Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
La pollution ultime partit simultanément de la lagune de Venise et des étangs languedociens ; cette fois, la malaïgue avait pris le large.La chaleur aidant, une odeur de chou pourri s'exhala et pénétra partout, s'insinuant par le moindre interstice, envahissant les coins les plus profonds et les plus reculés, les caves, les souterrains, les catacombes, l'intérieur des murs, soupe gazeuse, chaude nourrice des morts à venir ; quand elle toucha Mô dans sa cellule capitonnée comme un cercueil, elle le sortit d'un sommeil sans rêves...
Il faut fuir. Quel monde trouvera-t-il à sa sortie d'asile ? Jusqu'où devra-t-il puiser en lui pour déjouer les pièges de ces étendues post-apocalyptiques ? À bout de ressource, la mort aux trousses, il se résout enfin à abandonner son territoire pour se lancer dans une course poursuite éperdue et hallucinée qui le mènera jusqu'en Espagne, et Gibraltar... Le dernier acte, haletant, de La saga de Mô.
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