papier/

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    Couverture du livre « C'est pas sorcier » de Guy Rechenmann aux éditions Cairn

    Michel Giraud sur C'est pas sorcier de Guy Rechenmann

    Pierre, un adolescent, contacte Anselme Viloc, le "Flic de papier", pour attirer son attention sur la mort de sa tante Jacqueline, que le policier a connu dans son enfance à Chambéry. Le neveu est convaincu qu'il s'agit d'un assassinat. Pourtant la dame a été déclarée morte de mort naturelle...
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    Pierre, un adolescent, contacte Anselme Viloc, le "Flic de papier", pour attirer son attention sur la mort de sa tante Jacqueline, que le policier a connu dans son enfance à Chambéry. Le neveu est convaincu qu'il s'agit d'un assassinat. Pourtant la dame a été déclarée morte de mort naturelle dans une clinique psychiatrique bordelaise.
    N'écoutant que son intuition, Viloc se lance dans une enquête qui le conduira du Cap-Ferret à Chambéry et de son commissariat bordelais jusqu'au Gabon.

    Avec cette intrigue qui mêle passé colonialiste, traditions tribales africaines, jalousies et esprit de vengeance, l'auteur nous fait sortir de son cocon girondin pour nous entrainer sur les traces de son enfance africaine. Les fils de l'histoire paraissent si ténus et si emmêlés qu'on craint en permanence la rupture. Mais le "Flic de papier" saura les dénouer pour nous offrir un final digne d'Agatha Christie et Hercule Poirot.
    Comme toujours chez Rechenmann, et c'est en partie ce qui fait sa force, les caractères des personnages sont finement analysés et peints par petites touches. On pourrait sans mal y reconnaître un voisin, un parent éloigné, ou ses propres peurs.
    L'écriture est sans surprise quand on a lu quelques unes des précédentes enquêtes d'Anselme Viloc. Elle épouse le rythme lent des marées et les rondeurs des dunes qui entourent le bassin d'Arcachon, sans totalement occulter les aspérité d'une coquille d'huitre ou la vigueur d'un verre de vin blanc. On imagine volontiers l'auteur, installé devant son clavier, face au bassin d'Arcachon, se laissant bercer par le petit vent qu'engendre le renversement de la marée.
    Encore un "Flic de papier" bien construit, qui sort ici de sa zone de confort pour nous entrainer dans une nostalgie noire.

    Merci aux éditions Cairn et à Guy Rechenmann de m'avoir permis de découvrir cette nouvelle enquête du "Flic de papier".

    Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2023/03/12/cest-pas-sorcier-guy-rechenmann-cairn-nostalgie-noire/

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    Couverture du livre « C'est pas sorcier » de Guy Rechenmann aux éditions Cairn

    Yann Pillot-Courbet sur C'est pas sorcier de Guy Rechenmann

    Comment est morte Jacqueline? Voici la première question à laquelle Anselme Viloc va devoir répondre...Beaucoup d'autres suivront...

    L'inspecteur va devoir se plonger dans une histoire familiale riche et complexe qui le conduira loin du Cap Ferret, dans un pays dont il ignore les us et...
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    Comment est morte Jacqueline? Voici la première question à laquelle Anselme Viloc va devoir répondre...Beaucoup d'autres suivront...

    L'inspecteur va devoir se plonger dans une histoire familiale riche et complexe qui le conduira loin du Cap Ferret, dans un pays dont il ignore les us et coutumes le Gabon avec ses traditions, sa culture et son histoire...

    Encore une fois Guy Rechenmann, nous livre un roman captivant, truculent et très bien documenté sur ce pays qui mérite d'être découvert...

    C'est pas sorcier de passer un bon moment littéraire et de voyager...

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