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Jean-Luc Coatalem

Jean-Luc Coatalem

D'origine bretonne (Finistère), né à Paris en 1959, Jean-Luc Coatalem est écrivain et rédacteur en chef adjoint au magazine Géo. Il a publié notamment Je suis dans les mers du Sud (Grasset, 2001), un essai sur Paul Gauguin, prix des Deux Magots et prix Bretagne, Le Gouverneur d’Antipodia (Le Dile...

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D'origine bretonne (Finistère), né à Paris en 1959, Jean-Luc Coatalem est écrivain et rédacteur en chef adjoint au magazine Géo. Il a publié notamment Je suis dans les mers du Sud (Grasset, 2001), un essai sur Paul Gauguin, prix des Deux Magots et prix Bretagne, Le Gouverneur d’Antipodia (Le Dilettante, 2012), prix Nimier, Nouilles froides à Pyongyang (Grasset, 2013), et dernièrement Fortune de mer (Stock, 2014).

Articles en lien avec Jean-Luc Coatalem (2)

Avis sur cet auteur (58)

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    Couverture du livre « La part du fils » de Jean-Luc Coatalem aux éditions Stock

    Candice D. sur La part du fils de Jean-Luc Coatalem

    Je suis passionnée par cette période de l'histoire et lis donc beaucoup de récits sur la resistance, la Shoa, la seconde guerre mondiale en général.
    Cette fois ci, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire. Je ne comprends pas le besoin qu'à eu l'auteur "d'inventer" certains passages de la...
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    Je suis passionnée par cette période de l'histoire et lis donc beaucoup de récits sur la resistance, la Shoa, la seconde guerre mondiale en général.
    Cette fois ci, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire. Je ne comprends pas le besoin qu'à eu l'auteur "d'inventer" certains passages de la vie de son grand-père alors que la vie des résistants, des déportés et de tous les morts de cette terrible tragédie est malheureusement déjà suffisamment "incroyable" sans en ajouter.
    Dommage car les recherches et le voyage que fait l'auteur pour aller à la rencontre de son grand-père auraient suffit pour faire de ce recit une lecture passionnante.

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    Couverture du livre « Une chambre à l'hôtel Mékong » de Jean-Luc Coatalem aux éditions Stock

    Dominique Jouanne sur Une chambre à l'hôtel Mékong de Jean-Luc Coatalem

    Dans le cadre de la collection « Ma nuit au musée », Jean-Luc Coatalem se prête à l’expérience au MNAAG, couramment appelé Musée Guimet où parmi plus de 60.000 œuvres sur 5.500 m2 répartis principalement sur trois étages, l’auteur, tout en décrivant les lieux et racontant l’histoire du musée et...
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    Dans le cadre de la collection « Ma nuit au musée », Jean-Luc Coatalem se prête à l’expérience au MNAAG, couramment appelé Musée Guimet où parmi plus de 60.000 œuvres sur 5.500 m2 répartis principalement sur trois étages, l’auteur, tout en décrivant les lieux et racontant l’histoire du musée et de son créateur, Émile Guimet, va surtout convoquer de multiples souvenirs personnels, familiaux et littéraires.

    «Oui, à mon tour, je désirais tenter ma chance, être ‘absolument et magnifiquement seul’ à Guimet, et accueillir cette beauté intacte. Et même si j’avouais une certaine appréhension —une nuit dans un dédale de salles pouvant être déstabilisante au point, m’avait-on soufflé, qu’on ne veuille pas récidiver—, il était trop tard pour reculer devant l’épreuve. Allons, hardi ! »

    Du rez-de-chaussée avec ses fabuleuses collections d’Asie du Sud-Est, ses salles thaïs, khmers, birmanes, ses vestiges de l’Inde, ses arts de la Chine et du Japon, ses collections d'Asie centrale,ses statues de pratiques religieuses, ses grès rouges, marbres et schistes, ses énormes morceaux de statues, temples et sites venant d’excavations, art, bijoux, miniatures, textiles, peintures, bronzes, jades, laques en pagaille au dernier étage où se trouve la fameuse volière d’oiseaux en porcelaine et émaux polychromes de Chine, léguée par Madame Carven en passant par les 100.000 volumes de la bibliothèque historique, l’auteur nous promène en nous nourrissant culturellement mais ce que j’ai vraiment apprécié dans son texte, c’est la façon dont il sait transmettre son inconfort graduel au cœur du monde sur 4000 ans dans un cocon de silence qui arrive à l’inquiéter, à être une obscurité oppressante à tel point qu’il pense écourter l’aventure malgré son goût pour l’archéologie asiatique liée au songe.

    Un très beau texte érudit pour une belle expérience nous renvoyant à notre précarité, force et fragilité.

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    Couverture du livre « Le grand jabadao » de Jean-Luc Coatalem aux éditions Le Dilettante

    Miss Marple sur Le grand jabadao de Jean-Luc Coatalem

    Et voilà un bon polar breton, qui nous fait prendre l'air frais de Brest, l'air putride d'une cache bien planquée au cœur d'une île perdue et inhabitée, l'air empoisonné d'une histoire rocambolesque d'un Gauguin oublié car un peu olé olé pour la grand mère de jumeaux bretons !
    Le jabadao est...
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    Et voilà un bon polar breton, qui nous fait prendre l'air frais de Brest, l'air putride d'une cache bien planquée au cœur d'une île perdue et inhabitée, l'air empoisonné d'une histoire rocambolesque d'un Gauguin oublié car un peu olé olé pour la grand mère de jumeaux bretons !
    Le jabadao est une danse bretonne interdite en son temps, lointain !! par l'église car endiablée, les filles sautaient un peu trop haut et montraient un peu trop leurs jambes !! le tempo était rapide, ici aussi !
    Le pauvre Scorff se fait bien prendre, charmé qu'il est par cette découverte et l'histoire véridique, c'est juré !! de ce Gauguin ! Nous, nous y croyons, vérifions si en effet il y avait bien une toile manquante, ce que faisaient Gauguin et ses amis le soir après avoir peint et pinté !
    Une autre embrouille s'ajoute et nous voilà au cœur d'une histoire mafieuse !
    Un bon coup de vent, pas trop d'horreurs, ça fait du bien !

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    Couverture du livre « Le grand jabadao » de Jean-Luc Coatalem aux éditions Le Dilettante

    Fanny C. sur Le grand jabadao de Jean-Luc Coatalem

    Polar léger, agréable à lire, fluide. L'intrigue est chargée de rebondissements inattendus autour d'un faux de Gauguin d'abord pris pour un vrai. On y croise dans une rade bretonne les jumeaux Kervern peu scrupuleux qui rêvent de partir s'installer en Amérique du Sud avec le magot qu'ils...
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    Polar léger, agréable à lire, fluide. L'intrigue est chargée de rebondissements inattendus autour d'un faux de Gauguin d'abord pris pour un vrai. On y croise dans une rade bretonne les jumeaux Kervern peu scrupuleux qui rêvent de partir s'installer en Amérique du Sud avec le magot qu'ils s'apprêtent à recevoir, on y rencontre un antiquaire endetté très naïf qui risque de se faire avoir par les Kervern, son
    assistant Donato y disparaît…
    C'est cocasse, plein d'humour.