Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
«Non mais dites-moi que je rêve!» Vincent en a marre. Vincent en a marre de la bienséance et de la politesse, du troc et de la gentillesse.
Vincent en a marre de faire de la musique, du sport et de lire à heure fixe, tous les jours, toute l'année, toute sa vie. Sonneries, restrictions, interdictions, obligations... Vincent en a marre!
Ce bonheur carcéral imposé par les «salopards de dictateurs» qui dirigent ce monde de «têtes molles» lui devient chaque jour un peu plus insupportable. Alors Vincent va craquer.
Vincent va se fâcher.
Vincent va se révolter.
Porté par l'ombre tutélaire de Grand-Pa, Vincent, cet ambitieux plombier du village de Labastide, nourrit l'espoir fou de rendre aux hommes leur humanité en faisant renaître un passé enterré et oublié. Téléphones, voitures, ordinateurs, télévisions, argent... Tant de trésors enfouis sous soixante-dix ans de tyrannie douce et qu'il rêve d'exposer au monde entier. Qu'importent les conséquences, qu'importent les sacrifices, pour cela il est prêt à tout. À tout! Et gare à ceux qui se dresseront sur son chemin!
Dans cette dystopie aux codes renversés, l'homme, fardé d'un bonheur fabriqué, montre une fois de plus l'étendue de son intelligence destructrice.
Attiré par la beauté du progrès et ses perspectives infinies, il nourrit une ambition déchaînée des mailles de la raison, qui concurrence l'idée même de liberté. Trouverons-nous les clefs du bonheur dans un système politique? Sommes-nous simplement capables de bonheur? Rien de moins sûr.
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