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Odes sacrées, rondeaux, sonnets

Couverture du livre « Odes sacrées, rondeaux, sonnets » de Bharati Shuddhananda aux éditions Assa
  • Date de parution :
  • Editeur : Assa
  • EAN : 9782940393206
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Sonnets, Odes sacrées, RondeauxL'oeuvre poétique du Dr. Shuddhananda Bharati prolonge sa quête spirituelle. Pour lui, « le Poète est un messager de la Vérité et de la vie harmonieuse. Sa parole créatrice ouvre les yeux humains à la vision du Divin en l'homme. »Le recueil Odes sacrées, Rondeaux,... Voir plus

Sonnets, Odes sacrées, RondeauxL'oeuvre poétique du Dr. Shuddhananda Bharati prolonge sa quête spirituelle. Pour lui, « le Poète est un messager de la Vérité et de la vie harmonieuse. Sa parole créatrice ouvre les yeux humains à la vision du Divin en l'homme. »Le recueil Odes sacrées, Rondeaux, Sonnets, deuxième tome de La Poésie de l'énergie spirituelle, réunit les poèmes écrits en français par le Yogi Shuddhananda Bharati.Le mot ode signifie chant. Ces odes sacrées sont des cantiques célébrant la Divinité universelle qui soutient et protège tout et qui conduit le grand jeu de l'existence.Le rondeau, fils du rondel, tient de celui-ci le petit refrain en ritournelle, la disposition des rimes et des vers. Le « rondeau nouveau » compte 13 octosyllabes ou décasyllabes, construits sur deux rimes (A et B). Il est composé de deux strophes, mais la présentation graphique varie, disposant aussi les vers en trois groupes ou en un seul. La première strophe est un huitain, écrit sous la forme d'un quintil suivi d'un tercet : aabba - aab. La deuxième strophe (troisième dans la disposition à trois strophes) est un quintil : aabba. De plus, les premiers mots du premier vers sont répétés sous forme de refrain en dehors des rimes à la fin du tercet et à la fin du rondeau, selon le schéma : aabba - aab refrain - aabba refrain.Des poèmes à forme fixe, le sonnet, d'origine italienne, est le plus connu. Il compte quatorze vers (le plus souvent des alexandrins, mais aussi parfois des décasyllabes et plus rarement des octosyllabes) répartis en deux quatrains, construits sur deux rimes embrassées (abba) ou parfois croisées (abab), et un sixain formant deux tercets, construit sur trois rimes. Le sonnet a été sans doute la forme la plus employée en raison de ses étonnantes ressources de symétrie et de contraste. Le contenu des deux quatrains s'oppose à celui des deux tercets dans le contraste de la parité (2 fois 4) avec l'imparité (2 fois 3). Ce contraste formel relaie les jeux sur le sens. Roman Jakobson a relevé trois grandes structures dénommées par analogie aux types de rimes : disposition plate, où quatrains et tercets s'opposent ; disposition croisée, où les strophes impaires s'opposent aux strophes paires ; disposition embrassée, où le premier quatrain et le deuxième tercet s'opposent au deuxième quatrain et au premier tercet. Notons enfin que le dernier vers du sonnet doit proposer un point culminant ou une chute qui rassemble la visée du poème, souligne un détail formant contraste ou crée un effet inattendu.Le sonnet français présente deux schémas fondamentaux. C'est la forme du sizain qui détermine celle du sonnet. Les deux structures traditionnelles sont le sonnet marotique ou forme ancienne (abba - abba - ccd - eed) et le sonnet à forme française ou forme nouvelle (abba - abba - ccd - ede). Cette dernière est la plus usitée.

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