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Singeon

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Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « Un poisson nomme Joba Mena : comme un poisson hors de l'eau » de Singeon aux éditions Dargaud

    Aïkà De Lire Délire sur Un poisson nomme Joba Mena : comme un poisson hors de l'eau de Singeon

    Il faut sauver le Joba Mena

    Le Ptychochromis insolitus est un petit poisson endémique appelé aussi Joba Mena. Le Joba Mena est actuellement menacé d'extinction et dans le cadre de sa mission de préservation de la biodiversité, le Palais de la porte Dorée organise la mission de son sauvetage....
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    Il faut sauver le Joba Mena

    Le Ptychochromis insolitus est un petit poisson endémique appelé aussi Joba Mena. Le Joba Mena est actuellement menacé d'extinction et dans le cadre de sa mission de préservation de la biodiversité, le Palais de la porte Dorée organise la mission de son sauvetage.

    Cette mission scientifique a pour objectif est de capturer quelques spécimens en milieu endémique à Madagascar et de les rapporter vivants à l'Aquarium tropical.

    On a dit Madagascar ?!

    Ce n'est qu'à la dernière minute que le narrateur, Singeon, bédéaste, va quitter Paris pour quelques semaines afin de faire partie de l'expédition et accompagner Charles et Thierry, aquariologistes , en qualité de reporter de terrain.


    Vous tenez donc entre les mains le carnet de voyage de cette mission pas comme les autres.

    Prêt pour une expédition à l'autre bout du monde ?

    Pour ma part,

    C'est toujours un plaisir pour moi de voyager dans des contrées méconnues , le temps d'une lecture bien choisie. Comme un poisson hors de l'eau est de celle-ci.

    Tout d'abord, le titre m'a clairement rappelé un film éponyme drôle où il était également question de rechercher un poisson rare.

    Cette bd nous embarque pour un voyage à Madagascar à la recherche du Joba Mena en milieu naturel ; l'on croyait l'espèce éteinte, cette nouvelle est un cadeau de la nature inespéré.

    Le périple est souvent inconfortable, la logistique est fastidieuse malgré la débrouille et l'improvisation à tous les niveaux, les routes sont parfois impraticables et les paysages toujours à couper le souffle mais là-dessus je ne vous en dis pas plus, vous le découvrirez en lisant l'album.

    "Les décors de western tropical. Les villes entraperçues. Les villages en pente. Les feux. (...) Les vastes espaces arides. "

    Cette bd se veut également comme un médium de sensibilisation à la protection de la biodiversité en général et celle du Joba Mena en particulier. Elle met en lumière les réalités et les difficultés du terrain :

    " Les raisons de la pêche hors saison sont la pauvreté et l'ignorance. Beaucoup de personnes ne comprennent pas ce qu'est l'endémicité. "

    Les dessins sont clairs et très détaillés, conformes à la réalité authentique avec une petite touche d'humour pour rafraichir l'atmosphère que l'on devine irrespirable par moments, au sens propre comme au figuré.

    Le graphisme est donc approprié pour un très large public. La palette de couleurs froides, claires et contrastée est un choix pertinent qui permet de recentrer la lectrice et le lecteur au cœur du sujet : la sensibilisation à la préservation.

    Mention spéciale : En fin d'album, il y a un portfolio contenant des photographies marquantes de cette aventure : l'équipe, le Joba Mena en pleine forme etc.

    Pour ainsi dire, cette bd est un excellent moyen de présenter le rarissime Joba Mena au grand public et de montrer en toute transparence le déroulement d'une expédition de sauvetage d'une espèce animale.

    Mission accomplie.

    Je recommande à tout public qui s'intéresse aux missions de sauvetage d'espèces animales ou qui souhaite découvrir Madagascar en long en large et en travers, le temps de cette lecture instructive.

