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Une histoire d'amour, passionnée parfois, qui tourne inexorablement au divorce. telle est la destinée de l'automobile à Paris. Aujourd'hui la voiture ne serait qu'un « problème » pour la capitale : il n'en a pas toujours été ainsi.
Pour la première fois, un historien rappelle les étapes de l'articulation de l'automobile à la ville et, réciproquement, de la ville à l'automobile, à mesure que l'aspiration collective à l'individualisme gagnait l'écrasante majorité de la population. Une soixantaine d'années durant, l'auto a irrésistiblement séduit les Français. Mieux : autour d'elle s'est jouée de façon décisive l'entrée de l'ensemble de la société française dans la modernité. Ainsi, dès l'apparition des premières autos, une civilisation nouvelle s'impose, d'abord parisienne et bientôt universelle. Jusqu'aux années 1960 se met en place une politique favorable à une automobile alors perçue comme facteur de prospérité, qui se traduit, dans toutes les grandes villes, par la construction d'infrastructures majeures, des tunnels aux boulevards périphériques. Toutefois, à partir de 1968, la contestation gronde face au poids toujours croissant d'une automobile dont on dénonce désormais les nuisances.
Donnant largement la parole aux acteurs et aux témoins du siècle dernier, Mathieu Flonneau offre une lecture inédite du paysage urbain contemporain, largement influencés par l'automobile telle qu'elle s'est imposée au cours du xxe siècle.
La conduite parisienne et les « embarras » de la capitale touchaient à la légende : il restait à en écrire l'histoire.
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