Mai 1968. La révolte gronde partout en France. Notamment à Lyon où se tient, ce 24 mai 1968, une grande manifestation qui va mal tourner. Après les jets de pavés, les bombes lacrymogènes et les slogans de toute sorte, le rassemblement dégénère. Une camionnette fonce sur les forces de l'ordre et percute le commissaire Lacroix, qui mourra à l'hôpital. C'est le premier mort de Mai 68. La tragédie sonne un tournant pour le mouvement révolutionnaire. Pour Mila et Théo, venus manifester ce jour-là, c'est le début d'une autre histoire...
« Ils voulaient en finir avec la prudence, réinventer une forme de grâce qui mettrait le vieux monde à genoux. Ils croyaient au miracle des peaux. Ils étaient amoureux et tapageurs. Seul importait le tumulte des vies nouvelles se profilant après les bourrasques de mai. Ballottés entre désir de liberté et nostalgie du chaos, ils crurent un instant au mirage de la radicalité. » Yves Bichet
Un roman qui se déroule dans l'après 68.
Je n'ai pas du tout accroché.
Le style ne m'a pas plu avec son parti pris de passer dans le même paragraphe de la troisième à la première personne du singulier alors que le narrateur est identique. De nombreuses redites agaçantes (combien de fois, on voit une petite caresse sur la joue, le visage ou autre part) et des flash back décousus.
Les personnages sont beaucoup trop nombrilistes à mon goût et je ne me suis attachée à aucun.
Et surtout je me suis ennuyée. C'est long, c'est long.
Ce n'est que mon avis mais je ne conseille donc pas ce roman.
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