Avec ce roman Valérie Perrin nous réconcilie avec la vie si besoin est. Ses personnages de Violette, Julien , Irène, Gabriel, Sasha, entre autres, sont de belles personnes auxquelles il est facile de s’identifier. Aucun d’entre eux ne fut épargné par la vie.
Violette, tout d’abord, cette orpheline ballotée de famille d’accueil en famille d’accueil qui , très tôt, a appris à se faire discrète, à se faire oublier afin qu’on la garde. Aussi, quand, à peine majeure, dans le bar où elle travaille, elle est remarquée puis choisie par le beau Philippe, dont toutes les filles sont folles, là encore elle se fera discrète pour ne pas être rejetée, abandonnée. Elle l’épouse, lui donne une petite fille, Léonine, mais sera toujours méprisée par sa belle-famille qui estime qu’elle n’est pas assez bien pour leur fils. Sans rechigner elle travaille et avec son seul salaire assume toutes les charges du foyer pendant que Philippe part des jours entiers en moto rejoindre ses multiples maîtresses. Elle trouvera un semblant d’équilibre auprès du vieux Sasha , gardien de cimetière qui la recommandera pour ce poste lorsqu’il prendra sa retraite. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle reconstituera une famille décalée mais heureuse. Elle rencontra Julien, commissaire de police à Marseille, qui un jour , au petit matin, frappe à sa porte. Parce qu’Irène, la mère de Julien, a voulu que ses cendres soient déposées sur la tombe d’un certain Gabriel Prudent et non auprès de son défunt mari, Violette fait la connaissance de Julien qui cherche à comprendre et qui va bouleverser sa petite vie tranquille.
Au fil des chapitres, les mystères s’éclaircissent, le voile se lève sur des secrets, des non-dits, beaucoup de choses jusque là incompréhensibles s’expliquent et prennent leur place dans le puzzle de ces existences malmenées. Ceux que l’on trouvait les plus sombres, ne vont-ils pas finalement se révéler des êtres lumineux ?
Ce bouleversant roman tout en délicatesse, en retenue, plein d’humanité se passe en grande partie dans un cimetière et déborde de vie, de chaleur et de situations rocambolesques. Sans pathos sont abordés les thèmes de la mort, du deuil, de l’amour impossible ou tourmenté, des traumatismes de la vie et de la résilience. Il met en scène des personnages solaires qui traversent les épreuves de la vie avec courage sans pour autant perdre leur bienveillance et leur foi en les autres.
Ce livre fut une véritable révélation, ce roman est un véritable « doudou » qui guérit tous les petits bobos du quotidien et incite à toujours garder espoir.
Le génie de Valérie Perrin nous offre ici encore une belle leçon de vie.
Avec ce roman Valérie Perrin nous réconcilie avec la vie si besoin est. Ses personnages de Violette, Julien , Irène, Gabriel, Sasha, entre autres, sont de belles personnes auxquelles il est facile de s’identifier. Aucun d’entre eux ne fut épargné par la vie.
Violette, tout d’abord, cette orpheline ballotée de famille d’accueil en famille d’accueil qui , très tôt, a appris à se faire discrète, à se faire oublier afin qu’on la garde. Aussi, quand, à peine majeure, dans le bar où elle travaille, elle est remarquée puis choisie par le beau Philippe, dont toutes les filles sont folles, là encore elle se fera discrète pour ne pas être rejetée, abandonnée. Elle l’épouse, lui donne une petite fille, Léonine, mais sera toujours méprisée par sa belle-famille qui estime qu’elle n’est pas assez bien pour leur fils. Sans rechigner elle travaille et avec son seul salaire assume toutes les charges du foyer pendant que Philippe part des jours entiers en moto rejoindre ses multiples maîtresses. Elle trouvera un semblant d’équilibre auprès du vieux Sasha , gardien de cimetière qui la recommandera pour ce poste lorsqu’il prendra sa retraite. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle reconstituera une famille décalée mais heureuse. Elle rencontra Julien, commissaire de police à Marseille, qui un jour , au petit matin, frappe à sa porte. Parce qu’Irène, la mère de Julien, a voulu que ses cendres soient déposées sur la tombe d’un certain Gabriel Prudent et non auprès de son défunt mari, Violette fait la connaissance de Julien qui cherche à comprendre et qui va bouleverser sa petite vie tranquille.
Au fil des chapitres, les mystères s’éclaircissent, le voile se lève sur des secrets, des non-dits, beaucoup de choses jusque là incompréhensibles s’expliquent et prennent leur place dans le puzzle de ces existences malmenées. Ceux que l’on trouvait les plus sombres, ne vont-ils pas finalement se révéler des êtres lumineux ?
Ce bouleversant roman tout en délicatesse, en retenue, plein d’humanité se passe en grande partie dans un cimetière et déborde de vie, de chaleur et de situations rocambolesques. Sans pathos sont abordés les thèmes de la mort, du deuil, de l’amour impossible ou tourmenté, des traumatismes de la vie et de la résilience. Il met en scène des personnages solaires qui traversent les épreuves de la vie avec courage sans pour autant perdre leur bienveillance et leur foi en les autres.
Ce livre fut une véritable révélation, ce roman est un véritable « doudou » qui guérit tous les petits bobos du quotidien et incite à toujours garder espoir.
Le génie de Valérie Perrin nous offre ici encore une belle leçon de vie.
Justine n'a que 21 ans ; elle travaille dans une maison de retraite, s'attache aux résidents surtout à Hélène.
Hélène dont la mémoire vacille et la parole s'envole.
Alors, c'est Justine qui va raconter sa vie.
Justine qui a tant de mal, elle, à accepter qu'on l'aime.
Il est questions de trahison, de lâcheté, de solitude, de vieillesse et de terribles secrets de famille.
Il est aussi surtout questions de fraternité, de résilience, de solidarité, d'abnégation, d'amitié et d'amour.
D'une écriture fluide et en alternant les époques, l'auteure nous dépeint ses personnages avec leurs forces, leurs faiblesses et nous les rend attachants.
Un roman émouvant et nostalgique.
Ce livre est une surprise. Ce n'est pas un roman que l'on catalogue facilement. Il raconte des vies et à travers elle, on devine ce qu'est LA vie. Un entremêlement de situations et de personnages qui évoluent et semblent si réels, que l'on sent la tristesse nous étreindre au fil de la lecture. L'histoire est très bien racontée, on découvre chapitre après chapitre le passé de Violette, l'héroïne, qui élève seule sa fille Léonine. Le mari et père (Philippe) habite avec elles, tout en étant absent de leur vie. Ce récit agit comme un baume, il nous réconcilie.
Le cimetière est décrit comme un cadre enchanteur, rempli d'amour et d'humanité.
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