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Bjorn Larsson

Bjorn Larsson

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Avis sur cet auteur (11)

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    Couverture du livre « La Sagesse de la mer : Du cap de la colère au bout du monde » de Bjorn Larsson aux éditions Le Livre De Poche

    JuanGarciaMadero sur La Sagesse de la mer : Du cap de la colère au bout du monde de Bjorn Larsson

    M. Björn Larsson est un auteur suédois, romancier, essayiste et professeur de littérature française. Dans « La sagesse de la mer » (« Från vredens kap till jordens ände » en version originale) il nous conte son amour de la mer et de la navigation, et l’importance qu’à cette dernière dans sa...
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    M. Björn Larsson est un auteur suédois, romancier, essayiste et professeur de littérature française. Dans « La sagesse de la mer » (« Från vredens kap till jordens ände » en version originale) il nous conte son amour de la mer et de la navigation, et l’importance qu’à cette dernière dans sa vie.

    On se laisse embarquer à bord de son voilier et de sa vie de vagabondage d’autant plus facilement qu’il en profite pour partager son amour de Harry Martinson, Nobel de littérature suédois et aussi grand voyageur, qui a écrit de très beaux livres de voyages, d’une poésie infinie, et que Larsson cite abondamment pour notre plus grand plaisir. J’ai beau ne rien connaître à la navigation, le volet philosophique de l’ouvrage est passionnant, et nous interroge sur ce qu’est la vie, sur ce qui vaut d’être vécu, et sur l’humain, ses contradictions et ses aspirations, ses rêves et sa folie, sa liberté et son amour de la vie.

    Bref, un très bon moment en mer, où l’on peut apprendre sur soi et découvrir des auteurs rares et précieux, épris de liberté et de découverte, que je vous invite à découvrir.

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    Couverture du livre « Le choix de Martin Brenner » de Bjorn Larsson aux éditions Grasset Et Fasquelle

    DUPREZ sur Le choix de Martin Brenner de Bjorn Larsson

    martin brenner vient de perdre maria, sa mere. Quelques jours apres la dispersion des cendres, il est contacté par un avocat qui a été chargé par sa mere de lui reveler que lle etait juie, rescapee des camps et qu elle lui avait volontairement caché cette infoirmation toute sa vie, pour qu il...
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    martin brenner vient de perdre maria, sa mere. Quelques jours apres la dispersion des cendres, il est contacté par un avocat qui a été chargé par sa mere de lui reveler que lle etait juie, rescapee des camps et qu elle lui avait volontairement caché cette infoirmation toute sa vie, pour qu il soit libre d etre soi meme
    ce dernier , travaillant dans un laboratoire de recherche adn et ayant fait de l identité le sujet de sa recherche , va se trouver face à un dilemen, se taire ou endosser cette identité et changer de vie!
    quelle est la part d inné et d acquis dans ma construction de l identité? A travers des reflexions sur le pods de la société , le poids des identités, le poids des representations. Bjorn larsson évoque le sujet des identités , un sujet brulant et à combien d actualités

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    Couverture du livre « La Sagesse de la mer : Du cap de la colère au bout du monde » de Bjorn Larsson aux éditions Le Livre De Poche

    Le Chameau Bleu sur La Sagesse de la mer : Du cap de la colère au bout du monde de Bjorn Larsson

    une jolie surprise dans laquelle j'ai sauté à pieds joints. Une ode à la liberté à travers la vie en mer, un éloge de la vie nomade, du vagabondage et de la vie sans entraves. On suit ses pérégrinations sur mer sans faire nécessairement le tour du globe. On découvre aussi un auteur suédois qui a...
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    une jolie surprise dans laquelle j'ai sauté à pieds joints. Une ode à la liberté à travers la vie en mer, un éloge de la vie nomade, du vagabondage et de la vie sans entraves. On suit ses pérégrinations sur mer sans faire nécessairement le tour du globe. On découvre aussi un auteur suédois qui a priori n'est pas encore traduit, dont els citations sont semées par l'auteur tout u long de l'ouvrage.
    Il donne envie d partir, de voyager et et d'apprécier une vie faite de légèreté. Un appel au large sans être péremptoire ou comminatoire, à chacun de trouver son chemin.

