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De l'abeille au ruban bleu ; sur les traces d'un héros niçois : Nice de Garibaldi

Couverture du livre « De l'abeille au ruban bleu ; sur les traces d'un héros niçois : Nice de Garibaldi » de Louis-Gilles Pairault aux éditions Serre
  • Date de parution :
  • Editeur : Serre
  • EAN : 9782864105008
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Sur Garibaldi, tant de livres ont été écrits déjà. En oser un de plus, n'était-ce pas présomptueux ? De l'abeille au ruban bleu, Nice de Garibaldi se penche sur cette relation entre un héros et sa ville. Garibaldi n'a pas passé toute sa vie dans sa cité natale ; on ne saurait retrouver sa marque... Voir plus

Sur Garibaldi, tant de livres ont été écrits déjà. En oser un de plus, n'était-ce pas présomptueux ? De l'abeille au ruban bleu, Nice de Garibaldi se penche sur cette relation entre un héros et sa ville. Garibaldi n'a pas passé toute sa vie dans sa cité natale ; on ne saurait retrouver sa marque à tous les coins de la ville où il aurait vécu jusqu'à son dernier jour. Non, la maison où il est né a été détruite. Et le destin si aventureux de Garibaldi ne le laissa guère résider toute sa vie au même endroit. Garibaldi fut comme une comète dans le ciel de Nice : il y passa ses premières années,  mais la quitta fort jeune pour s'embarquer comme mousse. Puis, exilé, il dut en rester éloigné pendant quinze années. Garibaldi à Nice, ce ne fut dès lors que quelques passages souvent triomphaux et parfois tragiques : l'accueil solennel en juin 1848, une halte dans la fuite de septembre 1849, des séjours en 1855, en 1859. Après l'annexion de sa ville à la France en 1860, il n'y revint jamais  pas même lorsqu'il débarqua à Marseille en octobre 1870, pour s'en aller défendre cette France qui l'avait plusieurs fois combattu.Alors, pourquoi s'intéresser à Nice de Garibaldi oeParce que la ville et son enfant son intimement liés. Par un lien d'amour fervent, réciproque, d'une troublante intensité. « Mon bras pourrait s'affaiblir et ne plus pouvoir serrer l'honorable fer offert par ma Ville, écrivait-il en 1859 pour remercier le maire, mais mon coeur, lui, jusqu'à son dernier battement, ne perdra pas l'intensité de son amour et de sa dévotion illimitée pour ma terre natale ».Garibaldi était amoureux de sa ville. Et sa ville vouait une admiration passionnée et fraternelle à ce héros international pour lesquels tant de peuples s'étaient enthousiasmés. L'éloignement, la distance, l'exil même et les échecs n'altérèrent pas l'intensité de ce lien d'affection. Et pendant ces trois premiers quarts du XIXe siècle, Nice et Garibaldi connurent des destins souvent comparables, parfois convergents. Lorsqu'on évoque Garibaldi, Nice n'est pas loin - et à parler de Nice, on pressent l'ombre tutélaire du Héros des Deux Mondes.Sur les traces de Garibaldi à Nice... Nous sommes au début de l'été 1807. Et, sur le port de Nice, l'histoire va commencer.

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