Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Les récits, littéraires comme audiovisuels, multiplient les exemples de personnages de jeunes lectrices, dont l'identité se définit ou même se résume à ce rapport privilégié aux livres et au savoir. Certaines sont d'ailleurs passées à la postérité pour cela, comme Jo March, Hermione ou Matilda, et incarnent à elles seules ce motif littéraire de « la fille qui lit ».
Loin d'être anodin, le fait qu'un personnage féminin lise, souvent avec plaisir et régularité, joue un rôle narratif essentiel dans ces oeuvres, où les héroïnes utilisent leurs lectures pour dynamiser le récit et venir à bout de périls variés, selon l'idée « scientia potentia est ». Car les filles lisent aussi autre chose que des romans et des contes, et emploient ce goût éclectique pour s'émanciper, aider leurs amis ou même sauver le monde.
Ce numéro des Cahiers Robinson s'intéresse au motif de la lectrice, qu'il s'agisse de fillettes ou de jeunes femmes. Les articles croisent les disciplines et interrogent le rapport de ces personnages aux livres, qu'il soit naturel ou contraint, favorisé ou contrarié, et la façon dont il forge leur identité et caractérise leur héroïsme.
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