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Cecile Coulon

Cecile Coulon

Née le 13 juin 1990, Cécile Coulon est une romancière française. Elle a d’abord suivi une hypokhâgne et une khâgne à Clermont-Ferrand avant d’intégrer l’université de Lettres Modernes. C’est dans le cadre de ses études qu’elle rédige une thèse sur le sujet du sport dans la littérature française c...

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Née le 13 juin 1990, Cécile Coulon est une romancière française. Elle a d’abord suivi une hypokhâgne et une khâgne à Clermont-Ferrand avant d’intégrer l’université de Lettres Modernes. C’est dans le cadre de ses études qu’elle rédige une thèse sur le sujet du sport dans la littérature française contemporaine. Fille d’un père directeur de l’INRA Auvergne et d’une mère dirigeante d’un syndicat, Cécile Coulon prend très jeune le goût d’écrire. Son premier roman, Le Voleur de vie, est publié alors qu’elle n’a que 16 ans.

En 2012, Cécile Coulon reçoit le prix Mauvais Genres France Culture / Le Nouvel Observateur pour son 3e roman Le Roi n’a pas sommeil, qui raconte l’histoire de Thomas, un brillant élève dont la vie dérape. Cinq ans après, en 2017, c’est le roman Trois saisons d’orage qui est récompensé par le Prix des Libraires. Cette saga reprend les thèmes de prédilection de l’auteure : l’opposition entre la campagne et la ville et le combat entre l’homme et la nature.

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Articles en lien avec Cecile Coulon (11)

Avis sur cet auteur (204)

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    Couverture du livre « Seule en sa demeure » de Cecile Coulon aux éditions L'iconoclaste

    Elisavignon sur Seule en sa demeure de Cecile Coulon

    Une atmosphère qui m’a rappelé celle de Rebecca ou Jane Eure…
    Des personnages singuliers, une intrigue servis par une belle écriture, sensible et sensuelle
    La fin m’a laissée un peu frustrée
    C’est un roman original et romantique

    Une atmosphère qui m’a rappelé celle de Rebecca ou Jane Eure…
    Des personnages singuliers, une intrigue servis par une belle écriture, sensible et sensuelle
    La fin m’a laissée un peu frustrée
    C’est un roman original et romantique

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    Couverture du livre « Seule en sa demeure » de Cecile Coulon aux éditions L'iconoclaste

    caro manil sur Seule en sa demeure de Cecile Coulon

    Mitigée. Voilà je suis mitigée sur cette lecture. Je ne sais quoi en penser... J'ai l'impression qu'on m'a vendu du suspens sans en avoir. Les interrogations de l'héroïne ne sont pas fondées !! Simples petits exemples : l'autrice fait tout un mystère car Aimée retrouve le collier du chien ......
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    Mitigée. Voilà je suis mitigée sur cette lecture. Je ne sais quoi en penser... J'ai l'impression qu'on m'a vendu du suspens sans en avoir. Les interrogations de l'héroïne ne sont pas fondées !! Simples petits exemples : l'autrice fait tout un mystère car Aimée retrouve le collier du chien ... Euh ... oui et alors où est le mystère là-dedans ? où est le suspens ? où est le mal ? J'ai pas compris ! idem avec les réactions de Candre, gros suspens car il autorise Aimée à fouiller dans son passé ... J'ai pas compris non plus !! Dernier exemple et je m'arrête là, au cimetière quand elle rencontre le fossoyeur, grosse interrogation car le chien n'a pas aboyé ??? Lol on m'explique où sont les doutes ??? Ce ne sont que quelques exemples pris au hasard mais tout le livre c'est comme ça !!
    Bon le point positif c'est que j'ai aimé l'ambiance qui se dégage de cette histoire ! Il aurait fallu des actes beaucoup plus inquiétants mais l'ambiance recherchée par l'autrice y est ... ça c'est indéniable. Mais je ne peux m'empêcher de dire que c'est ridicule. Désolée si je n'arrive pas à me faire comprendre mais en bref, le suspens qu'a voulu instauré l'autrice dans son roman n'est pas tangible. Du moins, ce n'est que mon avis !

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    Couverture du livre « Le rire du grand blessé » de Cecile Coulon aux éditions Viviane Hamy

    seb_sam_b sur Le rire du grand blessé de Cecile Coulon

    Dans Le rire du grand blessé aux éditions Point, Cécile Coulon imagine une captivante et intense – mais un peu courte - dystopie.

    D'une écriture vive l'écrivaine dresse le portrait d'une société où les livres sont interdits et contrôlés. Les lectures sont publiques. Les livres classés...
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    Dans Le rire du grand blessé aux éditions Point, Cécile Coulon imagine une captivante et intense – mais un peu courte - dystopie.

    D'une écriture vive l'écrivaine dresse le portrait d'une société où les livres sont interdits et contrôlés. Les lectures sont publiques. Les livres classés classés en fonction des émotions. Ces divertissements sont donnés lors de Manifestations surveillées par des agents du Service National. Dans cette ville, les analphabètes admistrent et dominent toutes les institutions. Ils exercent les plus hautes fonctions, et possèdent toutes les richesses. Ils possèdent tout.

    Ce roman suit le parcours de l'agent 1075, le meilleur d'entre tous. Un jour son destin bascule. Il se fait déchiqueter l'une de ses jambes et se fait hospitaliser. Ici commence sa transformation, son alphabétisation et sa rencontre avec lui-même…

    Je trouve que l'autrice et poétesse offre un roman d'anticipation sociale qui interroge la place des livres et plus largement de la culture au sein nos sociétés. Tout au long de cette lecture j'ai pensé au livre de Ray Bradburry avec à Fahrenheit 451.

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    Couverture du livre « Une bête au paradis » de Cecile Coulon aux éditions L'iconoclaste

    CaroGalmard sur Une bête au paradis de Cecile Coulon

    Si j'avais lu ce roman sans en connaitre l'auteure, il est fort probable que je l'aurais attribué à l'aveugle à Franck Bouysse. Et c'est un compliment.
    On y retrouve cette plongée dans les abysses de la ruralité. Toujours la ferme la plus éloignée. Toujours la famille un peu à part. Et pourtant...
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    Si j'avais lu ce roman sans en connaitre l'auteure, il est fort probable que je l'aurais attribué à l'aveugle à Franck Bouysse. Et c'est un compliment.
    On y retrouve cette plongée dans les abysses de la ruralité. Toujours la ferme la plus éloignée. Toujours la famille un peu à part. Et pourtant Cécile Coulon parvient à nous les rendre familiers, comme si nous devenions l'un d'eux.
    Sont-ils obtus ? Non. Ils sont concentrés sur leur vie, leurs animaux, leurs champs, leur domaine qui représentent leur univers tout entier depuis...toujours. Leur ancrage dans la terre est aussi forte que les racines d'un chêne centenaire. Alors les autres, ceux qui gravitent autour, sont aussi volatiles que des oiseaux de passage. On les accepte quand ils sont là, mais on sait qu'ils ne resteront pas. C'est comme ça.
    Sauf que quand l'amour s'emmêle, il crée des choix existentiels : le chêne se demande ce qui est plus fort entre ses racines et son amour pour l'hirondelle...
    Je n'irai pas plus loin dans le déroulé de l'histoire pour vous laisser le plaisir de sa découverte, mais on atteint un niveau digne d'une tragédie grecque.
    C'est extrêmement bien fait, bien écrit, avec un scénario machiavélique.
    Alors, faut-il le lire ? Oui. Je vous recommande également Seule en sa demeure, dont je vous livrerai bientôt mon avis...