    #Commeunpoissonhorsdeleau #NetGalleyFrance

    https://www.aikadeliredelire.com/2023/12/commeunpoissonhorsdeleau.html?m=1

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    Couverture du livre « Vacances au bled » de Singeon et Jennifer Bidet aux éditions Casterman

    Louisa Amara sur Vacances au bled de Singeon - Jennifer Bidet

    Vacances au bled reprend une thématique importante : le syndrome du cul entre deux chaises. Les jeunes né-e-s en France de parents étrangers, qui redécouvrent le pays d’origine. Ils ne sont ni acceptés là-bas, ni totalement ici. Ils/elles ne parlent pas la langue, la faute aux parents qui n’ont...
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    Vacances au bled reprend une thématique importante : le syndrome du cul entre deux chaises. Les jeunes né-e-s en France de parents étrangers, qui redécouvrent le pays d’origine. Ils ne sont ni acceptés là-bas, ni totalement ici. Ils/elles ne parlent pas la langue, la faute aux parents qui n’ont pas su leur transmettre, terrorisés à l’idée qu’ils/elles ne parlent pas bien français et soient mal intégré-e-s à l’école. Dans ce voyage en Algérie, on suit Férouze et Nesrine, constamment surveillées par leurs familles sur place, et deux hommes plus libres de leurs mouvements, qui vont déchanter aussi. Une mauvaise publicité pour l’office de tourisme algérien, mais les auteurs avaient prévenu : réalisme avant tout.

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    Couverture du livre « La part de l'orage » de Gregory Nicolas et Singeon aux éditions Rue Des Promenades

    Colette LORBAT sur La part de l'orage de Gregory Nicolas - Singeon

    « Le vin c’est la part que l’orage laisse aux hommes ». Lorsque la grêle s‘abat sur un vignoble c’est « le travail d’une année ravi en un instant. »
    Neuf cépages, neuf terroirs, neuf histoires, neuf dégustations, neuf adresses et l’amour du vignoble français, de ses vignerons, des...
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    « Le vin c’est la part que l’orage laisse aux hommes ». Lorsque la grêle s‘abat sur un vignoble c’est « le travail d’une année ravi en un instant. »
    Neuf cépages, neuf terroirs, neuf histoires, neuf dégustations, neuf adresses et l’amour du vignoble français, de ses vignerons, des cavistes.
    J’ai aimé ces petites histoires d’amour pour les cépages, le vin, le tout sans langue de bois, peut-être avec, de temps à autre, une légère gueule de bois. Grégory Nicolas ne recrache que le vin qu’il n’aime pas. « Au final, j’ai craché plus de vin que je n’en ai bu. Ce que je peux être snob ».
    Un petit livre qui fait du bien là où ça ne fait pas mal. Aimer le vin est un plaisir des sens. « En musique comme en vin, il n’est pas nécessaire de savoir le solfège pour apprécier, pas nécessaire d’être œnologue pour être touché. Il faut simplement se laisser porter et rester éveille. Etre attentif aux détails. Avoir envie. Goûter. » Ce qui me convient parfaitement, j’aime goûter !
    Je me souviens d’un Sauternes, avant que tout le monde n’en fasse. Je me suis enivrée rien qu’à humer le verre, les arômes… étaient là pour me saluer, me porter vers la béatitude. Je n’ai plus jamais dégusté un tel nectar.
    Ce livre sent l’amour du terroir, sauf peut-être, pour le merlot et le cabernet franc qui, quelque fois, n’est pas franchement bien traité.
    Vous comprendrez aisément le plaisir que j’ai eu à lire La part de l’orage. Un petit conseil, dégustez-le, en le refermant, vous aurez des images, des envies comme découvrir le Côt (que j’aime).
    Essayez, découvrez-le en bonne compagnie.

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    Couverture du livre « Bienvenue Tome 3 » de Marguerite Abouet et Singeon aux éditions Gallimard Bd

    Gwendoline R sur Bienvenue Tome 3 de Marguerite Abouet - Singeon

    Le troisième tome qui clôt la série. Tout est bien qui finit bien, en un seul tome, ô magie bédéscénaristique, un peu trop beau pour une mini-série qui ne sentait pas forcément au départ le conte de fées.

    Le troisième tome qui clôt la série. Tout est bien qui finit bien, en un seul tome, ô magie bédéscénaristique, un peu trop beau pour une mini-série qui ne sentait pas forcément au départ le conte de fées.

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