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L'homme et la mer

Couverture du livre « L'homme et la mer » de Philippe Marchand aux éditions Au Fil Du Temps
Résumé:

Noir, blanc, ombre, lumière, ce qui se voit et ce qui se laisse deviner, l'océan et ceux qui le côtoient. Philippe Marchand nous ouvre le monde de la mer dans ce qu'il a de plus intime et de plus humain. Son approche est sensible, toute en nuances et pudeur.
Les photos de Philippe Marchand sont... Voir plus

Noir, blanc, ombre, lumière, ce qui se voit et ce qui se laisse deviner, l'océan et ceux qui le côtoient. Philippe Marchand nous ouvre le monde de la mer dans ce qu'il a de plus intime et de plus humain. Son approche est sensible, toute en nuances et pudeur.
Les photos de Philippe Marchand sont comme des fragments d'histoire.
Dans son travil, il met en évidence la relation entre la mer et les hommes : comment ils la regardent, comment ils l'abordent et l'intimité qu'ils partagent avec elle à travers leurs activités et leurs passions. L'empreinte de l'homme sur le paysage marin et celle de l'océan sur la vie des hommes, jusque dans leurs attitudes et sur leurs visages.
La secrète communion entre les hommes et la mer.
L'artiste a pris le parti du format panoramique et du noir et blanc. Face à l'océan, le format s'imposait de lui-même. L'immensité marine est exaltée, la fragilité des hommes mise en évidence.
Avec le noir et blanc, plus intemporel que la couleur, Philippe nous montre la pérennité des lieux et des gestes du monde immuable de la mer. Au fil de l'exposition, on a la sensation que le temps se fige. La précipitation, la course ne sont pas de mise. La vie, depuis toujours, a le rythme de l'océan.
A travers un jeu subtil de contrastes, de gris et de lumière, véritable « coup de patte » du photographe, les images sont liées entre elles, indissociables, parties d'un tout, d'un univers où Philippe nous invite à partager ses émotions.
Le grain, très présent, atténue, enrobe le réel et renforce le côté poétique des images.
Les personnages sont le plus souvent de dos ou presque, en partie cachés par le jeu des ombres. Le regard se fait pudique, ne les englobe jamais vraiment, jamais tout entiers. Il y a comme un mystère dans l'air, que Philippe nous laisse « entrevoir ».

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