Aux urgences, la journaliste Farah Hafez découvre un petit garçon grièvement blessé. Il a été victime d'un accident de voiture, le chauffeur a pris la fuite. Ses vêtements attirent immédiatement l'attention de la jeune femme : il s'agit d'habits traditionnels afghans de fille. Horrifiée, Farah se souvient d'un rituel pratiqué en Afghanistan, son pays natal, le bacha bazi, qui signifie littéralement « jouer avec les enfants ». L'idée que ces pratiques aient pu arriver jusqu'au Pays-Bas la met hors d'elle en même temps qu'elle l'effraie. Farah décide de tout mettre en oeuvre pour faire éclater la vérité et identifier les ordures qui organisent ce trafic d'enfants.
Premier volet de la trilogie Hartland, Un papillon dans la tempête a obtenu le Prix du meilleur roman policier aux Pays-Bas (Schaduwprijs).
La liste des polars qui vous feront passer d'excellents moments de lecture
Une petite fille maquillée, vêtue d'habits et de bijoux traditionnels afghans, est découverte sur une route dans le Bois d'Amsterdam, laissée pour morte après avoir été heurtée par une voiture. Le médecin urgentiste découvre qu'il s'agit en réalité d'un garçon et la journaliste, Farah Hafez, elle-même d'origine afghane, fait immédiatement le lien avec un rituel pédophile pratiqué dans son pays. Danielle, le médecin, veut à tout prix dénoncer publiquement cette pratique alors que Farah décide d'approfondir l'enquête.
N'attendez pas que je vous en dise davantage sur cette intrigue très complexe, qui brasse quantité de personnages et autant d'histoires, mêlant souvenirs d'enfance, politique, médias, corruption policière, mafia russe et autres ! Il s'agit du premier volume d'une trilogie "La trilogie Hartland" et, si je me lance à lire les deux autres, il me faudra forcément reprendre celui-ci ! Ceci dit, c'est un très bon roman, mené à bride abattue de rebondissements en traquenards, de pauses amoureuses en malversations de toutes sortes. Je me suis parfois essoufflée à le lire mais le suspense habilement maintenu de bout en bout m'a empêchée de décrocher. Pas de quoi grimper aux rideaux de la littérature policière mais un moment de lecture fort agréable et distrayant.
Ce premier tome d’une future trilogie nous happe dès les premières pages. Farah, journaliste à Amsterdam croise dans le hall de l’hôpital une petite fille déguisée en habit de fête, grièvement blessée après avoir été heurtée par une voiture qui a pris la fuite. Etant la seule à comprendre son langage, elle découvre que cet enfant est en réalité un petit garçon. Cela lui rappelle aussitôt un rituel pratiqué dans son pays d’enfance, l’Afghanistan, le Bacha Bazi ou « jouer avec les enfants ». Elle n’aura alors plus qu’un but : comprendre ce qui s’est passé.
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