En partenariat avec les éditions Points
A l'occasion de la Foire du Livre de Brive qui s'est déroulée début novembre, Alain Mabanckou s'est prêté au jeu d'une interview "Autour d'un verre" à bord de l'Orient Express, train mytique qui ne peut qu'inspirer cet auteur de talent, "Grand prix de...
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Retrouvez Alain Mabanckou à la Nuit Blanche des Livres le 23 juin à La Garenne-Colombes
En partenariat avec les éditions Points, 10 exemplaires à gagner
Suivez le conseil des écrivains pour vos lectures de l'été
Alain Mabanckou, vit en Californie depuis 15 ans. Dans ce roman, il revient sur sa vision de l’Amérique, tout parlant de l’actualité : la Covid, le confinement en France, les proches, touchés par la maladie. Actualité américaine aussi, avec Trump, son élection, et les réactions qu’elle a pu susciter, la sécheresse en Californie, et le travail des gouverneurs successifs pour gérer au mieux tous les problèmes.
Nul que lui ne sais aussi bien traiter d’un sujet brûlant entre tous : le racisme. Il décrit la violence faite aux Afro-américains, de la peur, de la place des SDF dans la ville, à la périphérie de la ville. Il dresse un portrait de cette Amérique invisible mais bien réelle et bien plus nombreuse.
Alain Mabanckou est professeur, et s’il nous parle de son enseignement, il nous parle aussi de culture dans ce livre. Il nous parle des écrivains américains, ceux qui parlent de ce sont on n’a jamais parlé avant eux, je pense à James Baldwin, à Ernest J. Gaines, des auteurs qui ne sont pas là pour être plaisants, mais pour dire. Il nous parle aussi des écrivains contemporains, comme Pia Petersen, et des personnalités engagées de notre temps. La culture, c’est aussi le rap, et le sort violent qui est souvent celui des rappeurs (agression, prison, mort parfois). Il nous parle du basket ball, de LeBron James et de Kobe Bryant, élégant jusqu’au bout envers celui qui a dépassé son propre record – Kobe Bryant et sa fille, à qui hommage est rendu aussi. Ce roman est de la trempe des romans de société qui décrit, dénonce et sensibilise. Il donne une furieuse envie d’aller au-delà des images pour mieux comprendre les non-dits « bien-pensants » de notre société.
Alain Mabanckou, vit en Californie depuis 15 ans. Dans ce roman, il revient sur sa vision de l’Amérique, tout parlant de l’actualité : la Covid, le confinement en France, les proches, touchés par la maladie. Actualité américaine aussi, avec Trump, son élection, et les réactions qu’elle a pu susciter, la sécheresse en Californie, et le travail des gouverneurs successifs pour gérer au mieux tous les problèmes.
Nul que lui ne sais aussi bien traiter d’un sujet brûlant entre tous : le racisme. Il décrit la violence faite aux Afro-américains, de la peur, de la place des SDF dans la ville, à la périphérie de la ville. Il dresse un portrait de cette Amérique invisible mais bien réelle et bien plus nombreuse.
Alain Mabanckou est professeur, et s’il nous parle de son enseignement, il nous parle aussi de culture dans ce livre. Il nous parle des écrivains américains, ceux qui parlent de ce sont on n’a jamais parlé avant eux, je pense à James Baldwin, à Ernest J. Gaines, des auteurs qui ne sont pas là pour être plaisants, mais pour dire. Il nous parle aussi des écrivains contemporains, comme Pia Petersen, et des personnalités engagées de notre temps. La culture, c’est aussi le rap, et le sort violent qui est souvent celui des rappeurs (agression, prison, mort parfois). Il nous parle du basket ball, de LeBron James et de Kobe Bryant, élégant jusqu’au bout envers celui qui a dépassé son propre record – Kobe Bryant et sa fille, à qui hommage est rendu aussi. Ce roman est de la trempe des romans de société qui décrit, dénonce et sensibilise. Il donne une furieuse envie d’aller au-delà des images pour mieux comprendre les non-dits « bien-pensants » de notre société.
Un écrivain dont j'aime le style qui nous livre ses pensées sur l'Amérique dans laquelle il habite depuis plus de 10 ans et enseigne la littérature à l’université de Californie, ca m’a forcément attiré. La visite guidée m’a plue, le dépaysement était réussi. Mais mon avis mitigé sera dû 1au fait que je suis restée sur ma faim. J’aurais voulu en savoir plus.
Avec des chapitres courts, Alain Mabanckou nous parle de son Amérique à travers des sujets très différents la littérature bien sur des auteurs comme Ernest J.Gaines, James Baldwin, de personnages qui l'ont marqué Mohamed Ali, Biddy Mason que j’ai découvert aussi, On se balade avec lui dans les rues notamment de Santa Monica ou little Ethiopia, il nous parle de la condition des afro américains, de politique. Il fait également référence, à son enfance, à son expérience, à sa relation avec son fils ou ses amis comme l’écrivain Pia Petersen.
J’ai aimé les sujets surtout les échanges avec son fils, les zooms sur les croyances qui lui reste du Congo, le chapitre sur les sapeurs (mon préféré), les balades qu’il nous offre, le mode de vie, des anecdotes avec ses amis, sa vision sur la diversité culturelle mais voilà je suis restée sur ma faim.
Je voulais en savoir plus sur son expérience, ses pensés sur chaque sujet abordé.
Pour la première fois, Alain Mabanckou n’écrit pas sur son pays de cœur, le Congo Brazzaville. Il choisit de raconter dans « Rumeurs d’Amérique » sa « transhumance » comme il aime à le rappeler, l’Afrique pendant 17 ans, puis la France, dis-sept ans aussi, et maintenant les États-Unis.
De son balcon californien spécialement aménagé, Alain Mabanckou écrit sur son Amérique, celle rêvée qu’il a dans un coin de son esprit mais aussi celle dans laquelle il vit et travaille, formant des étudiants avide de connaissances sur la littérature francophone.
Ni poésie, ni paroles de musique ni prose de fiction, cette fois-ci, Alain Mabanckou ouvre un espace semblant autobiographique où il détaille au fil des jours et par petites touches le temps qui court dans son Los Angeles et Santa Monica qu’il aime parcourir. Il présente un endroit et raconte la soirée avec un ami. Il nous décrit la lettre d’Ali punaisée sur son balcon, visible chaque jour pour lui rappeler ses valeurs. Le lecteur apprend l’histoire de Biddy Masson esclave devenue riche sage-femme. Le rap n’est jamais loin grâce aux coups de fil de son fils.
La suite ici
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