Knud Rasmussen, explorateur danois métissé d'Inuit, accomplit au début du XXème siècle ce qu'aucun homme n'a réalisé avant lui...
Le dernier procès de Victor Melki est mon tout premier Sandrine Destombes dont les romans me font envie depuis bien longtemps. J’y ai fait la rencontre de Maxime Tellier (qui est commissaire au féminin) et s’est mise en disponibilité, le temps de prendre du recul. Il s’agit d’un personnage principal récurrent de Sandrine Destombes mais, comme souvent avec les romans policiers, les enquêtes sont uniques et peuvent se lire indépendamment. Maxime Tellier ne fait pas grand chose à part broyer du noir suite à des événements difficiles. Un jour, elle reçoit un faire-part la conviant à des obsèques. Ce qui est surprenant c’est qu’elle ne connaît pas le défunt et qu’elle est la seule à assister à la cérémonie. Qui lui a adressé ce mystérieux faire-part ? Quel est l’intérêt de tout ceci ? C’est une enquête officieuse qui débute. Par chance, Maxime peut compter sur ses collègues. Je n’ai pas vu les lignes défiler. Cette enquête est très prenante et je ne m’attendais pas du tour à ce qu’elle prenne cette direction. L’intrigue est bien ficelée et nous conduit à travers toute la France. Ce titre a tous les ingrédients pour plaire : des personnages attachants, une enquête captivante et un final surprenant ! Une chose est sûre, je vais vite me procurer les autres romans de l’autrice !
La commissaire Max Letellier est sonnée depuis que son collègue et amoureux Fabio est dans le coma.
Après quelques jours au vert pour récupérer elle a décidé de reprendre du service, le meilleur moyen de ne pas devenir folle.
Tous ses collègues et son supérieur sont attentifs à son bien-être et souhaitent qu'elle puisse retrouver une forme de sérénité. Mais elle préfère se lancer à corps perdu dans le travail pour tenter de trouver d'abord qui a tiré sur Fabio, le laissant entre la vie et la mort avec une balle dans la tête, puis consciencieusement pour mener l'enquête qu'on lui a confiée pour comprendre d'où vient et ce qu'il est arrivé à ce jogger qui a eu une crise cardiaque pendant son exercice du mardi.
Les deux enquêtes menées en parallèle avec ses équipes nous entraînent à un rythme fou dans les bas fonds fréquentés par des mafias russes, mais aussi dans le milieu très fermé des traditionalistes catholiques à travers la vie d'une prêtre qui semble-t-il a oublié depuis longtemps son vœux de chasteté.
C'est rythmé, ça pulse et c'est aussi assez réaliste pour embarquer le lecteur à toute allure sans lui laisser le temps ni de souffler ni de poser son bouquin !
Même si je ne connaissais pas Maxime Tellier avant d’ouvrir ce roman, j’ai pu suivre facilement cette nouvelle enquête qui va l’entraîner à travers la France à la poursuite de morts étranges.
Un mystérieux messager lui envoie des indices afin de faire la lumière sur d’étranges vengeances.
J’ai aimé découvrir Max et son co-équipier pour cette affaire.
J’ai aimé tenter de reconstruire le fil des indices et découvrir le pot-aux-roses.
J’ai aimé découvrir le fameux Victor et pourquoi ce sera son dernier procès.
Un polar bien mené et passionnant qui m’a littéralement happé.
L’image que je retiendrai :
Celle des nombreux TGV que prend l’équipe.
https://alexmotamots.fr/le-dernier-proces-de-victor-melki-sandrine-destombes/
Une nouvelle enquête en sous-marin pour la commissaire Maxime Tellier qui même si elle est en pause ne résistera pas longtemps à l'attrait d'un message anonyme. Une invitation à l'enterrement d'un homme qu'elle ne connaît pas. Elle décide de si rendre et découvre un message qui lui est adressé personnellement. Sans l'aide de son équipe, elle fait appel au capitaine de gendarmerie Antoine Brémont, expert en profilage, que nous avions déjà rencontré dans L'Arlequin. Il y aura d’autres messages qui vont les mettre sur une piste. De nouveaux justiciers sont à l’œuvre, pour les cas où la justice a échoué selon eux. Un duo d'enquêteurs qui fonctionnent parfaitement. Le capitaine Brémont prend les chose en main avec son équipe car il est certain qu'au même moment une nouvelle victime soit à son tour torturée, jugée, exécutée.
Une intrigue brillante qui met en scène bourreaux et victimes sans que l'on sache exactement qui est qui, alors que ce statut peut basculer à tout moment. Un terme moyenâgeux est souvent employé dans les messages : l'ordalie ou jugement de Dieu. Une parodie de justice qui consiste à soumettre l'accusé à diverses épreuves toutes douloureuses et potentiellement mortelles. Au final les cadavres s'amoncellent alors que les tueurs ne semblent jamais vouloir s’arrêter.
Une lecture captivante vous attend, avec ses chapitres courts et enlevés. Vous n'ignorerez bientôt plus rien sur le thème de la justice, peut-on se faire justice soi-même ? Comment être sur d'être juste ? Car au delà des meurtres il s'agit ici de lutter contre l'impunité et un certain laxisme dans le jugement rendu.
Un thème qui pose questions et a fait couler beaucoup d'encre. L'auteure a su nous proposer une intrigue complexe qui se tient de bout en bout et donne froid dans le dos. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2022/01/30/39211284.html
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