Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Spéculations foncières, crimes, chantage, prostitution et trafic d'influence en Provence au dix-septième siècle En 1646, Jules Mazarin, président du Conseil royal, signait les lettres patentes permettant à son frère Michel, archevêque d'Aix, en Provence, d'augmenter de près du tiers la surface de cette ville. Quelques mois plus tard Michel Mazarin revendait ses droits à un promoteur. Pourquoi ?
Au même moment, le comte d'Alais, gouverneur de Provence, avertissait le ministre que des lettres de nomination à des charges de conseiller au Parlement d'Aix étaient proposées à la vente. Et que ces lettres étaient toutes revêtues de la signature du Cardinal. Qui cherchait à vendre ces documents ?
Mazarin chargeait alors le marquis de Vivonne de faire une enquête. Le marquis devait être assisté du procureur du roi, Gaston de Tilly. Tous deux allaient découvrir la vérité dans une ville d'Aix sale et obscure, encore enserrée dans ses remparts moyenâgeux. De la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean aux bordels de la rue Bouèno-Carrièro, du Palais Comtal à la rue Esquicho-Mousqué, ils devaient frôler la mort plusieurs fois.
Qui cherchait à les tuer et faisait le vide autour d'eux ? Henry de Forbin-Maynier, baron d'Oppède ? Jacques Gaufridi, le président de la Chambre des Requêtes ? Philippe Gueidon, avocat du Roi ou encore Louis de Valois, le gouverneur de Provence ? À moins que ce ne fût le conseiller Gaspard de Venel ou Honoré Pellegrin, le prieur de Saint-Jean de Malte ?
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