Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Jeremy Nelson, jeune pianiste américain passionné de jazz, part à Londres en septembre 1921 sur les traces de ses ancêtres, et y rencontre un certain Victor Legris... De retour à Paris, il sera mêlé sans le vouloir à une série de morts étranges touchant plusieurs personnes travaillant dans l'univers du spectacle. Près de chaque cadavre on découvre une carte postale représentant un tableau de la Renaissance, le portrait de Simonetta Vespucci, qui posa, entre autres, pour Botticelli.
Un même pseudonyme pour deux auteurs, deux soeurs que je ne connaissais pas et que j’ai donc découvert dans cette histoire originale.
J’ai aimé plonger avec les personnages dans ce Paris des années 20, dans ce milieu de la musique, étrange et sublime. Les personnages sont attachants et on se plaît à déambuler avec eux dans les rues comme dans leurs vies.
Le style est plaisant et rythmé. Cependant j’avoue avoir trouvé l’intrigue peu captivante, le suspense ne m’a pas embarquée… J’ai vraiment apprécié le décor, les personnages et le Paris de l’époque. Pour le reste j’ai été déçue et ai mis du temps à venir à bout de l’histoire pourtant courte…
En conclusion j’ai apprécié le décor historique et artistique, moins l’histoire. A tenter pour le dépaysement!
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