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    Couverture du livre « Les poètes morts n'écrivent pas de romans policiers » de Bjorn Larsson aux éditions Le Livre De Poche

    GeorgesSmiley sur Les poètes morts n'écrivent pas de romans policiers de Bjorn Larsson

    Atypique, malicieux et ironique. Voici un roman policier dont l’intrigue et sa résolution sont secondaires pour ne pas dire légères, mais là n’est pas le vrai sujet. Au fait, quel est-il, le vrai sujet ? Se moquer gentiment de la mode du polar scandinave, de ses enquêteurs abimés, dépressifs et...
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    Atypique, malicieux et ironique. Voici un roman policier dont l’intrigue et sa résolution sont secondaires pour ne pas dire légères, mais là n’est pas le vrai sujet. Au fait, quel est-il, le vrai sujet ? Se moquer gentiment de la mode du polar scandinave, de ses enquêteurs abimés, dépressifs et empêtrés dans des déboires conjugaux ? Critiquer les lecteurs qui, ne voulant lire que des polars, passent à côté de tout le reste de la production littéraire, présente ou passée ? Egratigner la presse et les media qui ne vivent que de la misère du monde et des catastrophes, les éditeurs l’œil toujours vissé sur leur compte de résultats, ou bien « Le cirque médiatique (qui) le fatiguait. Un ministre de la Justice auteur d’un roman policier médiocre recevait plus d’attention qu’un poète de talent, et cinq minutes sur un talk-show étaient plus efficaces que des critiques élogieuses. L’écrivain timide et gauche, dépourvu de charisme et de bagout, n’avait même plus envie de publier un livre. Tout ce qui comptait, c’était d’être fort en gueule et bien de sa personne, surtout si l’on était une femme. Les écrivains se prêtaient à tout pour vendre leurs romans – lectures publiques, salons, foires – et on affichait même leurs portraits sur des posters ou sur les bandeaux qui entouraient leurs livres. Pas étonnant qu’il se sente un peu découragé. »
    Le vrai sujet, c’est sans doute la poésie. A contrepied de Wallander, l’enquêteur chargé de démasquer l’assassin est heureux en ménage. Et, à ses heures perdues, il n’écoute pas des opéras mais écrit des poèmes. Quand à la victime, poète célèbre mais aux tirages confidentiels, elle a fini par se laisser convaincre de s’essayer à son tour au roman policier. Le roman est bon, l’éditeur est ravi, les rotatives dopées aux amphétamines sont fin prêtes à tourner sans relâche, et le compte d’exploitation s’apprête à passer au vert autant que l’Irlande à la fin du printemps. Oui, mais alors, quid du poète maudit et intransigeant ? Un poète qui abandonnerait un instant la poésie pour ramasser un œuf ou deux sous la poule aux œufs d’or du polar scandinave, est-ce bien raisonnable, est-ce bien tolérable ? Et si c’était le mobile du meurtre ?
    Bjorn Larsson aime la poésie et s’y essaye, sous la plume du commissaire, même s’il semble s’en excuser dans la postface. Il convoque, au cours de l’intrigue, un expert suédois et glisse, dès qu’il en a l’occasion, des vers d’auteurs célèbres, dont à ma grande confusion, je dois confesser qu’à l’exception de Rilke je ne connaissais même pas les noms. Son ambition est grande, transformer des joggeurs en lecteurs de poésie : « Si seulement tous ces gens désoeuvrés avaient lu de la poésie au lieu de sortir au grand air ! »
    J’ai passé un bon moment de lecture et fini par découvrir qui a assassiné le poète mort qui écrivait un roman policier (j’avais bien une petite idée qui s’est révélée exacte mais le mobile m’échappait). Cela pour dire que l’aspect policier du roman, sans être exceptionnel, reste de bonne facture. Bien que n’ayant aucune compétence en matière de poésie, il me semble que cet aspect de la personnalité et de l’œuvre de Bjorn Larsson est mieux illustré dans certains de ses autres romans dont je recommande vivement la lecture : Le Capitaine et les Rêves, ainsi que Le Cercle Celtique où ses descriptions marines sont de toute beauté. J’ai eu un peu de mal avec certains passages, un peu trop didactiques à mon goût. A découvrir pour sortir des sentiers battus.

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