L’auteur congolais remporte la 6e édition du Prix avec "Le Psychanalyste de Brazzaville", publié aux éditions Les Lettres Mouchetées
Dans cette année en France de prise de conscience médiatique concernant les violences conjugales, surprise par autant de mauvaise foi et de tabous, je me suis décidée à écrire, à raconter comme pour ancrer dans la conscience collective ma propre prise de conscience d'une société qui s'insurge, en apparence seulement, contre cette violence familiale.J'ai décidé de me raconter, douloureuse thérapie, pour partager ma faiblesse, ma douleur, mon angoisse et ma culpabilité. J'ai quitté il y a plus de deux ans un homme violent, physiquement parfois, psychologiquement souvent. J'ai ainsi ouvert la boîte de Pandore réveillant la colère d'un homme qui n'a depuis d'autre ambition que d'anéantir ma vie, détruisant par la-même celle de nos deux jeunes filles, de six et sept ans.Dans cette spirale négative notre État Providence n'offre pas grand soutien et je me heurte à bien des murs.
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